Eucharistie du Vendredi 25 Février 2022 : Vendredi de la 7ème semaine du Temps Ordinaire (Année paire).
Fête de Saint Turibio Romo González, Prêtre mexicain et Martyr (1900-1928).
Fête des Saints Louis Versiglia et Calliste Caravario, s.d.b. et Martyrs (✝ 1930).
Fête de la Bienheureuse Maria Ludovica De Angelis, Sœur de la Congrégation des Filles de Notre-Dame de la Miséricorde (✝ 1962).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Lettre de saint Jacques 5,9-12... Psaume 103(102),1-2.3-4.8-9.11-12... Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 10,1-12.
Commentaire du Concile Vatican II.
Autre commentaire de Frère Jean-Christian Lévêque o.c.d. (Carmel).
Autre commentaire de l’Abbé Miquel VENQUE i To (Barcelona, Espagne).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Vendredi 25 Février 2022 : Fête de Saint Turibio Romo González, Prêtre mexicain et Martyr (1900-1928).
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Saint Turibio Romo González.
Vendredi 25 Février 2022 : Fête des Saints Louis Versiglia et Calliste Caravario, s.d.b. et Martyrs (✝ 1930).
Pour voir leur vie et en découvrir davantage sur eux, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saints Louis Versiglia et Calliste Caravario.
Vendredi 25 Février 2022 : Fête de la Bienheureuse Maria Ludovica De Angelis, Sœur de la Congrégation des Filles de Notre-Dame de la Miséricorde (✝ 1962).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureuse Maria Ludovica De Angelis.
Les Saints du 25 Février.
http://reflexionchretienne.e-monsite.com/pages/vie-des-saints/fevrier/saints-saintes-et-fetes-du-jour-23.html
LITURGIE DE LA PAROLE.
Lettre de saint Jacques 5,9-12.
Frères, ne gémissez pas les uns contre les autres, ainsi vous ne serez pas jugés. Voyez : le Juge est à notre porte.
Frères, prenez pour modèles d’endurance et de patience les prophètes qui ont parlé au nom du Seigneur.
Voyez : nous proclamons heureux ceux qui tiennent bon. Vous avez entendu dire comment Job a tenu bon, et vous avez vu ce qu’à la fin le Seigneur a fait pour lui, car le Seigneur est tendre et miséricordieux.
Et avant tout, mes frères, ne faites pas de serment : ne jurez ni par le ciel ni par la terre, ni d’aucune autre manière ; que votre « oui » soit un « oui », que votre « non » soit un « non » ; ainsi vous ne tomberez pas sous le jugement.
Psaume 103(102),1-2.3-4.8-9.11-12.
Bénis le Seigneur, ô mon âme,
bénis son nom très saint, tout mon être !
Bénis le Seigneur, ô mon âme,
n'oublie aucun de ses bienfaits !
Car il pardonne toutes tes offenses
et te guérit de toute maladie ;
il réclame ta vie à la tombe
et te couronne d'amour et de tendresse.
Le Seigneur est tendresse et pitié,
lent à la colère et plein d'amour ;
Il n'est pas pour toujours en procès,
ne maintient pas sans fin ses reproches.
Comme le ciel domine la terre,
fort est son amour pour qui le craint ;
aussi loin qu'est l'orient de l'occident,
il met loin de nous nos péchés.
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 10,1-12.
En ce temps-là, Jésus arriva dans le territoire de la Judée, au-delà du Jourdain. De nouveau, des foules s’assemblent près de lui, et de nouveau, comme d’habitude, il les enseignait.
Des pharisiens l’abordèrent et, pour le mettre à l’épreuve, ils lui demandaient : « Est-il permis à un mari de renvoyer sa femme ? »
Jésus leur répondit : « Que vous a prescrit Moïse ? »
Ils lui dirent : « Moïse a permis de renvoyer sa femme à condition d’établir un acte de répudiation. »
Jésus répliqua : « C’est en raison de la dureté de vos cœurs qu’il a formulé pour vous cette règle.
Mais, au commencement de la création, Dieu les fit homme et femme.
À cause de cela, l’homme quittera son père et sa mère,
il s’attachera à sa femme, et tous deux deviendront une seule chair. Ainsi, ils ne sont plus deux, mais une seule chair.
Donc, ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas ! »
De retour à la maison, les disciples l’interrogeaient de nouveau sur cette question.
Il leur déclara : « Celui qui renvoie sa femme et en épouse une autre devient adultère envers elle.
Si une femme qui a renvoyé son mari en épouse un autre, elle devient adultère. »
Commentaire du jour.
Concile Vatican II.
Constitution dogmatique sur l'Eglise dans le monde de ce temps « Gaudium et spes », § 48
« Maris, aimez votre femme à l'exemple du Christ : il a aimé l'Église, il s'est livré pour elle » (Ep 5,25)
L'homme et la femme qui, par l'alliance conjugale « ne sont plus deux mais une seule chair », s'aident et se soutiennent mutuellement par l'union intime de leurs personnes et de leurs activités ; ils prennent ainsi conscience de leur unité et l'approfondissent sans cesse davantage. Cette union intime, don réciproque de deux personnes, non moins que le bien des enfants, exigent l'entière fidélité des époux et requièrent leur unité indissoluble.
Le Christ Seigneur a comblé de Bénédictions cet Amour aux aspects multiples, issu de la source Divine de la Charité, et constitué à l'image de son union avec l'Église (Ep 5,32).
De même en effet que Dieu a pris autrefois l'initiative d'une alliance d'Amour et de fidélité avec son peuple, ainsi, maintenant, Le Sauveur des hommes, Époux de l'Église, vient à la rencontre des époux Chrétiens par le Sacrement de Mariage.
Il continue de demeurer avec eux pour que les époux, par leur don mutuel, puissent s'aimer dans une fidélité perpétuelle, comme Lui-même a aimé l'Église et s'est livré pour elle (Ep 5,25).
L'amour conjugal authentique est assumé dans l'Amour Divin et il est dirigé et enrichi par la puissance rédemptrice du Christ et l'action salvifique de l'Église, afin de conduire efficacement à Dieu les époux, de les aider et de les affermir dans leur mission sublime de père et de mère.
C'est pourquoi les époux Chrétiens, pour accomplir dignement les devoirs de leur état, sont fortifiés et comme consacrés par un Sacrement spécial ; en accomplissant leur mission conjugale et familiale avec la force de ce Sacrement, pénétrés de L'Esprit du Christ qui imprègne toute leur vie de Foi, d'Espérance et de Charité, ils parviennent de plus en plus à leur perfection personnelle et à leur sanctification mutuelle ; c'est ainsi qu'ensemble ils contribuent à la glorification de Dieu.
Autre commentaire du jour.
http://www.carmel.asso.fr/27eme-Dimanche-T-O-Mc-10-1-12.html
Frère Jean-Christian Lévêque o.c.d. (Carmel).
La dureté de votre cœur
Les Pharisiens voulaient tendre à Jésus un piège et le mettre en contradiction avec Moïse. Ils ont posé leur question au sujet du divorce, plus exactement au sujet du renvoi de l’épouse, mais la réponse de Jésus éclaire d’un coup tous les secteurs de la vie morale :
Vous vous appuyez sur une permission de Moïse, dit Jésus à ses contradicteurs ; mais avant Moïse, il y a Dieu, avant les arrangements de Moïse, il faut voir le dessein de Dieu, comment Dieu a fait les choses « au commencement », c’est-à-dire au moment de la Création.
Dieu a voulu la complémentarité de l’homme et de la femme ; il les a voulus différents, tout en donnant à l’homme et à la femme une égale dignité.
C’est à partir de cette différence qu’il a créé la merveille de l’Amour et la merveille de la Vie, et il a dit : « Les deux ne feront qu’un seul être ».
Ils demeurent différents ; elle et lui restent comptables devant Dieu de leurs choix et de leur liberté ; mais l’Amour a lié entre eux un lien irréversible, irréversible parce qu’ils sont entrés tous deux, librement, dans l’œuvre de Dieu.
Ce que Dieu a uni, ce que Dieu a voulu un, il n’appartient pas aux humains de le désunir.
Personne ne peut défaire ce que Dieu a fait ; personne ne peut dédire ce que Dieu a dit.
En particulier aucune loi humaine ne peut prévaloir contre le dessein de Dieu.
Qu’il s’agisse de l’indissolubilité du couple, de l’euthanasie, des progrès de la génétique, des droits de l’embryon humain ou de son usage à des fins de recherche scientifique, le croyant doit se déterminer, finalement, non à partir de ce que permettent ou réprouvent les gouvernements européens, mais à partir de ce que Dieu a fait pour l’homme et de ce que Dieu a dit de la Vie et de la mort.
Déjà Saint Paul rappelait aux Chrétiens : « Ne vous modelez pas sur le monde présent, mais métamorphosez-vous par un changement de votre mentalité, pour discerner quelle est la Volonté de Dieu, ce qui est bien, ce qui lui est agréable, ce qui est parfait » (Rm 12,1).
Cependant, autant le Chrétien doit se montrer courageux dans ses propres choix, autant il doit se garder de condamner ceux qui l’entourent, croyants ou incroyants. Réprouver une action, même avec énergie, n’équivaut jamais à rejeter ceux qui ont agi.
Pour prendre un exemple : quelle est la famille qui ne compte aujourd’hui des cas douloureux de foyers désunis ou de couples recomposés, en dépit de l’échec d’un premier amour ?
Que pouvons-nous faire, dans le silence du cloître, sinon respecter douloureusement ces options douloureuses, et porter dans la prière ou dans l’imploration ces hommes et ces femmes blessés, comme Dieu les porte dans son Amour et sa Miséricorde ?
De même notre conscience de croyants ne peut que s’insurger devant certaines audaces scientifiques qui ôtent à l’être humain toute sa dignité.
Mais, parce que nous sommes dans l’Église des permanents de la prière, il nous faut tout autant demander lumière et discernement pour tant de savants Chrétiens confrontés aux énigmes de la vie, et qui travaillent sur les marges du savoir, face à des problèmes que jamais personne ne s’est posés, et avec des pouvoirs que jamais les hommes n’ont eus en mains.
Personne, parfois, n’est passé avant eux pour faire des lois, pour permettre ou interdire ; et souvent, face à la complexité de ce qu’ils découvrent, ils se demandent, angoissés : « Qu’est-ce que Dieu a voulu au commencement ? »
« Envoie, Seigneur, ta Lumière et ta Vérité, qu’elles soient leur guide, et les ramène », dans la paix, « face au mystère où tu fais ta demeure »
Fortifie, Seigneur, ceux que tu as unis pour toujours par le Sacrement du Mariage. Qu’ils puisent dans ta fidélité le courage de se rester fidèles.
Et à nous, Seigneur, que tu as appelé au célibat pour le Royaume, donne à longueur de vie un surcroît d’Espérance, pour que, vivant avec bonheur le pacte d’Amour passé avec Toi, nous n’osions renier le contrat fraternel qui nous lie à la Communauté.
Fr. Jean-Christian Lévêque, o.c.d.
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_68
Abbé Miquel VENQUE i To (Barcelona, Espagne).
«Il les instruisait comme d'habitude»
Aujourd'hui, Seigneur, je voudrais prendre un peu de temps pour te faire une prière de remerciement pour tous tes enseignements.
Tu enseignais avec autorité et tu le faisais dès qu'on te laissait faire et tu profitais de toutes les occasions: bien sûr, je comprends Seigneur que le but de ta mission était de transmettre la Parole du Père. Et tu l'as fait.
—Aujourd'hui, connecté à internet je te dis: Parle-moi, parce que je veux prendre un petit moment pour prier comme un disciple fidèle.
D'abord, je voudrais te demander la capacité d'apprendre ce que tu enseignes et ensuite être capable de l'enseigner aux autres.
Je reconnais qu'il est facile de tomber dans l'erreur de te faire dire des choses que tu n'as jamais dites, et avec une audace malveillante, j'essaie de te faire dire ce que j'aimerais que tu dises.
Je reconnais que mon cœur est peut-être plus endurci que celui de ceux qui t'écoutaient.
—Je connais ton Évangile, le Magistère de l'Église, le catéchisme, et je me souviens des paroles du Pape Jean Paul II dans sa "Lettre aux familles": «Le dessein de l'utilitarisme, fondé sur une liberté orientée dans un sens individualiste, c'est-à-dire une liberté sans responsabilité, constitue l'antithèse de l'Amour».
Seigneur, je te demande de briser mon cœur qui a envie d'un bonheur utilitariste et de me faire entrer dans la Vérité Divine dont j'ai tant besoin.
—Vu d'ici, comme du sommet d'une montagne, je comprends que tu dises que l'Amour du mariage est définitif, que l'adultère —en plus d'être un péché comme toute offense grave envers toi, qui est Le Seigneur de la Vie et de l'Amour— est un faux chemin vers le bonheur: «Celui qui renvoie sa femme pour en épouser une autre est coupable d'adultère envers elle» (Mc 10,11).
Je me rappelle aussi d'un jeune homme qui me disait: «Mon père, le péché promet beaucoup, ne donne rien et enlève tout».
Bon Jésus, fais que je puisse te comprendre, et que je puisse l'expliquer aux autres: ce que tu as uni, l'homme ne peut pas le séparer (cf. Mc 10,9).
Loin d'ici, en dehors de tes chemins je ne trouverai pas le bonheur véritable. Jésus, apprends-moi à nouveau!
Merci Jésus. Mon cœur est dur mais je sais que tu as raison.
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
https://jesusaujourdhui.mariedenazareth.com/2022-02-25/ce-que-dieu-a-uni-que-personne-ne-le-separe
HYMNE : DIEU CACHÉ
Dieu caché,
Tu n'as plus d'autre Parole
Que ce fruit nouveau-né
Dans la nuit qui t'engendre à la terre ;
Tu dis seulement
Le nom d'un enfant :
Le lieu où tu enfouis ta semence.
R/Explique-toi par ce lieu-dit :
Que l'Esprit parle à notre esprit
Dans le silence !
Dieu livré,
Tu n'as plus d'autre Parole
Que ce corps partagé
Dans le pain qui te porte à nos lèvres ;
Tu dis seulement :
La coupe du sang
Versé pour la nouvelle confiance. R/
Dieu blessé,
Tu n'as plus d'autre Parole
Que cet homme humilié
Sur le bois qui t'expose au calvaire !
Tu dis seulement :
L'appel déchirant
D'un Dieu qui apprendrait la souffrance. R/
Dieu vaincu,
Tu n'as plus d'autre Parole
Que ces corps décharnés
Où la soif a tari la prière ;
Tu dis seulement :
Je suis l'innocent,
A qui tous les bourreaux font violence. R/
Dieu sans voix,
Tu n'as plus d'autre Parole
Que ce signe levé,
Edifié sur ta pierre angulaire !
Tu dis seulement :
Mon peuple est vivant,
Debout, il signifie ma présence. R/
Dieu secret,
Tu n'as plus d'autre Parole
Que ce livre scellé
D'où l'Agneau fait jaillir ta lumière.
Tu dis seulement
Ces mots fulgurants :
Je viens! J'étonnerai vos patiences !
R/Explique-toi par ce lieu-dit :
Que l'Esprit parle à notre esprit
Dans le silence !
HYMNE : PUISQU’IL EST AVEC NOUS
Puisqu’il est avec nous
Tant que dure cet âge,
N’attendons pas la fin des jours
Pour le trouver...
Ouvrons les yeux,
Cherchons sa trace et son visage,
Découvrons-le qui est caché
Au cœur du monde comme un feu !
Puisqu’il est avec nous
Pour ce temps de violence,
Ne rêvons pas qu’il est partout
Sauf où l’on meurt...
Pressons le pas,
Tournons vers lui notre patience,
Allons à l’homme des douleurs
Qui nous fait signe sur la croix !
Puisqu’il est avec nous
Dans nos jours de faiblesse,
N’espérons pas tenir debout
Sans l’appeler...
Tendons la main,
Crions vers lui notre détresse ;
Reconnaissons sur le chemin
Celui qui brûle nos péchés !
Puisqu’il est avec nous
Comme à l’aube de Pâques,
Ne manquons pas le rendez-vous
Du sang versé…
Prenons le pain,
Buvons la coupe du passage :
Accueillons-le qui s’est donné
En nous aimant jusqu’à la fin !
HYMNE : LE SOIR PEUT REVENIR
R/Le soir peut revenir
Et la nuit,
Si Jésus nous redit
De quel Esprit nous sommes.
Vienne Jésus pour dissiper
Le brouillard et les doutes :
Sa parole donnée
Est soleil sans déclin.
Vienne Jésus pour surmonter
La fatigue des jours :
Il est l’eau de la source
Et le pain de la vie.
Vienne Jésus pour dominer
La frayeur du naufrage :
N’est-il pas le seul Maître
Du navire et des flots ?
Vienne Jésus pour consoler
De la mort implacable,
En frère premier-né
Relevé du tombeau !
R/Le soir peut revenir
Et la nuit,
Si Jésus nous redit
L’Amour qui nous fait vivre
Oraison du matin (Office des Laudes).
Seigneur, Père Très Saint, tu as voulu que Ton propre Fils soit la rançon de notre Salut ; accorde-nous de vivre avec Lui si bien que notre communion à ses souffrances nous fasse ressentir les effets de sa Résurrection.
Lui qui règne avec Toi et Le Saint-Esprit pour les siècles des siècles.
Parole de Dieu : (2 Co 12, 9b-10)... (Office des Laudes).
Je n’hésiterai pas à mettre mon orgueil dans mes faiblesses, afin que la puissance du Christ habite en moi.
C’est pourquoi j’accepte de grand cœur pour Le Christ les faiblesses, les insultes, les contraintes, les persécutions et les situations angoissantes.
Car, lorsque je suis faible, c’est alors que je suis fort.
Parole de Dieu : (Jc 1, 2-4)... (Office des Vêpres).
Quand vous butez sur toute sorte d’épreuves, pensez que c’est une grande Joie. Car l’épreuve, qui vérifie la qualité de votre Foi, produit en vous la persévérance, et la persévérance doit vous amener à une conduite parfaite ; ainsi vous serez vraiment parfaits, il ne vous manquera rien.