Eucharistie du Dimanche 12 Septembre 2021 : Vingt-quatrième Dimanche du Temps Ordinaire, Année B.
L’Église fait mémoire (facultative) de la Fête du Saint Nom de Marie.
(Mais la Célébration du Vingt-quatrième Dimanche du Temps Ordinaire a la préséance sur la mémoire de la Fête du Saint Nom de Marie).
Fête de Saint Guy ou Guidon d'Anderlecht, Pèlerin (950-1012).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, 2ème lecture, Évangile) :
Livre d'Isaïe 50,5-9a… Psaume 116(114),1-2.3-4.5-6.8-9… Lettre de saint Jacques 2,14-18… Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc 8,27-35.
Commentaire de Sainte Thérèse-Bénédicte de la Croix [Édith Stein] (1891-1942), Carmélite, Martyre, Co-Patronne de l'Europe.
Autre commentaire de Frère Jean-Christian Lévêque, o.c.d. (Carmel).
Autre commentaire de l’Abbé Antoni CAROL i Hostench (Sant Cugat del Vallès, Barcelona, Espagne).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Dimanche 12 Septembre 2021 : Fête du Saint Nom de Marie.
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Fête du Saint Nom de Marie.
Dimanche 12 Septembre 2021 : Fête de Saint Guy ou Guidon d'Anderlecht, Pèlerin (950-1012).
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Saint Guy ou Guidon d'Anderlecht.
Les Saints du 12 Septembre.
http://reflexionchretienne.e-monsite.com/pages/vie-des-saints/septembre/saints-saintes-et-fetes-du-jour-2.html
LITURGIE DE LA PAROLE.
Livre d'Isaïe 50,5-9a.
Le Seigneur mon Dieu m’a ouvert l’oreille, et moi, je ne me suis pas révolté, je ne me suis pas dérobé.
J’ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient, et mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe. Je n’ai pas caché ma face devant les outrages et les crachats.
Le Seigneur mon Dieu vient à mon secours ; c’est pourquoi je ne suis pas atteint par les outrages, c’est pourquoi j’ai rendu ma face dure comme pierre : je sais que je ne serai pas confondu.
Il est proche, Celui qui me justifie. Quelqu’un veut-il plaider contre moi ? Comparaissons ensemble ! Quelqu’un veut-il m’attaquer en justice ? Qu’il s’avance vers moi !
Voilà le Seigneur mon Dieu, il prend ma défense ; qui donc me condamnera ?
Psaume 116(114),1-2.3-4.5-6.8-9.
J'aime le Seigneur :
il entend le cri de ma prière ;
il incline vers moi son oreille :
toute ma vie, je l'invoquerai.
J'étais pris dans les filets de la mort,
retenu dans les liens de l'abîme,
j'éprouvais la tristesse et l'angoisse ;
j'ai invoqué le nom du Seigneur :
« Seigneur, je t'en prie, délivre-moi ! »
Le Seigneur est justice et pitié,
notre Dieu est tendresse.
Le Seigneur défend les petits :
j'étais faible, il m'a sauvé.
Il a sauvé mon âme de la mort,
gardé mes yeux des larmes
et mes pieds du faux pas.
Je marcherai en présence du Seigneur
sur la terre des vivants.
Lettre de saint Jacques 2,14-18.
Mes frères, si quelqu’un prétend avoir la foi, sans la mettre en œuvre, à quoi cela sert-il ? Sa foi peut-elle le sauver ?
Supposons qu’un frère ou une sœur n’ait pas de quoi s’habiller, ni de quoi manger tous les jours ;
si l’un de vous leur dit : « Allez en paix ! Mettez-vous au chaud, et mangez à votre faim ! » sans leur donner le nécessaire pour vivre, à quoi cela sert-il ?
Ainsi donc, la foi, si elle n’est pas mise en œuvre, est bel et bien morte.
En revanche, on va dire : « Toi, tu as la foi ; moi, j’ai les œuvres. Montre-moi donc ta foi sans les œuvres ; moi, c’est par mes œuvres que je te montrerai la foi.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc 8,27-35.
En ce temps-là, Jésus s’en alla, ainsi que ses disciples, vers les villages situés aux environs de Césarée-de-Philippe. Chemin faisant, il interrogeait ses disciples : « Au dire des gens, qui suis-je ? »
Ils lui répondirent : « Jean le Baptiste ; pour d’autres, Élie ; pour d’autres, un des prophètes. »
Et lui les interrogeait : « Et vous, que dites-vous ? Pour vous, qui suis-je ? » Pierre, prenant la parole, lui dit : « Tu es le Christ. »
Alors, il leur défendit vivement de parler de lui à personne.
Il commença à leur enseigner qu’il fallait que le Fils de l’homme souffre beaucoup, qu’il soit rejeté par les anciens, les grands prêtres et les scribes, qu’il soit tué, et que, trois jours après, il ressuscite.
Jésus disait cette parole ouvertement. Pierre, le prenant à part, se mit à lui faire de vifs reproches.
Mais Jésus se retourna et, voyant ses disciples, il interpella vivement Pierre : « Passe derrière moi, Satan ! Tes pensées ne sont pas celles de Dieu, mais celles des hommes. »
Appelant la foule avec ses disciples, il leur dit : « Si quelqu’un veut marcher à ma suite, qu’il renonce à lui-même, qu’il prenne sa croix et qu’il me suive.
Car celui qui veut sauver sa vie la perdra ; mais celui qui perdra sa vie à cause de moi et de l’Évangile la sauvera.
Commentaire du jour.
Sainte Thérèse-Bénédicte de la Croix [Édith Stein] (1891-1942), Carmélite, Martyre, Co-Patronne de l'Europe.
L'Expiation mystique / Amour de la Croix, 24/11/1934 (trad. Source cachée, 1999, p. 234).
« Qu'il prenne sa croix, et qu'il me suive »
L'Union avec Le Christ est notre béatitude et l'approfondissement de notre Union avec Lui fait notre Bonheur ici-bas.
L'Amour de la Croix ne se trouve donc nullement en contradiction avec notre Joie d'être enfants de Dieu.
Aider à porter la Croix du Christ donne une allégresse forte et pure à ceux qui y sont appelés et qui le peuvent ; ceux qui participent ainsi à l'édification du Royaume de Dieu sont vraiment les enfants de Dieu.
Ainsi, une prédilection pour le chemin de la Croix ne signifie pas non plus que l'on répugne à voir le Vendredi Saint passé et l'œuvre de la Rédemption accomplie.
Seuls des rachetés, seuls des enfants de la grâce peuvent vraiment porter la Croix du Christ.
Ce n'est que de l'Union avec la Tête Divine que la souffrance humaine reçoit sa puissance rédemptrice.
Souffrir et être bienheureux dans la souffrance, se tenir debout sur la terre, aller de par les chemins poussiéreux et caillouteux de cette terre tout en siégeant avec Le Christ à la droite du Père (cf Col 3,1), rire et pleurer avec les enfants de ce monde sans cesser de chanter avec les chœurs angéliques la louange de Dieu, voilà la Vie du Chrétien, jusqu'à ce que se lève l'aurore de l'éternité.
Autre commentaire du jour.
https://www.carmel.asso.fr/24eme-Dimanche-T-O-Marc-8-27-35.html
Frère Jean-Christian Lévêque, o.c.d. (Carmel).
« Tu es Le Christ ! »
« Tu es Le Christ ! » La réponse n’allait pas de soi.
Elle signifiait d’abord : « Tu es Le Messie, le fondé de pouvoir de Dieu sur la Terre, Celui qui opère, au Nom de Dieu, une mutation décisive de l’histoire humaine, Celui qui vient réconcilier les hommes avec Dieu ».
Pierre a vu juste ; mais que met-il exactement sous le Nom de Messie ? Probablement ce que les Juifs fervents y mettaient : l’espérance d’une extraordinaire rénovation des cœurs, mais de plus l’attente d’une restauration nationale pour Israël.
Jésus ne veut pas que l’on se trompe sur sa mission, sur son style, sur son message. C’est pourquoi : « il commença à leur enseigner » ..
Cet enseignement, réservé aux disciples, caractérise la seconde phase de la révélation de Jésus, révélation explicite, après la révélation progressive par paraboles et signes.
Mais la souffrance du Messie fait scandale pour Pierre. Nous aussi, nous voudrions le Messie sans la Passion, les Béatitudes sans la Croix, l’amitié de Jésus sans la conversion ; nous voudrions que l’histoire des hommes ne soit pas une histoire de Salut.
En s’opposant à la Passion de Jésus, Pierre reprend le rôle du Satan, qui suggérait à Jésus de mettre à son service sa puissance et ses miracles.
Pierre quitte sa place de disciple, qui doit marcher derrière Jésus. Suivre Jésus, ce sera toujours suivre un crucifié, mais nous le suivrons jusqu’à la gloire.
Il ne faut pas se méprendre sur la Passion du Christ, comme si Dieu n’était content que lorsque les hommes souffrent.
Ce qui glorifie Dieu, c’est l’Amour, et non la souffrance en soi. Et pour Le Christ, le summum de la souffrance coïncide mystérieusement avec le summum de l’Amour.
Nous devons paisiblement avouer que nous sommes en plein mystère. Pourquoi Dieu Le Père a-t-il permis, et donc d’une certaine manière voulu, les souffrances de Son Christ ?
Nous devinons que quelque part en Dieu au sommet de l’Amour répond le sommet de ce qui serait pour nous la souffrance.
Mais là, plus nous approchons de Dieu, plus nous butons sur le mystère ; et il nous appartient, filialement, de le respecter.
Pour nous, les hommes, la souffrance doit toujours être replacée sur l’horizon de l’Amour. Le fait que certains ou certaines autour de nous traversent maintenant un destin de souffrances ne doit pas assombrir notre vie ni tarir en nous l’espérance, comme si pour nous l’existence avec Dieu, Notre Père et Ami, devait obligatoirement déboucher sur la souffrance.
Ce serait désespérer de l’homme et de Dieu, et cela doit être abandonné, dans la Paix et joyeusement, à la Sagesse de Dieu.
Mais il faut rester prêt à souffrir si notre chemin d’Amour passe par les épreuves. Dieu seul sait, Dieu seul pourrait le dire d’avance, et il faut laisser cela à son regard paternel et à son Amour.
Ce qui est sûr d’avance – et c’est le point d’appui de notre confiance et de notre Joie – c’est que Dieu nous donnera toujours force et lumière pour porter avec Amour la souffrance qui se présente dans notre vie.
La souffrance ne doit pas être anticipée ou imaginée, mais accueillie, quand elle se manifeste, de la main de Dieu ; en même temps il nous est demandé de comprendre, au maximum, ceux et celles qui passent longuement par l’épreuve.
Avec la souffrance, la Joie est là, la Confiance est notre chemin, et l’Amour le sens de ce que nous vivons.
Fr. Jean-Christian Lévêque, o.c.d.
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_215
Abbé Antoni CAROL i Hostench (Sant Cugat del Vallès, Barcelona, Espagne).
«Si quelqu'un veut marcher derrière Moi (…) qu'il prenne sa croix, et qu'il me suive»
Aujourd'hui, nous nous trouvons dans une situation similaire à celle décrite dans ce passage évangélique.
Si, en ce moment, Dieu venait à nous demander «Pour les gens, qui suis-je?» (Mc 8,27), nous devrions lui informer au sujet de toutes les réponses possibles, même pittoresques.
Il suffirait de jeter un coup d'œil aux informations qui apparaissent dans les moyens actuels de communication.
Seulement que… plus de vingt siècles de "temps de l'Église" se sont déjà écoulés. Après tant d'années, nous nous lamentons et -avec Sainte Faustine- nous nous plaignons à Jésus: «Pourquoi est si petit le nombre de ceux qui Te connaissent?».
À l'occasion de la confession de Foi faite par Simon Pierre, Jésus, «leur défendit alors vivement de parler de Lui à personne» (Mc 8,30).
Sa condition méssianique et de Fils de Dieu devait être transmisse au peuple juif avec une pédagogie progressive.
Plus tard, il devrait arriver le moment suprême quand Jésus déclarerait -d'une fois pour toutes- qu'Il était Le Fils de Dieu: «C'est vous qui dites que je le suis» (Lc 22,70).
Et depuis, il n'y a plus d'excuses pour ne pas le déclarer et le reconnaître comme Le Fils de Dieu, qui est venu au monde pour notre Salut.
Encore plus: Nous qui sommes Baptisés, avons le joyeux devoir "sacerdotal" de proclamer l'Évangile dans le monde entier et à toute la Création (cf. Mc 16,15).
Cet appel à la proclamation de la Bonne Nouvelle est d'autant plus urgent lorsque l'on prend en considération qu’on continue à raconter à son sujet tout genre d'opinions trompeuses, et même des blasphèmes.
Mais l'annonce de son messianisme et l'avènement de son Royaume doivent passer par la Croix.
En effet, Le Christ «leur enseigna qu'il fallait que Le Fils de l'Homme souffre beaucoup» (Mc 8,31), et le Catéchisme nous rappelle que «l'Église avance dans son pèlerinage à travers les persécutions du monde et les consolations de Dieu» (n. 769).
Voici, donc, le chemin pour suivre Le Christ et le donner à connaître: «Si quelqu'un veut marcher derrière Moi (…) qu'il prenne sa croix, et qu'il me suive» (Mc 8,34).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
https://jesusaujourdhui.com/2021-09-12/Pour-vous-qui-suis-je
HYMNE : VOICI LA NUIT
Voici la nuit,
L'immense nuit des origines.
Et rien n'existe hormis l'Amour,
Hormis l'Amour qui se dessine :
En séparant le sable et l'eau,
Dieu préparait comme un berceau
La Terre où il viendrait au jour.
Voici la nuit,
L'heureuse nuit de Palestine,
Et rien n'existe hormis l'Enfant,
Hormis l'Enfant de vie divine :
En prenant chair de notre chair,
Dieu transformait tous nos déserts
En Terre d'immortels printemps.
Voici la nuit,
L'étrange nuit sur la colline,
Et rien n'existe hormis le Corps,
Hormis le Corps criblé d'épines :
En devenant un crucifié,
Dieu fécondait comme un verger
La Terre où le plantait la mort.
Voici la nuit,
La sainte nuit qui s'illumine,
Et rien n'existe hormis Jésus,
Hormis Jésus où tout culmine :
En s'arrachant à nos tombeaux,
Dieu conduisait au jour nouveau
La Terre où il était vaincu.
Voici la nuit,
La longue nuit où l'on chemine,
Et rien n'existe hormis ce lieu,
Hormis ce lieu d'espoirs en ruines :
En s'arrêtant dans nos maisons,
Dieu préparait comme un Buisson
La Terre où tomberait le Feu !
HYMNE : Ô PÈRE DES SIÈCLES DU MONDE
Ô Père des siècles du monde,
Voici le dernier-né des jours
Qui monte
À travers nous, à la rencontre
Du Premier-né de ton amour.
C’est lui qui pour toi fit éclore,
C’est lui qui devant toi chantait
L’aurore,
Quand il n’était pas d’homme encore
Pour avoir part à sa beauté.
Par lui tout demeure en genèse,
Nos jours dans leur vieillissement
Se dressent
À leur éveil vers sa jeunesse,
Car il se lève à l’Orient.
C’est lui qui sans cesse ranime,
C’est lui qui sur les temps maintient
Cette hymne
Émerveillée dès l’origine
Devant l’ouvrage de tes mains.
Voici la nouvelle lumière
Montant au plus secret des corps ;
Ô Père,
Envoie le souffle sur la terre
Du Premier-né d’entre les morts.
HYMNE : PEUPLES, CRIEZ DE JOIE
Peuples, criez de joie
Et bondissez d’allégresse :
Le Père envoie son Fils
Manifester sa tendresse ;
Ouvrons les yeux :
Il est l’image de Dieu
Pour que chacun le connaisse.
Loué soit notre Dieu,
Source et Parole fécondes :
Ses mains ont tout créé
Pour que nos cœurs lui répondent ;
Par Jésus Christ,
Il donne l’être et la vie :
En nous sa vie surabonde.
Loué soit notre Dieu
Qui ensemence la terre
D’un peuple où son Esprit
Est plus puissant que la guerre ;
En Jésus Christ,
La vigne porte du fruit
Quand tous les hommes sont frères.
Loué soit notre Dieu
Dont la splendeur se révèle
Quand nous buvons le vin
Pour une terre nouvelle ;
Par Jésus Christ,
Le monde passe aujourd’hui
Vers une gloire éternelle.
Peuples, battez des mains
Et proclamez votre fête :
Le Père accueille en lui
Ceux que son Verbe rachète ;
Dans l’Esprit Saint
Par qui vous n’êtes plus qu’un,
Que votre joie soit parfaite !
Oraison du matin (Office des Laudes)… Propre au Très Saint Nom de Marie.
Oui, ô Marie ! Votre Nom sublime et admirable est sorti du Trésor de La Divinité ; car c'est La Sainte Trinité tout entière qui vous a donné ce Nom au-dessus de tous les noms après celui de Votre Divin Fils, et qui l'a enrichi de tant de Majesté et de Puissance, qu'il faut que, par respect pour ce Saint Nom, dès qu'il est prononcé, tout genou fléchisse dans le Ciel, sur la Terre et aux Enfers.
Richard de Saint-Laurent.
Oraison du matin (Office des Laudes).
Dieu Créateur et maître de toutes choses, regarde-nous, et pour que nous ressentions l'effet de Ton Amour, accorde-nous de te servir avec un cœur sans partage.
Parole de Dieu : (2 Tm 2, 8.11-13)… (Office des Laudes).
Souviens-toi de Jésus-Christ, le descendant de David : il est ressuscité d’entre les morts. Voici une parole sûre : si nous sommes morts avec Lui, avec Lui nous vivrons.
Si nous supportons l’épreuve, avec Lui nous régnerons.
Si nous le rejetons, Lui aussi nous rejettera. Si nous sommes infidèles, Lui, il restera fidèle, car il ne peut se rejeter Lui-même.
Parole de Dieu : (He 12, 22-24)… (Office des Vêpres).
Vous êtes venus vers la montagne de Sion et vers la cité du Dieu vivant, la Jérusalem Céleste, vers des milliers d’Anges en fête, et vers l’assemblée des premiers-nés dont les noms sont inscrits dans les Cieux.
Vous êtes venus vers Dieu, le juge de tous les hommes, et vers les âmes des justes arrivés à la perfection.
Vous êtes venus vers Jésus, le médiateur d’une Alliance nouvelle, et vers son Sang répandu sur les hommes, son Sang qui parle plus fort que celui d’Abel.