74. Fête de Notre-Dame des 7 Douleurs...2ème Partie.

LA PAIX DU SEIGNEUR SOIT AVEC VOUS, VOTRE FAMILLE ET VOS PROCHES.

FÊTE DE NOTRE-DAME DES 7 DOULEURS…2ème Partie.

 

DEUXIEME PARTIE.

Pour compléter ce que La Très Sainte Vierge Marie a révélé à Fatima, ainsi que les visions de cette 3 Saintes, et comme la remarque, concernant la vision de Sainte Sœur Faustine, le laisse à penser, vous pouvez cliquer sur le lien suivant qui donne la description de L’Enfer telle que Maria Valtorta l’a reçue (Extrait de ma Réflexion n°12 : Le Royaume de Dieu).  

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Je voudrais mettre ici une courte parenthèse, suite à ces trois visions qui parlent l’une comme l’autre, de « tant d’âmes » qui sont en Enfer (notamment d’âmes qui ne croyaient pas à son existence), pour rappeler une Parole de Jésus dans Les Evangiles…sans doute bien négligée… et qui pourtant confirme ces visions !!!

Luc 13 22-29. (La porte étroite et l’entrée dans Le Royaume).

Jésus dit : …Luttez pour entrer par la porte étroite, car beaucoup, Je vous le dis, chercheront à entrer et ne pourront pas…alors vous vous mettrez à dire : « Nous avons mangé et bu devant Toi, tu as enseigné sur nos places ».

Mais il vous répondra : « Je ne sais pas d’où vous êtes, éloignez-vous de moi, vous tous qui commettez l’injustice ».

Là seront les pleurs et les grincements de dents, lorsque vous verrez Abraham, Isaac, Jacob, et tous les prophètes dans Le Royaume de Dieu, et vous, jetés dehors.

 

Pensez qu’autour de vous (et peut-être vous-même), y compris dans ceux qui vous sont le plus proches (y compris, enfants et parents) un grand nombre ne connaîtrons jamais Le Ciel… finiront en Enfer pour l’éternité…seront totalement oubliés de ceux qui seront au Ciel …et se haïront entre eux pour l’éternité…sans jamais plus le moindre lien d’affection les uns avec les autres…pour l’éternité (pensez comment déjà, quand certains ont un petit « bobo » qui les fait souffrir douloureusement (migraine, infection, mal de dos, de ventre, de dents, etc…)…ils ont tendance à être agressifs vis-à-vis de ceux qui sont autour d’eux, qui font un peu de bruit, de chahut…et qui voudraient les aider !!! Alors s’ils souffrent de manière inimaginable, continue et éternelle…en réalisant qu’ils se sont fait avoir…et qu’ils ont perdu définitivement et éternellement Le Bonheur du Ciel qu’ils ont entrevu en partie, un court instant…il ne reste plus en eux que Haine, regret éternels, désespoir !!!

 

Pour risquer d’aller en Enfer, il suffit de s’habituer…aux compromissions mêmes petites… mais qui sont de plus en plus nombreuses…avec l’argument « cela je peux bien me le permettre, cela ne devrait pas avoir de conséquences » !!!

Ou encore en désirant, plutôt que de suivre les exigences de La Vie Chrétienne, avoir eu auparavant le temps de « s’éclater », de vivre toutes sortes d’expériences pour satisfaire les désirs et envies de notre corps (y compris la luxure, la débauche, l’homosexualité, les beuveries pour ne pas dire saouleries, drogues, etc…)…bref de vivre dans le « péché »…de nous unir à Satan…pour en éprouver les plaisirs « humains » !!!

Sauf, qu’une fois entre ses griffes, Satan ne nous lâche plus…pire que lorsque vous faites un « pacte d’alliance » avec la mafia !!!


 Pensez à ce qui peut se dire sur les compromis avec la mafia, par exemple (pour obtenir un prêt, une protection ou autre)…une fois dans ses filets, il est presque impossible d’en sortir. Avec Satan le danger est multiplié à l’infini…Il ne lâche jamais les proies prisent entre ses griffes.

Vous vous dites qu’un peu de sable dans la mécanique ne fait pas vraiment de tord (voir ce que Jésus en dit, dans Ses Révélations à Maria Valtorta faites le 26 Février 1944 (quelques mois avant le débarquement en Normandie), et retranscrites dans ma Réflexion n°30 : L’Homme).

 

Extrait de ma Réflexion n°30 : L’Homme.

Pourquoi Dieu ne punit-Il pas les méchants.

Extrait des Révélation de Jésus à Maria Valtorta du 26 Février 1944 (dans les Cahiers de 1944).(Commentaire sur le Psaume 94(93) ).

Jésus dit :

Combien de fois, en particulier ces temps-ci (nous sommes le 26 Février 1944, en pleine guerre mondiale), l’homme ne dit-il pas :

« Mais, Seigneur, pourquoi n’interviens-tu pas pour punir ? Donne ce qu’ils méritent aux orgueilleux et aux mauvais. Si tu es juste, comment peux-tu laisser les méchants triompher pendant que tes fidèles souffrent ? »

 

Mes enfants, Je vous rappelle une parole de L’Evangile : « Ote d’abord la poutre de ton œil, alors tu verras clair pour ôter la paille de l’œil de ton frère ».

 

C’est vrai que vous êtes tourmentés par « les grands pécheurs ». Mais vous n’êtes pas vous-mêmes sans péché. Vos péchés, certes bien plus petits que ceux, énormes, des corrupteurs du monde, n’ont cessé de s’accumuler au point de provoquer l’indignation de Dieu.

Vous devez prendre en considération que Dieu, Perfection et Justice, Juge les grands et les petits, et que le péché grave du grand et le péché plus véniel du petit, lui répugnent pareillement.

S’Il devait donc intervenir pour punir les grands, comme vous l’en implorez, pourquoi ne lui serait-Il pas permis de vous punir de vos péchés répétés et nombreux ?


Il y a les péchés de nations entières. Leurs habitants ont oublié Dieu, ils l’ont remplacé par une multitude d’autres dieux qui vont d’un « homme » issu d’eux à une idée, d’une idée à un ensemble d’habitudes morales (c’est-à-dire amorales) dont aucune n’est approuvée par Dieu.

 

Que s’est-il donc passé ? Ce qui se produit dans un éboulement de sable. Il existe sur la terre certains lieux où, en raison d’une configuration particulière du sol et de sa composition spéciale, l’ont voit s’accumuler du sable transporté lentement mais continuellement par les vents.

Il y faut des siècles, mais il vient un moment où cette accumulation est telle que la dune de terre ne la supporte plus.

Elle s’écroule d’elle-même, provoquant ainsi des catastrophes qui engloutissent des villages, quand ce ne sont pas des villes entières.

 

Si l’homme y était attentif, il veillerait à contrebalancer l’action des vents par quelque ouvrage et il balayerait ces entassements avec une ténacité égale à celle des éléments.

Mais il n’y fait pas attention : au contraire, il se réjouit de ce que ceux-ci apportent des couches de terre là où il n’y avait auparavant que de la roche, ou ensablent un estuaire, augmentant par là, la surface cultivable.

C’est ainsi qu’il exploite le « pseudo-don » du vent traître et du courant sournois en en faisant une source de profit pour jouir et triompher davantage, peut-être même au détriment du village voisin.

 

Veillez à ce petit grain de poussière ? Mais, non ! Quel tort pourrait-il donc causer ? Un tel tort (malgré sa petitesse qui devient grande grâce à la coopération d’un nombre infini d’autres petitesses) qu’il peut provoquer des catastrophes.

Il n’y a rien de plus petit qu’un grain de sable. Mais rassemblez-en des millions et des milliards, et vous verrez quelle horrible mort ils provoquent.

 

Quel est ce défaut ? Quelle habitude amorale ? Rien : une vétille. Est-ce un péché grave ! Bien-sûr que non ! Un péché véniel ? Pas même ! Une simple imperfection due à la rapidité de la vie actuelle et à ce que tout un ensemble de circonstances impose.

 

Vous dites : « Nous ne sommes plus au Moyen-Âge. Il faut être à la hauteur de l’époque moderne, avoir des vues plus larges. Ne pas penser que Dieu est toujours là avec une feuille et un crayon, à noter mes omissions, mes satisfactions, mes transactions.

Aujourd’hui, j’ai préféré traiter une affaire plutôt que d’aller à la messe dominicale, ou même prendre ces dix minutes de dialogue avec Dieu qui forment la prière du matin et du soir.

Si je ne profite pas de cette matinée, je ne trouverai plus tel client ou tel professionnel. Si je perds ces dix minutes, je perds toute possibilité d’arriver à temps. On verra demain… »

 

Dix minutes ! Vous êtes restés une demi-heure à vous prélasser au lit, une autre à discuter avec votre femme et les domestiques, presque une heure à vous pouponner comme des efféminés.Alors vous ne trouvez pas dix minutes pour votre Dieu.

 

Vous avez six jours pour traiter de vos affaires et vous traînez sans rien conclure.Et ce n’est que le dimanche matin que vous trouvez que cela doit se faire de toute urgence.

Or quel professionnel, quel client est libre uniquement le dimanche ? Pourquoi ? Si personne n’était disponible à cause de ses mauvaises habitudes, il devrait se décider à se consacrer à ses affaires pendant les six autres jours.

Vous êtes amoraux l’un comme l’autre, et vous ne vous souciez pas de Dieu. Voilà tout.

 

Ou encore : Qu’y a-t-il de répréhensible dans ma petite calomnie ? Ce n’est d’ailleurs pas une calomnie, juste une médisance. Ou pas même : C’est une bonne blague dite dans le dos…pour rire, pour laisser croire que l’on est bien informé, pour se mettre dans les bonnes grâces des supérieurs ou des puissants. Mais au fond, vous estimez cette personne. On sait bien…il faut flatter les supérieurs pour leur soutirer leur protection et de bonnes places.

On sait bien…C’est un monde de compétition et tant mieux si je peux prendre ta place, moi qui ai une famille pleine d’exigence.D’ailleurs toi, cher collègue, tu peux vivre plus modestement !

 

Vous commettez ainsi un vol de réputation et de place. Vous êtes des voleurs, ô hypocrites, pour satisfaire aux exigences, aux caprices de l’épicurisme familial, de la vanité sociale ou féminine.

 

Ou encore : Qu’est-ce qu’il y a de mal à faire un peu la cour à cette femme et, de son côté, à se laisser faire ? C’est enlever un peu de monotonie à la vie. Ensuite, nous redevenons de simples amis comme auparavant. Ce sont des choses sans conséquence. Il ne faut pas être puritain !

 

Vous êtes adultères, ô hypocrites !Vous l’êtes parfois même sous les yeux de vos enfants. Vous croyez qu’ils ne vous voient pas, mais ils voient tout, vous les scandalisez et vous les obligez à vous juger.

 

Qu’y a-t-il de répréhensible à s’émanciper de ses parents, de son mari, à être indépendant, à mener notre vie comme cela nous plait ?

Quelle importance si l’on fait du mariage un moyen d’avoir, en son épouse, une infirmière et une servante ou, en son mari, quelqu’un qui se fatigue pour nos besoins et nos caprices, et non une mission de procréation et d’éducation ?

Il vaut mieux ne pas avoir d’enfants, ou alors en petit nombre. Ils donnent du souci, ils coûtent cher, ils sont source de rancoeurs entre les parents A ou B, ou avec les enfants qui les précèdent. Pas d’autres enfants que les un ou deux qui, on ne sait trop comment, ont voulu naître.

Et maintenant qu’ils sont nés, n’allons pas nous fatiguer pour eux : nourrices, gardes d’enfants, institutrices, collège.C’est bien ce que vous dites.

 

Vous êtes des assassins, ô hypocrites.Vous supprimez des vies ou des âmes. Car sachez-le bien, un collège a beau être bon ou une institutrice parfaite, ce ne seront jamais la mère, le père, la famille.

Ces enfants, qui ont été ceux de tous hormis les vôtres, comment peuvent-ils vous aimer de ce grand Amour qui continue à rester uni au plus profond de vous-mêmes comme s’ils avaient leurs racines en vous ?

Comment ces enfants peuvent-ils vous comprendre si vous êtes des étrangers pour eux, et réciproquement ?

Quelle société peut émaner de peuples dans lesquels la première forme de société, la famille, est aussi aride, morte, démembrée ?Une anarchie dans laquelle chacun ne pense qu’à soi, si encore il ne pense pas à nuire aux autres ?

 

Quant à cet argent que vous économisez en refusant à un enfant de naître, que croyez-vous avoir dans votre portefeuille ?

Un ver qui en détruit la substance, car ce que vous ne déboursez pas pour un enfant, vous le dépensez trois fois plus en divertissements et luxes inutiles et nocifs.

 

D’ailleurs pourquoi vous mariez-vous si vous ne voulez pas avoir d’enfant ? A quoi réduisez-vous la chambre nuptiale ?

Par respect pour mon « porte-parole » (Maria Valtorta), je tairai la réponse.

Dites-la-vous, hommes indignes.

 

Ce sont beaucoup de petites choses en comparaison des méfaits des grands pécheurs. Mais ils provoquent l’avalanche. Celle qui vous submerge.

 

Je l’ai dit :Si les grands s’étaient trouvés en face (Je ne dis pas contre, mais bien, en face) d’un peuple moralement sain, solidement obéissant à La Loi de Dieu et de la morale, même humaine, ils n’auraient pu en arriver à commettre leurs crimes.

Leur satanisme se serait brisé comme une épée de verre contre un bloc de granit, il se serait pulvérisé.

Et Dieu vous aurait Bénis et protégés.

 

Au contraire, vous avez admiré les grands criminels, chez qui vous admiriez la perfection de leur délinquance que vous-mêmes ne pouviez pas atteindre, cette perfection dans l’immoralité qui vous plaisait parce qu’elle justifiait la votre.

Vous disiez : Si lui, que nous admirons, agit de la sorte, je peux en faire autant.

Ou encore : Si Dieu le protège, lui qui est comme ça, Il me protègera moi aussi, qui le suis bien moins.

 

Hommes stupides ! Pensez-vous réellement que Je protège celui qui désire réussir et parvenir à faire d’un autre un complice pour triompher à tout prix, et pour ce faire « égorge la veuve et l’étranger et assassine l’orphelin », qui a trahi la confiance des autres, qui a menti à des peuples entiers, qui n’a pas hésité à mener des peuples entiers à l’abattoir ?

Mais ? Je vois, j’entends et je note.

Je souffre de ne pouvoir intervenir, car lorsque j’interviens, vous neutralisez mon intervention par vos actes mauvais.

Vous êtes si empoisonnés que, d’un bien, vous en faites un mal.

 

Cependant (C’est votre Dieu qui vous en conjure),revenez à Moi. Veuillez revenir à Moi. Libérez-vous individuellement de vos fautes, de vos manques de Foi, de votre désobéissance morale, de vos vices de toutes sortes, puis je délivrerai la collectivité de ses fléaux.

(Le débarquement en Normandie à eu lieu 3 mois ½ plus tard, le 06 juin 1944).


Ne dites pas, je peux faire un compromis avec tel péché « qui m’attire », que j’ai envi « d’essayer, de découvrir ou d’en faire l’expérience » pour être comme tout le monde !!!...

Un péché ou une tentation auquel on cède ne sont rien d’autre qu’un compromis avec Satan… Ne dites pas, je peux faire et Dieu me le Pardonnera !!!

Je rappellerais que notre choix (en fonction de l’ensemble de notre vie sur Terre et de nos décisions aussi bien dans nos pensées, nos paroles et nos actions) est définitif et éternel !!!

 

Parabole de l’enfant prodigue :

Dieu part quand quelqu’un fait rentrer Satan dans son âme !!! Comme dans la parabole de l’enfant prodigue (Luc 15 11-32), Il laisse Son enfant prendre l’argent de l’héritage (ce qui n’est rien moins que notre place au Ciel…car l’Héritage qui nous est offert par Dieu…c’est d’hériter de Son Royaume), et donc troquer Sa place d’Héritier du Royaume de Dieu contre des moments de gaspillages, d’orgies, de luxures, de Gloire terrestre…qui ne satisfont pas notre âme, mais au contraire la blessent mortellement et qui conduisent, une fois tout gaspillé, tout droit en Enfer.

Et ce « gaspillage » de votre Héritage ne se fait pas en présence de Dieu, comme je viens de la dire…il se fait dans un pays lointainoù Dieu est absent !!!...

C’est le royaume terrestre de Satan…tous les lieux de perversions…mais aussi tous les lieux de compromissions, les lieux où nous cédons à nos tentations, où nous commettons nos péchés (loin de La Lumière pour…ne pas être vu !!!).

Alors n’attendez pas que Dieu vous soutienne…dans votre péché…au contraire c’est « la famine et la désolation »…voir le désespoir…qui nous y attendent !!!

(Luc 15 11-32) : 

…Peu de jours après, rassemblant tout son avoir, le plus jeune des fils partit pour un pays lointain et y dissipa son bien en vivant dans l’inconduite.

Quand il eut tout dépensé, une famine sévère survint en cette contrée et il commença à sentir la privation.

Il alla se mettre au service d’un des habitants de cette contrée, qui l’envoya dans ses champs garder « les cochons ». Il aurait bien voulu se remplir le ventre des caroubes que mangeaient les cochons, mais personne ne lui en donnait…

Voyez où cela a conduit le fils prodigue…à vivre au milieu des « cochons » et à ne pas avoir droit même à leurs repas !!! (La porcherie et les champs où se trouvent les cochons représentant L’Enfer et les cochons Satan et ses démons).

Ce n’est que si l’enfant revient, avec le regret de ses fautes et la décision de ne plus recommencer…que Dieu qui est devant l’entrée du Royaume, voyant son enfant prodigue revenir…n’attend pas…et se précipite à sa rencontre !!!

Mais si l’enfant ne revient pas…il finit au milieu des cochons…en Enfer !!!


EN UNION DE CŒUR, D’AMOUR FRATERNEL ET DE PRIERES.

                                 

                               PIERRE

 

POUR LIRE LA SUITE, ALLER DANS LA TROISIEME PARTIE.

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Date de dernière mise à jour : 02/07/2021

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