Sainte Sœur Marie-Faustine Kowalska (1905-1938). Fête le 05 Octobre.

Jeudi 05 Octobre 2023 : Fête de Sainte Sœur Marie-Faustine Kowalska, Apôtre de la Miséricorde Divine (1905-1938).
Les années passées au Couvent abondaient en grâces extraordinaires : révélations, visions, stigmates cachés, participation à la Passion du Seigneur, don de bilocation, de pénétrer le cœur des autres, de la prophétie, ou bien le don rarissime de fiançailles et d'épousailles Mystiques.

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http://nominis.cef.fr/contenus/saint/9899/Sainte-Faustine.html

Sainte Faustine

Marie Faustine - Hélène Kowalska - Religieuse à Cracovie (? 1938)

"Sœur Marie Faustine, apôtre de la Miséricorde Divine, compte aujourd'hui parmi les Saints les plus célèbres de l'Église.
 Par son intermédiaire, le Seigneur Jésus transmet au monde entier Son grand message de la Miséricorde Divine et montre un modèle de perfection Chrétienne fondée sur la confiance en Dieu et sur une attitude miséricordieuse envers le prochain." sa vie, site du Vatican

Canonisation de la Bienheureuse Maria Faustyna Kowalska, Homélie du pape Jean Paul II, le Dimanche 30 Avril 2000.
Voir aussi Sainte Faustine (1905 - 1938) Une sainte pour notre temps (site de l’Église Catholique en France)

Illustration: tableau de Jésus Miséricordieux, “Par cette image j’accorderai beaucoup de grâces; que chaque âme ait donc accès à elle” (PJ 570) Congrégation des Sœurs de Jésus Miséricordieux.

Sainte Marie-Faustine (Hélène Kowalska), vierge, de la Congrégation des Sœurs de la Vierge Marie de la Miséricorde, fut très empressée à faire connaître le mystère de la Miséricorde Divine à Cracovie.
Martyrologe romain

Si nous demandions à Sainte Faustine: dis-nous quel est ton secret, le secret de ta vie, de ton cheminement spirituel, je pense qu'elle répondrait immédiatement: l'Amour de Jésus.
Mgr Albert-Marie de Monléon, Évêque de Meaux
Coordinateur du Congrès national de la Miséricorde en France.

Okladka

https://levangileauquotidien.org/FR/display-saint/21321e20-72d6-485b-b6d3-7e48f633bf4a

Sainte Faustine Kowalska
« Apôtre de la Miséricorde Divine »

(Source)
http://www.vatican.va/news_services/liturgy/saints/ns_lit_doc_20000430_faustina_fr.html.

MARIE FAUSTINE KOWALSKA
1905-1938
Photo

Sœur MARIE FAUSTINE, apôtre de la Miséricorde Divine, compte aujourd'hui parmi les Saints les plus célèbres de l'Église.

Par son intermédiaire, le Seigneur Jésus transmet au monde entier Son grand message de la Miséricorde Divine et montre un modèle de perfection chrétienne fondée sur la confiance en Dieu et sur une attitude miséricordieuse envers le prochain.

Elle est née le 25 Août 1905, troisième des dix enfants de Marianna et Stanis?aw Kowalski, agriculteurs dans le village de G?ogowiec.

Au Baptême, dans l'église paroissiale de ?winice Warckie, elle a reçu le prénom d'Hélène. Depuis son enfance, elle se distingua par l'Amour de la Prière, l'assiduité, l'obéissance et par une grande sensibilité à la misère des hommes.

A neuf ans, elle a fait sa Première Communion qu'elle a profondément vécue, consciente de la présence de l'Hôte Divin dans son âme.

Elle a fréquenté l'école pendant moins de trois ans. Adolescente, elle a quitté la maison familiale pour gagner sa vie et pour aider ses parents comme servante dans des familles aisées à Aleksandrów, ?ód? et Ostrówek.

Elle a senti la vocation dans son âme dès l'âge de sept ans, mais ses parents n'étant pas d'accord pour qu'elle entre dans les ordres, elle a essayé d'étouffer cette voix intérieure. Cependant, exhortée par la vision du Christ souffrant, elle est partie pour Varsovie où, le 1er Août 1925, elle a rejoint la Congrégation des Sœurs de Notre Dame de la Miséricorde. Devenue Sœur Marie Faustine, elle a passé au couvent treize ans, en remplissant les fonctions de cuisinière, de jardinière et de Sœur portière dans plusieurs maisons de la Congrégation, le plus souvent à P?ock, Wilno et Cracovie.

 

Rien ne trahissait à l'extérieur sa Vie Mystique d'une extrême richesse. C'est avec zèle qu'elle remplissait toutes ses tâches, elle observait fidèlement les règles, recueillie et silencieuse, mais en même temps naturelle, pleine d'un amour bienveillant et désintéressé. Sa vie, très ordinaire, monotone et grise en apparence, cachait la profondeur extraordinaire de l'Union à Dieu.

Sa spiritualité reposait sur la Miséricorde Divine à laquelle elle réfléchissait et qu'elle contemplait dans la Parole de Dieu et dans l'aspect quotidien de sa vie.

La connaissance et la Contemplation du Mystère de la Miséricorde Divine développaient chez elle une attitude de confiance d'enfant face à Dieu et de Miséricorde envers les autres.

Ô Mon Jésus, chacun de Tes saints reflète en sa personne l'une de tes vertus, moi, je désire refléter Ton Cœur compatissant et plein de Miséricorde, je veux le Glorifier.

Que Ta Miséricorde, ô Jésus, soit imprimée dans mon cœur et dans mon âme, tel un sceau, ce sera là mon emblème en cette vie et en l'autre (P.J. 1242).

Sœur Marie Faustine était une fidèle fille de l'Église qu'elle aimait comme une Mère et comme le Corps Mystique de Jésus-Christ.

Consciente de son rôle au sein de l'Église, elle a collaboré avec la Miséricorde Divine dans l'œuvre du Salut des âmes égarées.

Sur le souhait et en suivant l'exemple du Seigneur Jésus, elle a sacrifié sa vie en holocauste. Dans sa vie spirituelle, elle se distinguait aussi par son Amour de l'Eucharistie et par sa dévotion profonde pour Notre Dame de la Miséricorde.

Les années passées au Couvent abondaient en grâces extraordinaires : révélations, visions, stigmates cachés, participation à la Passion du Seigneur, don de bilocation, de pénétrer le cœur des autres, de la prophétie, ou bien le don rarissime de fiançailles et d'épousailles Mystiques.

Le vif contact avec Dieu, Notre Dame, les anges, les saints, les âmes au Purgatoire - tout cet univers surnaturel - lui apparaissait comme étant non moins réel et vrai que celui qu'elle percevait par ses sens.

Malgré cette abondance de grâces extraordinaires accordées, elle savait que celles-ci ne décidaient pas de l'essence de la sainteté.

Ce ne sont ni les grâces, ni les apparitions, ni les ravissements, ni aucun don accordé qui la rendent parfaite, mais l'Union intérieure de mon âme avec Dieu.

Ces dons ne sont que des ornements de l'âme, mais ils ne constituent ni le contenu, ni la perfection.

Ma sainteté et ma perfection consistent en une étroite Union de ma volonté avec celle de Dieu (P.J. 1107).

Sœur Marie Faustine a été élue par Le Seigneur Jésus, secrétaire et apôtre de Sa Miséricorde pour transmettre au monde entier son grand message.

Dans l'ancien Testament, lui dit-Il, j'ai envoyé à mon peuple des prophètes et avec eux la foudre.

Aujourd'hui, je t'envoie vers toute l'humanité avec ma Miséricorde. Je ne veux pas punir l'humanité endolorie, mais je désire la guérir en l'étreignant sur mon Cœur Miséricordieux (P.J. 1588).

 

La mission de Sœur Marie Faustine consistait en trois tâches : 

1) rendre proche et annoncer au monde entier la vérité révélée dans les Écritures Saintes sur l'amour miséricordieux de Dieu envers tout homme.

2) implorer la Miséricorde Divine pour le monde entier, en particulier pour les pécheurs, notamment par la pratique des formes nouvelles, annoncées par le Seigneur Jésus, du culte de la Miséricorde Divine, qui sont les suivantes :

> Le tableau du Christ avec l'inscription Jésus, j'ai confiance en Toi !,

> La Fête de la Miséricorde Divine le premier dimanche après Pâques,

>>>   Chapelet de la Miséricorde Divine (audio)  [à 15 heures].

Le Seigneur Jésus liait à ces formes du culte, ainsi qu'à la propagation de la dévotion à la Miséricorde, de grandes promesses à condition de se fier à Dieu et de pratiquer un amour actif envers le prochain

3) la troisième tâche que comportait la mission de Sœur Marie-Faustine consistait à inspirer le mouvement apostolique de la Miséricorde, qui est chargé de propager et d'obtenir par la prière la Miséricorde Divine pour le monde et qui tend à la perfection sur le chemin montré par sœur Faustine. Ce chemin est celui d'une confiance d'enfant en Dieu, laquelle s'exprime dans l'accomplissement de Sa volonté et dans une attitude de miséricorde envers les autres. À l'heure actuelle, ce mouvement au sein de l'Église concerne des millions de personnes à travers le monde, à savoir : des congrégations, des instituts laïques, des prêtres, des confréries, des associations, différentes communautés d'apôtres de la Miséricorde Divine et des particuliers qui se chargent, à titre individuel, des tâches transmises par le Seigneur Jésus par l'intermédiaire de sœur Marie-Faustine.

Le message de sœur Faustine a été noté dans son Petit Journal (>>> « Petit Journal » de Sœur Faustine en PDF) qu'elle rédigea par la volonté du Seigneur Jésus et de ses confesseurs. Elle y a fidèlement noté tous les souhaits de Jésus, de même qu'elle a décrit l'union intime de son âme avec Dieu.
« Secrétaire de mon plus profond mystère, disait le Seigneur Jésus à Sœur Faustine, ton devoir est d'écrire tout ce que je te fais connaître à propos de ma miséricorde au profit des âmes qui en lisant ces écrits seront consolés et auront le courage de s'approcher de moi (P.J. 1693).

Cet ouvrage nous rend proche d'une manière extraordinaire le mystère de la Miséricorde Divine.

Il enchante non seulement les gens simples, mais aussi les scientifiques qui y découvrent une source supplémentaire de recherche théologique.

Le Petit Journal a été traduit en plusieurs langues, entre autres en anglais, allemand, italien, espagnol, français, portugais, russe, hongrois, tchèque et slovaque.

Ravagée par la maladie et par de nombreuses souffrances qu'elle a supportées en tant que Sacrifice bénévole pour les pécheurs, entièrement épanouie spirituellement et unie à Dieu, Sœur Marie Faustine est morte à Cracovie le 5 Octobre 1938, âgée à peine de 33 ans.

La Gloire de la sainteté de sa vie a crû rapidement avec la propagation de la dévotion pour la Miséricorde Divine et au fur et à mesure des grâces obtenues par son intercession.

De 1965 à 1967, à Cracovie s'est déroulé le procès diocésain sur sa vie et ses vertus et en 1968, à Rome, a été ouvert le procès de Béatification, clos en Décembre 1992.

Le 18 Avril 1993, sur la Place Saint-Pierre de Rome, le Pape Saint Jean Paul II a procédé à l'acte de sa Béatification. Il la Canonisa le 30 Avril 2000.

3 sr faustine jesus jpii 1(Pour voir la photo en grand format, cliquer dessus ou ouvrir le lien suivant: 3-sr-faustine-jesus-jpii.jpg 3-sr-faustine-jesus-jpii.jpg)

Marie-Faustine Kowalska a été Béatifiée le 18 Avril 1993 et Canonisée le 30 Avril 2000, sur la Place Saint-Pierre de Rome (dans les deux cas), par le même Pape, Saint Jean-Paul II (Karol Józef Wojty?a, 1978-2005) qui institua, au cours de la Célébration, la Fête de la Miséricorde Divine (le premier Dimanche après Pâques).

En approfondissement la vie de Sainte Sœur Marie-Faustine Kowalska, très liée à la Fête de la Divine Miséricorde, instituée par le Pape Saint Jean-Paul II à la demande de Jésus à Sainte Sœur Faustine, je vous invite à découvrir cette Fête sur le lien suivant :
http://reflexionchretienne.e-monsite.com/pages/les-fetes-catholiques/avril-2013/fete-de-la-divine-misericorde-fete-le-07-avril-2013.html

Les reliques de Sainte Faustine reposent au Sanctuaire de la Miséricorde Divine de Cracovie-?agiewniki ; une partie est dispersée dans le monde entier.
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Homélie du Saint-Père


Pour un approfondissement biographique :

>>> Sainte Faustine - Cracovie, Pologne
Pour un approfondissement sur la Miséricorde Divine :
>>> Le Petit Journal

faustine.jpgHélène Kowalska est née en 1905 dans le village de Glogowiec en Pologne, la troisième des dix enfants d'une famille d'agriculteurs pauvres.
Elle sent un appel à la vie religieuse dès l'âge de 7 ans. À quinze ans, après seulement trois ans d'école, elle commence à travailler pour aider sa famille.
À cette époque, elle sent la vocation et est persuadée que Dieu lui-même l'appelle à devenir Religieuse.
A cette époque, elle eu une première apparition de Jésus, sous la forme du Christ souffrant. Hélène part pour Varsovie et tente d'être admise dans plusieurs Couvents de la capitale, pour être à chaque fois refusée.
Finalement, elle est admise au Couvent de la Congrégation des Sœurs de Notre-Dame de la Miséricorde à l'âge de 20 ans, le 1er Août 1925, sous le nom de Sœur Marie Faustine.
Elle y prononce ses vœux le 30 Avril 1926, et prend le nom de Sœur Marie Faustine du Saint-Sacrement.
Elle raconte qu'elle a vu Le Christ et Marie à plusieurs reprises et qu'elle leur a parlé. Par la suite, la future Sainte Faustine écrit dans son journal que Jésus lui a révélé ce qu'elle devait faire : propager la dévotion envers la Miséricorde de Dieu.
À Plock le 22 Février 1931, Jésus lui est apparu, portant un vêtement blanc, comme le « Roi de la Miséricorde Divine » :
Sa main droite se levant en signe de Bénédiction et l'autre touchant le vêtement sur la poitrine.

Dessous ses vêtements sortent deux grands rayons, l'un rouge, l'autre blanc. Se conformant aux ordres qu'elle dit avoir reçus du Christ, Faustine fait peindre une représentation de cette vision.
Avec l'aide de son confesseur, elle entreprend la mission confiée par Jésus lors de ses apparitions.
Elle distribue à Cracovie et à Wilno des images devant lesquelles les gens commencent à prier.
Elle écrit ensuite un journal intime, malgré son peu d'instruction. Elle tente vainement de trouver une « Congrégation qui proclamât la Miséricorde de Dieu envers le monde et l'obtînt pour le monde par ses prières », mais ne reçut jamais de son couvent la permission de le quitter.
En 1936, Faustine tomba gravement malade, sans doute de la tuberculose, et fut transférée à l'hôpital de Pradnik.
Elle passa beaucoup de temps en prière, récitant le chapelet de la Miséricorde Divine, et priant pour la conversion des pécheurs, jusqu'à sa mort.

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http://www.faustine-message.com/sainte-faustine-biographie.htm.

Connue aujourd’hui dans le monde entier comme l’apôtre de la Miséricorde Divine, Soeur M. Faustine Kowalska est comptée par les théologiens parmi les plus grands mystiques de l’Église.

Elle est née dans le village de Glogowiec (Pologne) (actuellement canton de Leczyca), le 25 Août 1905, troisième des dix enfants d’une famille de paysans pauvres et pieux.
Elle reçut lors de son Baptême, dans l’église paroissiale de Swinice Warckie, le prénom d’Hélène. Dès l’enfance elle se fit remarquer par sa Piété, son goût pour la Prière, son ardeur au travail et son obéissance, ainsi que par une grande sensibilité face aux misères humaines. Elle fréquenta l’école pendant moins de trois ans; elle quitta la maison familiale à seize ans et partit comme servante à Aleksandrów, puis à Lodz (Pologne), afin d’assurer sa propre subsistance et d’aider ses parents.

Elle avait ressenti dans son âme un appel à la vocation depuis l’enfance, mais ses parents ne consentaient pas à ce qu’elle entrât au couvent.

Aussi, Hélène s’efforçait d’étouffer en elle l’appel de Dieu. Après des années, en en parle dans son PETIT JOURNAL:

“A un certain moment, j’étais au bal avec une de mes soeurs. Pendant que tout le monde s’amusait beaucoup, mon âme éprouvait des tourments intérieurs.

Au moment où je commençais à danser, j’aperçus soudain près de moi Jésus. Jésus supplicié, dépouillé de Ses vêtements, tout couvert de plaies, qui dit ces paroles: « Jusqu’à quand vais-je te supporter et jusqu’à quand vas-tu Me décevoir? »
A ce moment la charmante musique cessa pour moi, les gens avec lesquels je me trouvais disparurent à mes yeux, il ne restait que Jésus et moi.

Je m’assis auprès de ma chère soeur, simulant un mal de tête pour cacher ce qui venait de se passer dans mon âme.

Quelques instants plus tard, je quittai secrètement la compagnie et ma soeur, et je me rendis à la Cathédrale saint Stanislas Kostka (Lodz).
L’heure commençait à prendre une teinte grise, il y avait peu de personnes dans la Cathédrale; ne faisant attention à rien de ce qui se passait autour, je suis tombée les bras en Croix devant le Très  Saint Sacrement et demandai au Seigneur qu’Il daigne me faire connaître ce que je dois faire.

Tout à coup j’entendis ces paroles: « Pars tout de suite pour Varsovie, là tu entreras au Couvent ».

Je me levai après cette Prière, je rentrai à la maison et je réglai les choses nécessaires. Je confiai comme je le pus à ma soeur ce qui s’était passé dans mon âme, je lui demandai de dire adieu à mes parents et ainsi, avec une seule robe, sans rien, j’arrivai à Varsovie“ (PJ 9).

Elle frappa à la porte de nombreuses communautés, mais on ne l’accueillait nulle part.

Le 1er Août 1925 elle franchit le seuil de la clôture du Couvent de la Congrégation des Soeurs de Notre-Dame de la Miséricorde, rue Zytnia à Varsovie.

Elle avoua dans son Petit Journal:

"Il me semblait que j’étais entrée au paradis. Seule jaillissait de mon coeur une Prière d’action de grâce" (PJ 17).

 Elle reçut dans cette Congrégation le nom de Soeur Marie Faustine. Elle effectua son noviciat à Cracovie et y prononça ses premiers voeux – en présence de l’évêque, Mgr St. Rospond – puis, cinq ans plus tard, ses voeux perpétuels: de Chasteté, de Pauvreté et d’Obéissance.

Elle travailla dans plusieurs maisons de la Congrégation, surtout à Cracovie, à Plock à Vilnius, en tant  que cuisinière, jardinière et portière.

Extérieurement rien ne trahissait l’extrême richesse de sa vie mystique. Elle accomplissait ses tâches avec zèle, observait fidèlement toutes les règles de son ordre, était recueillie et silencieuse, mais en même temps naturelle, sereine, pleine d’un amour bienveillant et désintéressé pour les autres.

Le mode de vie rigoureux et les jeûnes épuisants qu’elle s’était imposée, même avant son entrée dans la Congrégation, avaient tellement affaibli son organisme qu’il avait fallu, déjà comme postulante, l’envoyer à Skolimów, près de Varsovie, pour recouvrer la santé.

Après la première année de noviciat vinrent les épreuves mystiques extraordinairement douloureuses (appelées „la nuit obscure”), puis les souffrances spirituelles et morales liées à la réalisation de la mission qu’elle recevait de la part du Seigneur Jésus.

Soeur Faustine a donné sa vie en offrande pour les pécheurs, et, à ce titre, elle a subi aussi diverses épreuves dans le but de sauver leurs âmes.

Au cours des dernières années de sa vie, ses souffrances spirituelles (appelées « la nuit passive de l’esprit ») et ses problèmes de santé augmentèrent: la tuberculose, qui avait atteint les poumons et le tube digestif, se développa.
Pour cette raison, à deux reprises, elle dut faire des séjours de quelques mois à l’hôpital de Prodnik à Cracovie.

Complètement anéantie physiquement, mais en pleine maturité spirituelle, unie à Dieu mystiquement, elle mourut en odeur de sainteté le 5 octobre 1938, ayant à peine 33 ans, dont 13 ans de vie religieuse.

Son corps fut déposé dans une tombe du cimetière du Couvent, à Cracovie-Lagiewniki, puis au moment du procès informatif en vue de la Béatification en 1966, il fut transféré dans la  chapelle.

170980 108048095940391 100002056044673 58356 2182960 o 4(Pour voir la photo en grand format, cliquer dessus ou ouvrir le lien suivant: 170980-108048095940391-100002056044673-58356-2182960-o.jpg 170980-108048095940391-100002056044673-58356-2182960-o.jpg)

Extrait de ma Réflexion n° 100 : Les Hérésies modernes.

Sainte Sœur Faustine : note dans son "Petit Journal", § 740.

Cette vision qui reprend étrangement celle de Maria Valtorta et pourtant il presque impossible qu'il y ait eu connaissance réciproque des textes :

§ 740 "Aujourd’hui, j’ai été introduite par un Ange dans les gouffres de l’Enfer. C’est un lieu de grands supplices. Et son étendue est terriblement grande. Genres de souffrances que j’ai vues :

- La première souffrance qui fait l’enfer, est la perte de Dieu.

- La seconde : les perpétuels remords de conscience.

- La troisième : le sort des damnés ne changera jamais.

- La quatrième : c’est le feu qui va pénétrer l’âme sans la détruire. C’est une terrible souffrance, car c’est un feu purement spirituel, allumé par la colère de Dieu.

- La cinquième souffrance, ce sont les ténèbres continuelles, une odeur terrible, étouffante. Et malgré les ténèbres, les démons et les âmes damnées se voient mutuellement et voient tout le mal des autres et le leur.

- La sixième souffrance, c’est la continuelle compagnie de Satan.

- La septième souffrance : un désespoir terrible, la haine de Dieu, les malédictions, les blasphèmes.

Ce sont des souffrances que tous les damnés souffrent ensemble, mais ce n’est pas la fin des souffrances. Il y a des souffrances, qui sont destinées aux âmes en particulier : ce sont les souffrances des sens. Chaque âme est tourmentée d’une façon terrible selon ses péchés. Il y a de terribles caveaux, des gouffres de tortures où chaque supplice diffère de l’autre. Je serais morte à la vue de ces terribles souffrances, si la Toute-Puissance de Dieu ne m’avait soutenue !

Que chaque pécheur sache qu’il sera torturé durant toute l’éternité par les sens qu’il a employés pour pécher !

J’écris cela sur ordre de Dieu pour qu’aucune âme ne puisse s’excuser disant qu’il n’y a pas d’enfer, ou, que personne n’y a été et ne sait comment c’est. Moi, Sœur Faustine, par ordre de Dieu, j’ai pénétré dans les abîmes de l’enfer, pour en parler aux âmes et témoigner que l’enfer existe. Je ne peux pas en parler maintenant. J’ai l’ordre de Dieu de le laisser par écrit. Les démons ressentaient une grande haine envers moi. Mais l’ordre de Dieu les obligeait à m’être obéissants.

Ce que j’ai écrit est un faible reflet des choses que j’ai vues. Une chose que j’ai remarquée c’est qu’il y avait là beaucoup d’âmes qui doutaient que l’enfer existât. Quand je suis revenue à moi, je ne pouvais pas apaiser ma terreur de ce que les âmes y souffrent si terriblement. Aussi je prie encore plus ardemment pour le salut des pécheurs. Sans cesse j’appelle la miséricorde divine sur eux. Ô mon Jésus, je préfère agoniser jusqu'à la fin du monde dans les plus grands supplices que de Vous offenser par le moindre péché !".

 

Je voudrais mettre ici une courte parenthèse, suite à ces deux visions qui parlent l’une comme l’autre, de « tant d’âmes » qui sont en Enfer (notamment d’âmes qui ne croyaient pas à son existence), pour rappeler une Parole de Jésus dans Les Evangiles…sans doute bien négligée… et qui pourtant confirme ces visions !!!

Luc 13 22-29. (La porte étroite et l’entrée dans Le Royaume).

Jésus dit : …Luttez pour entrer par la porte étroite, car beaucoup, Je vous le dis, chercheront à entrer et ne pourront pas…alors vous vous mettrez à dire : « Nous avons mangé et bu devant Toi, tu as enseigné sur nos places ». Mais il vous répondra : « Je ne sais pas d’où vous êtes, éloignez-vous de moi, vous tous qui commettez l’injustice ».

Là seront les pleurs et les grincements de dents, lorsque vous verrez Abraham, Isaac, Jacob, et tous les prophètes dans Le Royaume de Dieu, et vous, jetés dehors.

200px-faustina-1.jpgFace à ce danger qui guette tous ceux qui se laissent tenter par le désir d’aller faire un tour sur les chemins larges, bien éclairés et bien pavés du "malin"…

Jésus donne une voie qui est « voie de Salut éternel »…c’est de recourir à Sa Divine Miséricorde…qui n’a aucunes limites.

Fête de La Divine Miséricorde...Le Dimanche de la Miséricorde

Jésus disait à Sœur Faustine :

" Ma fille, parle au monde entier de mon inconcevable Miséricorde. Je désire que la Fête de la Miséricorde soit le recours et le refuge pour toutes les âmes, et surtout pour les pauvres pécheurs.

En ce jour les entrailles de ma Miséricorde sont ouvertes, je déverse tout un océan de grâces sur les âmes qui s'approcheront de la source de ma miséricorde ; toute âme qui se confessera (dans les huit jours qui précèdent ou suivent ce Dimanche de la Miséricorde) et communiera, recevra le pardon complet de ses fautes et la remise de leur peine ; en ce jour sont ouvertes toutes les sources divines par lesquelles s'écoulent les grâces ; qu'aucune âme n'ait peur de s'approcher de moi, même si ses péchés sont comme l'écarlate. [...]

La Fête de la Miséricorde est issue de mes entrailles, je désire qu'elle soit fêtée solennellement le premier dimanche après Pâques. Le genre humain ne trouvera pas la paix tant qu'il ne se tournera pas vers la source de ma Miséricorde. " (Petit Journal, § 699).

 

Le Sacrement de la Confession

" Ma fille, quand tu t'approches de la Sainte Confession, de cette source de ma Miséricorde, le Sang et l'Eau qui sont sortis de mon Coeur se déversent sur ton âme et l'ennoblissent.

Chaque fois que tu te confesses, plonge-toi tout entière dans ma Miséricorde avec grande confiance, pour que je puisse répandre en ton âme toutes les largesses de ma grâce.

Quand tu vas te confesser, sache que c'est moi-même qui t'attends dans le confessionnal. Je ne fais que me cacher derrière le prêtre, mais c'est moi seul qui agis dans l'âme.

Ici, la misère de l'âme rencontre le Dieu de Miséricorde. Dis aux âmes qu'à cette source de Miséricorde elles ne puisent qu'avec le vase de la confiance.

Lorsque leur confiance est grande, il n'y a pas de borne à mes largesses. Les torrents de ma grâce inondent les âmes humbles.

Les orgueilleux seront toujours dans la misère et la pauvreté car ma grâce se détourne d'eux pour aller vers les âmes humbles. " (§ 1602)

" Dis aux âmes qu'elles doivent chercher la consolation au tribunal de la Miséricorde. Là, les plus grands miracles se renouvellent sans cesse...

Il suffit de se jeter avec foi aux pieds de celui qui tient ma place, de lui dire sa misère, et le miracle de la Divine Miséricorde se manifestera dans toute sa plénitude.

Même si cette âme était comme un cadavre en décomposition et même si, humainement parlant, il n'y avait plus aucun espoir de retour à la vie et que tout semblait perdu, il n'en est pas ainsi pour Dieu : le miracle de la Divine Miséricorde rendra la vie à cette âme dans toute sa plénitude.

Oh ! Malheureux qui ne profitez pas maintenant de ce miracle de la Divine Miséricorde, en vain vous appellerez, il sera déjà trop tard ! " (§ 1448)

 

La Sainte Communion

" Je désire m'unir aux âmes humaines, mon délice est de m'unir aux âmes. Sache-le, ma fille, lorsque je viens dans un coeur humain dans la sainte communion, j'ai les mains pleines de toutes sortes de grâces, et je désire les donner aux âmes.

Mais les âmes ne font même pas attention à moi, elles me laissent seul et s'occupent d'autre chose. Oh, comme cela m'attriste que les âmes ne comprennent pas mon amour ! " (§ 1385)

Combien il m'est douloureux que les âmes s'unissent si peu à moi dans la sainte communion ! J'attends les âmes mais elles sont indifférentes envers moi.

Je les aime si sincèrement et avec tant de tendresse, et elles se défient de moi ! Je veux les combler de grâces et elles ne veulent pas les accepter.

Elles me traitent comme une chose morte alors que mon Coeur est rempli d'amour et de miséricorde. "

" Ecris pour les âmes religieuses que mon délice est de venir dans leur coeur par la Sainte Communion. " (§ 1683)

" Regarde, j'ai quitté mon trône céleste pour m'unir à toi. Ce que tu vois, c'est à peine un pan du voile qui s'est soulevé et déjà ton âme défaille d'amour.

Mais lorsque tu me verras dans toute ma gloire, quel saisissement pour ton coeur ! Laisse-moi te dire que la vie éternelle doit commencer ici sur la terre par la sainte communion.

Chaque communion te rendra davantage capable de t'unir à Dieu pour toute l'éternité. " (§ 1810).

Marie faustine 2Pour voir l’ensemble du « Petit Journal » de Sainte Sœur Marie-Faustine :
http://eucharistiemisericor.free.fr/index.php?page=petit_journal

226701 1349579915081 1698864233 599566 8278645 n 2

http://www.faustine-message.com/.

“JE DÉSIRE QUE LE MONDE ENTIER CONNAISSE MA MISÉRICORDE” (PJ 687)

LE CHAPELET À LA MISÉRICORDE DIVINE

(Le PETIT JOURNAL de sainte soeur Faustine) Vilnius, Lituanie “Vendredi 13.IX.1935.
Le soir, quand j’étais dans ma cellule, j’ai vu un ange, l’exécuteur de la colère de Dieu. Il était en robe  claire, la face rayonnante, une nuée sous les pieds, de cette nuée sortaient la foudre et des éclairs jusqu’à ses mains, et de sa main ils sortaient et touchaient seulement alors la terre. Lorsque je vis ce signe de la colère de Dieu qui devait frapper la terre, et surtout un certain endroit, que je ne puis nommer pour de bonnes raisons, j’ai commencé à prier l’ange, pour qu’il s’arrête quelques instants, et le monde fera pénitence.

Mais ma demande n’était rien face à la colère de Dieu. (...) Au même instant, je sentis en mon âme la force de la Grâce de Jésus qui habite mon âme; au moment où je pris conscience de cette Grâce, à l’instant même je fus enlevée devant le Trône de Dieu. (...) J’ai commencé à supplier Dieu pour le monde, par des paroles entendues intérieurement.
Alors que je priais ainsi, j’ai vu l’impuissance de l’ange qui ne pouvait accomplir la juste punition qui revient de plein droit aux péchés. Je n’avais jamais encore prié avec tant de force intérieure.

Voilà les paroles par lesquelles je suppliais Dieu:

« Père Éternel, je T’offre le Corps et le Sang, l’Âme et la Divinité de Ton Fils Bien-Aimé, Notre-Seigneur Jésus-Christ, en réparation de nos péchés et de ceux du monde entier; par Sa douloureuse Passion, sois Miséricordieux pour nous ».
Le lendemain matin en entrant dans la chapelle, j’ai entendu intérieurement ces paroles: Chaque fois que tu entres dans la chapelle, récite tout de suite la prière que je t’ai apprise hier. Lorsque j’ai récité cette Prière, j’entendis ces paroles dans mon âme:

« Cette prière sert à apaiser Ma colère, tu vas la réciter pendant neuf jours, sur un chapelet, de la manière suivante:

D’abord tu diras un NOTRE  PÈRE, un JE VOUS SALUE MARIE et le JE CROIS EN DIEU, puis sur les grains du  NOTRE  PÈRE, tu vas dire les mots suivants:

Père Eternel, je T’offre le Corps et le Sang, l’Ame et la Divinité de Ton Fils bien-aimé, Notre Seigneur Jésus-Christ en réparation de nos péchés et de ceux du monde entier.

Sur les grains du JE VOUS SALUE MARIE, tu diras les mots suivants:

Par Sa douloureuse Passion, sois Miséricordieux pour nous et pour le monde entier.

A la fin tu réciteras trois fois ces paroles: Dieu Saint, Dieu Fort, Dieu Éternel, prends Pitié de nous et du monde entier” (PJ, 474-476) ».

101-2802-1.jpgLa maison de la Congrégation de Notre-Dame de la Miséricorde où, dans les années 1933 -1936 a séjourné sainte Faustine. C’est dans cette maison que le Seigneur Jésus lui a dicté le chapelet à la Miséricorde Divine. Vilnius, rue Grybo 29.

“Oh! Quelles grandes grâces J’accorderai aux âmes qui diront ce chapelet (...) Inscris ces mots, ma fille, parle au monde de ma Miséricorde, que l’humanité entière apprenne à connaître Mon insondable Miséricorde.

C’est un signe pour les derniers temps, après viendra le jour de la Justice. Tant qu’il en est temps, que les hommes aient recours à la source de la Miséricorde, qu’ils profitent du Sang et de l’Eau qui ont jailli pour eux” (PJ 848).

“Récite constamment le chapelet que Je t’ai enseigné. Quiconque le dira, accédera à une grande Miséricorde à l’heure de sa mort.

Les Prêtres le recommanderont aux pécheurs comme ultime planche de Salut; même le pécheur le plus endurci, s’il récite ce chapelet une seule fois, obtiendra la grâce de Mon infinie Miséricorde” (PJ  687).

LA PROMESSE DE GRÂCE
DE MISÉRICORDE POUR LES AGONISANTS

“Il Me plaît de leur accorder tout ce qu’elles Me demanderont en disant ce chapelet. Lorsque les pécheurs endurcis le réciteront, J’emplirai leur âme de Paix et l’heure de leur mort sera heureuse.

Écris cela pour les âmes affligées: Lorsque l’âme verra ses péchés et en mesurera le poids, lorsque se dévoilera à ses yeux tout l’abîme de la misère dans laquelle elle s’est plongée, qu’elle ne désespère pas mais qu’elle se jette avec confiance dans les bras de Ma miséricorde, comme l’enfant dans les bras de sa mère bien-aimée.(...)

Dis-leur qu’aucune âme faisant appel à Ma miséricorde n’a été déçue ni n’a éprouvé de honte. Je me complais particulièrement dans l’âme qui fait confiance à Ma bonté.

Écris: Si l’on récite ce chapelet auprès d’un agonisant, Je me tiendrai entre Le Père et l’âme agonisante, non pas en tant que Juge juste, mais comme Sauveur Miséricordieux” (PJ 1541).

 

“A l’heure de la mort Je défends comme ma propre Gloire chaque âme qui récite ce chapelet elle-même, (...)

Quand on récite ce chapelet auprès de l’agonisant, la colère Divine s’apaise, une Miséricorde insondable s’empare de son âme” (PJ 811).

On récite cette Prière sur un chapelet. Au début:
Notre Père qui es aux cieux, que Ton nom soit sanctifié, que Ton règne vienne, que Ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés. Et ne nous soumets pas à la tentation, mais délivre-nous du Mal. Amen.
Je vous salue Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. Amen.
Je crois en Dieu, le Père tout-puissant, créateur du ciel et de la terre. Et en Jésus Christ, Son Fils unique, notre Seigneur, qui a été conçu du Saint-Esprit, est né de la Vierge Marie, a souffert sous Ponce Pilate, a été crucifié, est mort et a été enseveli, est descendu aux enfers, le troisième jour est ressuscité des morts, est monté aux cieux, est assis à la droite de Dieu le Père tout-puissant, d’où Il viendra juger les vivants et les morts. Je crois en l’Esprit Saint, à la sainte Église catholique, à la communion des saints, à la rémission des péchés, à la résurrection de la chair, à la vie éternelle. Amen.

Sur les gros grains du Notre Père (1 fois):
Père Eternel, je T’offre le Corps et le Sang, l’Ame et la Divinité de Ton Fils Bien-Aimé, Notre Seigneur Jésus Christ en réparation de nos péchés et de ceux du monde entier.
Sur les petits grains du Je vous salue Marie (10 fois):
Par Sa douloureuse Passion, sois Miséricordieux pour nous et pour le monde entier.
A la fin (3 fois):
Dieu Saint, Dieu Fort, Dieu Éternel, prends pitié de nous et du monde entier” (PJ 476).

Sainte s ur marie faustine 11

Le Seigneur Jésus dit à Sainte Faustine: “Je désire que cette Miséricorde se répande sur le monde entier par ton cœur. Que quiconque t’approchera ne te quitte pas sans cette confiance en Ma miséricorde que Je désire tant pour les âmes. Prie autant que tu le peux pour les agonisants, obtiens-leur la confiance en Ma miséricorde, car ce sont eux qui ont le plus besoin de la confiance et qui en ont le moins” (PJ 1777).

“Ma fille, aide-moi à sauver un pécheur agonisant; récite pour lui ce chapelet que Je t’ai enseigné.

Lorsque j’ai commencé à réciter ce chapelet, j’ai vu ce mourant dans de terribles luttes et supplices.

L’Ange Gardien le défendait, mais il était comme sans force devant l’immensité de la misère de cette âme. (...) Mais pendant que je récitais le chapelet, je vis Jésus, tel qu’Il est peint sur le tableau.

Les rayons qui sortaient du Cœur de Jésus enveloppèrent le malade et les forces des ténèbres s’enfuirent, dans la panique.Le malade rendit calmement le dernier soupir” (PJ 1565).

 

“Je suis souvent en relation avec des âmes à l’agonie, leur obtenant la Miséricorde Divine. Oh! Comme la Bonté de Dieu est grande, plus grande que ce que nous pouvons concevoir. Il y a des moments et des mystères de la Miséricorde Divine à la vue desquels les Cieux sont surpris. Que cessent nos jugements sur les âmes car la Miséricorde Divine envers elles est étonnante” (PJ 1684).

“La Miséricorde Divine atteint parfois le pécheur au dernier moment, d’une manière étrange et mystérieuse.

A l’extérieur c’est comme si tout était perdu, mais il n’en est pas ainsi: l’âme éclairée par un puissant rayon de la Grâce suprême, se tourne vers Dieu avec une telle puissance d’Amour, qu’en un instant elle reçoit de Dieu le Pardon et de ses fautes et de leurs punitions, et à l’extérieur elle ne nous donne aucun signe de repentir ou de contrition, car elle ne réagit plus aux choses extérieures.

Oh! Que la Miséricorde Divine est insondable. Mais horreur – il y a aussi des âmes, qui volontairement et consciemment rejettent cette Grâce et la dédaignent.

Bien que cela soit déjà l’agonie, Dieu Miséricordieux donne à l’âme ce moment de clarté intérieure, et si l’âme le veut, elle a la possibilité de revenir à Dieu.

Mais parfois il y a  chez les âmes un tel endurcissement, qu’elles choisissent consciemment l’enfer; elles font échouer toutes les Prières que d’autres âmes dirigent vers Dieu à leur intention, et même les efforts de Dieu...” (PJ  1698).

 

 “Union avec les agonisants. Ils me demandent des Prières; je peux prier, étrangement le Seigneur me donne un esprit de Prière, je suis constamment Unie à Lui.

Je sens pleinement que je vis pour les âmes, pour les amener à Ta miséricorde, ô Seigneur; pour cela aucun Sacrifice n’est trop petit” (PJ 971).

“...Le Seigneur m’a fait connaître combien Il désire que l’âme se distingue par des actes d’Amour, et je perçus en mon esprit combien sont nombreuses les âmes qui appellent: « Donnez-nous Dieu », et le sang d’un apôtre a bouillonné en moi.

Je n’en serai pas avare, mais je le verserai jusqu’à la dernière goutte pour les âmes immortelles, bien que peut-être physiquement Dieu ne l’exige pas, mais en mon âme cela m’est possible et non moins méritoire” (PJ 1249).

"Je désire parcourir le monde entier et parler aux âmes
de la grande Miséricorde de Dieu. PRÊTRES, AIDEZ-MOI EN CELA..." (PJ 491).

“Dis à Mes prêtres que les pécheurs endurcis se repentiront à leurs paroles, lorsqu’ils parleront de Mon insondable Miséricorde, de la Pitié que J’ai pour eux en Mon cœur.
Aux Prêtres qui proclameront et glorifieront Ma miséricorde, je donnerai une force extraordinaire, je Bénirai leurs paroles et je toucherai les cœurs auxquels ils s’adresseront” (PJ 1521).

“Ma fille, regarde l’abîme de Ma miséricorde, honore et glorifie Ma miséricorde et fais-le de la façon suivante: rassemble tous les pécheurs du monde entier et plonge-les dans l’abîme de Ma miséricorde” (PJ 206).

“Pénètre Mes mystères et tu découvriras l’abîme de Ma miséricorde envers les créatures et Mon insondable Bonté – et tu la feras connaître au monde. Par tes Prières, tu vas être l’intermédiaire entre la Terre et le Ciel” (PJ 438).

"TU PRÉPARERAS LE MONDE À MON ULTIME VENUE" (PJ 429).

“Mon royaume sur Terre est –
Ma vie dans l’âme humaine” (PJ 1784).

Sainte Soeur Faustine: “Lorsque je me suis plongée dans l’Oraison et que je me suis unie à toutes les Messes qui se célébraient à ce moment-là dans le monde entier, j’ai imploré Dieu, par toutes ces saintes Messes, d’avoir Miséricorde pour le monde et particulièrement pour les pauvres pécheurs qui à ce moment-là étaient en agonie.

Au même instant j’ai reçu intérieurement la réponse de Dieu que mille âmes avaient obtenu grâce par l’intermédiaire de la Prière que j’avais offerte à Dieu.

Nous ne savons pas le nombre d’âmes que nous devons sauver par nos Prières et nos Sacrifices, c’est  pourquoi Prions toujours pour les pécheurs” (PJ 1783).

“Oh! Combien nous devrions Prier pour les agonisants; profitons de la Miséricorde tant que c’est le temps de la Pitié” (PJ 1035).

 

“Ô vie grise et monotone, que de trésors tu recèles. Aucune heure ne ressemble à une autre, car la grisaille et la monotonie disparaissent quand je regarde tout avec l’œil de la Foi.

La grâce qui m’est donnée à cette heure-ci ne se répétera pas à une autre fois. Elle me sera donnée à la seconde heure, mais ce ne sera plus la même. Le temps passe et ne revient jamais. Ce qu’il contient ne changera jamais, il est scellé du sceau pour les siècles” (PJ 62).

Faustina kowalska 96 2

http://voiemystique.free.fr/theologie_du_coeur_de_jesus_22.htm.

Faustine [1]
(1905-1938)

La Miséricorde Divine

Ô Dieu inconcevable,
tout commence par ta Miséricorde
et se termine par ta Miséricorde.

Parle au monde de ma Miséricorde, de mon Amour.
Parle aux âmes des pécheurs,
pour qu’elles ne craignent pas de s’approcher de Moi,
parle-leur de ma grande Miséricorde.

Sainte Faustine, de son vrai nom Hélène Kowalska, troisième des 10 enfants d’une famille polonaise de paysans pieux, est connue dans le monde entier comme l’apôtre de la Miséricorde Divine. Elle dut d’abord s’engager, dès l’âge de 16 ans, comme servante, afin d’assurer sa subsistance et d’aider ses parents.

En 1925 elle entra dans la Congrégation des Sœurs de Notre-Dame de la Miséricorde, à Varsovie. Elle reçut le nom de Sœur Marie-Faustine et fut employée comme cuisinière, jardinière ou portière.

Destinée à remplir une mission importante, elle bénéficia de nombreuses grâces quoique extérieurement rien ne manifestât l’intensité de sa vie mystique.

Ainsi, le Vendredi Saint 1937, son cœur épousa le Cœur de Jésus. Laissons-la parler : “... Il me fit entrer dans une si étroite Union avec Lui, et mon cœur épousa son Cœur avec Amour et je ressentais Ses plus légers frémissements et Lui les miens. Le feu de mon Amour, une fois créé, fut uni au Feu de Son Amour éternel. Cette grâce, par son immensité, dépasse toutes les autres.” (1056)  [3]

Pendant quatre ans elle écrivit, à la demande expresse de Jésus ce qui a été appelé le ”Petit journal” de Sœur Faustine, dans lequel on trouve toute la doctrine concernant la Miséricorde Divine.

Atteinte de tuberculose pulmonaire et intestinale, Sœur Faustine, qui avait offert sa vie en Offrande pour le Salut des pécheurs, mourut le 5 octobre 1938, à l’âge de 33 ans.

Elle a été Béatifiée par le Bienheureux Pape Jean-Paul II, à Rome, le 18 avril 1993 et Canonisée le 30 avril 2000. 

 

Nous commencerons par laisser parler Faustine : “Ô Dieu inconcevable, mon cœur se liquéfie dans la joie à la pensée que Tu m’as laissée pénétrer dans le mystère de ta Miséricorde.

Tout commence par Ta Miséricorde et se termine par Ta Miséricorde.

Toute grâce découle de la Miséricorde et la dernière heure est pleine de Miséricorde pour nous.

Que personne ne doute de la Bonté de Dieu; nos péchés seraient-ils noirs comme la nuit, la Miséricorde de Dieu est plus forte que notre misère.

Une seule chose est nécessaire: que le pécheur entrouvre, ne serait-ce qu’un peu, les portes de son cœur aux rayons de la Miséricorde Divine, et Dieu fera le reste.

Mais malheur à l’âme qui a fermé la porte à la Miséricorde Divine, même à la dernière heure. Ces âmes-là ont plongé Jésus dans une mortelle tristesse au Jardin des Oliviers, et cependant la Miséricorde de Dieu a jailli de son Cœur très compatissant. (1506-1507)...

La Fête de la Miséricorde a jailli des entrailles de Jésus pour la consolation du monde entier.” (1517)

Les demandes particulières de Jésus
à Sœur Faustine

Je désire qu’il y ait une Fête de la Miséricorde.

Jésus a révélé à Sainte Faustine de nombreux aspects de son Cœur et lui a fait un certain nombre de demandes liées à la mission particulière à laquelle il destinait cette âme choisie. Toutefois, outre le message qui devait être livré au monde entier, Jésus a beaucoup insisté sur deux autres de ses désirs: la réalisation d’une image exprimant sa Miséricorde et réclamant notre confiance, et l’institution de la Fête de la Miséricorde Célébrée dans le monde entier.

L’Image et la Fête sont souvent associées dans les textes de Sainte Faustine.

Toutefois, pour plus de clarté, dans les deux paragraphes qui suivent, on a regroupé ce qui concerne plus spécialement, soit l’Image, soit la Fête.

Ce qui concerne un petit chapelet, que Jésus a demandé à Faustine de réciter souvent, est également rapporté dans ce chapitre.

Jesus misericordieux 96 2L’Image

Dès le début de sa Vie Religieuse, Faustine entendit ces demandes : “Peins un tableau selon l’image que tu vois, avec l’inscription: Jésus, j’ai confiance en Toi.

Je désire qu’on honore cette image, d’abord dans votre chapelle, puis dans le monde entier. Je promets que l’âme qui honorera cette image ne sera pas perdue. Je lui promets aussi la victoire sur ses ennemis dès ici-bas, spécialement à l’heure de la mort. Moi-même Je la défendrai, comme ma propre Gloire.”

Et quelques jours plus tard : “Je désire qu’il y ait une Fête de la Miséricorde. Je veux que cette image que tu peindras avec un pinceau, soit solennellement Bénie, le premier Dimanche après Pâques, ce Dimanche doit être la Fête de la Miséricorde.” (47 à 49)

Jésus donne la signification des rayons qui partent de son Cœur: “Ces deux rayons indiquent le Sang et l’Eau: le rayon pâle signifie l’Eau qui justifie les âmes; le rayon rouge signifie le Sang, qui est la vie des âmes...

Ces deux rayons jaillirent des entrailles de Ma Miséricorde, alors que Mon Cœur, agonisant sur la Croix, fut ouvert par la lance.

Ces rayons protègent les âmes de la colère de mon Père. Heureux celui qui vivra dans leur ombre, car la main juste de Dieu ne l’atteindra pas.

Je désire que le premier Dimanche après Pâques soit la Fête de la Miséricorde. (299) ... L’humanité ne trouvera pas la Paix tant qu’elle ne se tournera pas avec confiance vers ma Miséricorde... (300)

Proclame que la Miséricorde est le plus grand attribut de Dieu... Aucune âme ne trouvera justification tant qu’elle ne s’adressera pas avec confiance à ma Miséricorde, et c’est pourquoi le premier Dimanche après Pâques doit être la Fête de la Miséricorde, et les Prêtres doivent ce jour-là parler aux âmes de ma grande et insondable Miséricorde...

Par cette image J’accorderai beaucoup de grâces aux âmes. Que chaque âme ait donc accès à elle.” (570)

Jésus insiste beaucoup sur la nécessité d’honorer sa Miséricorde et l’image qu’Il a confiée à Faustine : “J’exige qu’on honore ma Miséricorde... en honorant cette image qui a été peinte. Par cette image, Je donnerai beaucoup de grâces aux âmes; elle doit leur rappeler les exigences de ma Miséricorde...” (742)

Les Révélations

La Miséricorde de Dieu et le Cœur Miséricordieux de Jésus

Je ne suis qu’Amour et Miséricorde !
Mon cœur déborde de pitié et de Miséricorde pour tous.

Une seule chose est nécessaire :
que le pécheur entrouvre, ne serait-ce qu’un peu,
les portes de son cœur aux rayons de la Miséricorde divine,
et Dieu fera le reste.

Ma Miséricorde est plus grande que ta misère et celle du monde entier,
et Je ne rejette jamais un cœur humble.

Oh! que la Miséricorde du Seigneur est grande: elle surpasse tous ses attributs.

Je mène chaque âme à la sainteté par un chemin qui n’est connu que de Moi.

Jésus n’est qu’Amour et Miséricorde

Faustine prie : ”Ô Sacré-Cœur, source de Miséricorde dont les rayons de grâces inconcevables se répandent sur tout le genre humain, je T’en supplie... ne permets pas que périssent les âmes rachetées au prix de ton sang très saint.”

Jésus impose à Sœur Faustine d’écrire ce qu’Il lui dit: J’exige que tu consacres chaque moment libre à écrire sur ma bonté et ma Miséricorde : c’est là ton office et ton devoir en cette vie de faire connaître aux âmes ma grande Miséricorde...”   (1567) 

Pendant près de quatre ans, Jésus va, progressivement, dévoiler à Faustine la richesse de sa Miséricorde :

“Avant de venir comme un juge équitable, Je viens d’abord comme Roi de Miséricorde. Avant qu’advienne le jour de Justice, il sera donné aux hommes un signe dans le Ciel.

Toute lumière s’éteindra et il y aura de grandes ténèbres sur toute la terre.

Alors le signe de la Croix se montrera dans le Ciel, et des plaies et des mains du Sauveur sortiront de grandes lumières, qui, pendant quelque temps illumineront la terre. Ceci se passera peu de temps avant le dernier jour... (80)

Ma Miséricorde, c’est un signe pour les derniers temps, après viendra le jour de la Justice. Tant qu’il en est temps, que les hommes aient recours à ma Miséricorde, qu’ils profitent du Sang et de l’Eau qui ont jailli pour eux.”( 848)

Jésus se présente : “Je ne suis qu’Amour et Miséricorde ; il n’y a point de misère qui puisse se mesurer à ma Miséricorde, ni de misère qui puisse en venir à bout puisqu'au moment de se communiquer, ma Miséricorde s’amplifie.

L’âme qui fait confiance en ma Miséricorde est la plus heureuse car Je prends Moi-même soin d’elle. (1273)

Jésus veut que son Cœur Miséricordieux soit connu pour que les âmes soient sauvées

“La Miséricorde est la fleur de l’Amour. Dieu est Amour et la Miséricorde est son Acte.”(651) Le jour de la Fête du Sacré-Cœur 1937, pendant la Messe, Faustine eut connaissance du Cœur de Jésus. Elle dit: “De quel Feu d’Amour il brûle pour nous! Il est un Océan de Miséricorde.”(1142)

Le salut des âmes

Jésus veut le salut des âmes : “Je désire Me donner aux âmes, Je désire les âmes...(206). Mon Cœur déborde d’une grande Miséricorde pour les âmes, et particulièrement pour les pauvres pécheurs...

C’est pour elles que le Sang et l’Eau ont jailli de mon cœur comme d’une source débordante de Miséricorde. Pour elles Je demeure au Tabernacle.

Comme Roi de Miséricorde Je désire combler les âmes de grâces, mais elles ne veulent pas les accepter... (367)

Plus le pécheur est grand, plus il a droit à ma Miséricorde. Sur chaque œuvre de mes mains est gravée ma Miséricorde.

Qui a confiance en ma Miséricorde ne périra pas, car toutes ses affaires sont miennes et ses ennemis se briseront à mes pieds...(723)

Que les plus grands pécheurs mettent leur espoir en ma Miséricorde. Ils ont droit, avant les autres, à la confiance en l’abîme de ma Miséricorde...

Les âmes qui s’adressent à ma Miséricorde Me réjouissent...(1146) La source de ma Miséricorde  a été largement ouverte par la lance sur la Croix pour toutes les âmes: Je n’exclus personne ! (1182)

Jésus insiste beaucoup sur le salut des âmes...

“Ma Miséricorde est à l’œuvre dans tous les cœurs qui lui ouvrent la porte; le pêcheur comme le juste en ont besoin.

La conversion comme la persévérance est une grâce de ma Miséricorde... (1577) Amène-moi l’humanité entière, et particulièrement tous les pécheurs, et immerge-la dans l’océan de ma Miséricorde. Tu me consoleras ainsi de cette amère tristesse dans laquelle me plonge la perte des âmes... (1210)

“.. Je ne puis aimer une âme souillée par le péché, mais, lorsqu’elle se repent, il n’y a pas de limites à la largesse que j’ai envers elle. Ma Miséricorde l’enveloppe et la justifie.

Je poursuis de ma Miséricorde les pécheurs sur tous leurs chemins, et mon Cœur se réjouit quand ils reviennent vers Moi...

Dis aux pécheurs que Je les attends toujours... Je leur parle par leurs remords de conscience, par les insuccès et les souffrances, par les orages et la foudre, Je leur parle par la voix de l’Église... (1728)

Je suis la Miséricorde même pour l’âme contrite. La plus grande misère de l’âme n’allume pas ma colère, mais mon Cœur frémit d’une grande Miséricorde pour elle.” (1739)

Jésus insiste aussi beaucoup sur la Confession.

“... Dis aux âmes où elles doivent chercher la consolation, c’est au Tribunal de la Miséricorde. C’est là qu’ont lieu les plus grands miracles qui se renouvellent sans cesse...

Il suffit de se jeter aux pieds de celui qui tient ma place, de lui dire sa misère, et le miracle de la Miséricorde divine se manifestera dans toute sa plénitude...

Le miracle de la Miséricorde redonnera vie même à une âme morte, dans toute sa plénitude (1448)...

Ma Miséricorde est plus grande que ta misère et celle du monde entier... Je ne rejette jamais un cœur humble, la misère sombre dans l’abîme de ma Miséricorde... (1485)

Quand tu t’approches de la sainte Confession, de cette source de ma Miséricorde, le Sang et l’Eau qui sont sortis de Mon Cœur se déversent sur ton âme et l’ennoblissent...

Quand tu vas te confesser, sache que Je me dissimule seulement derrière le Prêtre, mais c’est Moi seul qui agis dans l’âme. Ici la misère de l’âme rencontre le Dieu de Miséricorde.” (1602)

Aux âmes religieuses, Jésus dit :

“Toute  âme devrait refléter ma Miséricorde, et surtout une âme religieuse. Mon cœur déborde de pitié et de Miséricorde pour tous.

Le cœur de ma bien-aimée doit ressembler au Mien, et de son cœur doit jaillir la source de ma Miséricorde pour les âmes... (1148)

Aujourd’hui amène-moi les âmes Sacerdotales et Religieuses et immerge-les dans mon insondable Miséricorde. Elles m’ont donné la force d’endurer mon amère Passion. Par elles, comme par des canaux, ma Miséricorde se déverse sur l’humanité. (1212) 

Que les âmes qui tendent à la perfection adorent particulièrement ma Miséricorde, car l’abondance des grâces que Je leur accorde découle de ma Miséricorde... Je désire que ces âmes se distinguent par une confiance illimitée en ma Miséricorde... Les âmes d’une confiance sans borne me sont une grande joie, car Je verse en elles le trésor entier de mes grâces. (1578)

Et encore : “A trois heures implore ma Miséricorde, tout particulièrement pour les pécheurs, et, ne fût-ce qu’un bref instant, plonge-toi dans ma Passion, en particulier dans mon abandon au moment de mon agonie.

C’est là une heure de grande Miséricorde pour le monde entier... (1320) Chaque fois que tu entendras l’horloge sonner trois heures, immerge-toi tout entière en ma Miséricorde en l’adorant et en la glorifiant.

Fais appel à sa toute puissance pour le monde entier et particulièrement pour les pauvres pécheurs... A cette heure la grâce a été donnée au monde entier: la Miséricorde l’emporta sur la Justice... (1572)

Regarde en mon Cœur empli d’Amour et de Miséricorde pour les hommes... Regarde et entre dans ma Passion.”(1663).

La Miséricorde de Dieu sauvera les âmes au moment de la mort

Instruite par le Seigneur, Faustine laisse parfois épancher son cœur : “Ô Dieu inconcevable, mon cœur se liquéfie dans la joie à la pensée que Tu m’as laissée pénétrer dans le mystère de ta Miséricorde.

Tout commence par ta Miséricorde et se termine par ta Miséricorde. Toute grâce découle de ta Miséricorde et la dernière heure est pleine de Miséricorde pour nous...

La Miséricorde de Dieu est plus forte que notre misère... Malheur à l’âme qui a fermé la porte à la Miséricorde divine, même à la dernière heure.

Ces âmes-là ont plongé Jésus dans une mortelle tristesse au Jardin des Oliviers, et cependant la Miséricorde de Dieu a jailli de son Cœur très compatissant.” (1506-1507)

Maintenant laissons Dieu parler :

“Ceux qui proclameront ma grande Miséricorde, Moi-même je les défendrai à l’heure de la mort... Envers les âmes qui auront recours à ma Miséricorde et envers celles qui en parleront aux autres...

J’agirai à l’heure de leur mort, selon mon infinie Miséricorde...(378 et 379)

J’ai ouvert mon Cœur, source vivante de Miséricorde. Que toutes les âmes y puisent la vie, qu’elles s’approchent de cet océan de Miséricorde avec une très grande confiance...

Celui qui a mis sa confiance en ma grande Miséricorde, à l’heure de la mort, J’emplirai son âme de ma divine Paix... (1520)

Toutes les âmes qui vénéreront ma  Miséricorde... ces âmes ne connaîtront pas l’effroi à l’heure de la mort.

Ma Miséricorde les abritera lors de cette dernière lutte... Aucune âme faisant appel à ma grande Miséricorde n’a été déçue ni n’a éprouvé de honte. Je me complais particulièrement dans l’âme qui fait confiance à ma Bonté. (1540-1541)

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Date de dernière mise à jour : 05/10/2023

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