Eucharistie du Lundi 18 Juillet 2022 : Lundi de la 16ème semaine du Temps Ordinaire (Année paire).

Eucharistie du Lundi 18 Juillet 2022 : Lundi de la 16ème semaine du Temps Ordinaire (Année paire).

Fête de Notre-Dame de Bonne Délivrance.
Fête de Saint Arnoul de Metz, Évêque (+ 641).
Fête de Saint Simon de Lipnica, Prêtre o.f.m., de l’Ordre des Frères Mineurs (+ 1482).


Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Livre de Michée 6,1-4.6-8... Psaume 50(49),5-6.8-9.16bc-17.21.23... Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 12,38-42.
Commentaire de Saint Cyrille de Jérusalem (313-350), Évêque de Jérusalem et Docteur de l'Église.
Autre commentaire du Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Lluís ROQUÉ i Roqué (Manresa, Barcelona, Espagne).
Autre commentaire personnel.
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

Nd de bonne delivrance 11

Lundi 18 Juillet 2022 : Fête de Notre-Dame de Bonne Délivrance.
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Fête de Notre-Dame de Bonne Délivrance.

Marie mere de jesus 4

Lundi 18 Juillet 2022 : Qu’elle est la Place de Marie dans notre vie et dans l’Église.
Commentaire personnel. Suite à la Fête de Notre-Dame de Bonne Délivrance, se pose la question de la Place de Marie dans notre vie et dans l’Église.

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Qu’elle est la Place de Marie dans notre vie et dans l’Église.

Arnoul 1

Lundi 18 Juillet 2022 : Fête de Saint Arnoul de Metz, Évêque (+ 641).
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Saint Arnoul de Metz.

San simone da lipnica c

Lundi 18 Juillet 2022 : Fête de Saint Simon de Lipnica, Prêtre o.f.m., de l’Ordre des Frères Mineurs (+ 1482).
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Saint Simon de Lipnica.

922 001

Lundi 18 Juillet 2022 : L’Église Luthérienne fête PAUL SCHNEIDER, Pasteur Luthérien et Martyr (1897-1939).
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Paul Schneider.

Tous les saints 11

Les Saints du 18 Juillet.
http://reflexionchretienne.e-monsite.com/pages/vie-des-saints/juillet/saints-saintes-et-fetes-du-jour-17.html

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Livre de Michée 6,1-4.6-8.
Écoutez donc ce que dit le Seigneur : Lève-toi ! Engage un procès avec les montagnes, et que les collines entendent ta voix.
Montagnes, écoutez le procès du Seigneur, vous aussi, fondements inébranlables de la terre. Car le Seigneur est en procès avec son peuple, il plaide contre Israël :
Mon peuple, que t’ai-je fait ? En quoi t’ai-je fatigué ? Réponds-moi.
Est-ce parce que je t’ai fait monter du pays d’Égypte, que je t’ai racheté de la maison d’esclavage, et que je t’ai donné comme guides Moïse, Aaron et Myriam ?
« Comment dois-je me présenter devant le Seigneur ?, demande le peuple. Comment m’incliner devant le Très-Haut ? Dois-je me présenter avec de jeunes taureaux pour les offrir en holocaustes ?
Prendra-t-il plaisir à recevoir des milliers de béliers, à voir des flots d’huile répandus sur l’autel ? Donnerai-je mon fils aîné pour prix de ma révolte, le fruit de mes entrailles pour mon propre péché ?
– Homme, répond le prophète, on t’a fait connaître ce qui est bien, ce que le Seigneur réclame de toi : rien d’autre que respecter le droit, aimer la fidélité, et t’appliquer à marcher avec ton Dieu. »

 

Psaume 50(49),5-6.8-9.16bc-17.21.23.
« Assemblez, devant moi, mes fidèles,
eux qui scellent d'un sacrifice mon alliance. »
Et les cieux proclament sa justice :
oui, le juge c'est Dieu !

Je ne t'accuse pas pour tes sacrifices ;
tes holocaustes sont toujours devant moi.
Je ne prendrai pas un seul taureau de ton domaine,
pas un bélier de tes enclos.

« Qu'as-tu à réciter mes lois,
à garder mon alliance à la bouche,
toi qui n'aimes pas les reproches
et rejettes loin de toi mes paroles ?

« Voilà ce que tu fais ;
garderai-je le silence ?
Penses-tu que je suis comme toi ?
Je mets cela sous tes yeux, et je t'accuse.

« Qui offre le sacrifice d'action de grâce,
celui-là me rend gloire :
sur le chemin qu'il aura pris,
je lui ferai voir le salut de Dieu. »

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 12,38-42.
En ce temps-là, quelques-uns des scribes et des pharisiens lui adressèrent la parole : « Maître, nous voudrions voir un signe venant de toi. »
Il leur répondit : « Cette génération mauvaise et adultère réclame un signe, mais, en fait de signe, il ne lui sera donné que le signe du prophète Jonas.
En effet, comme Jonas est resté dans le ventre du monstre marin trois jours et trois nuits, le Fils de l’homme restera de même au cœur de la terre trois jours et trois nuits.
Lors du Jugement, les habitants de Ninive se lèveront en même temps que cette génération, et ils la condamneront ; en effet, ils se sont convertis en réponse à la proclamation faite par Jonas, et il y a ici bien plus que Jonas.
Lors du Jugement, la reine de Saba se dressera en même temps que cette génération, et elle la condamnera ; en effet, elle est venue des extrémités de la terre pour écouter la sagesse de Salomon, et il y a ici bien plus que Salomon. »

 

Commentaire du jour.
Saint Cyrille de Jérusalem (313-350), Évêque de Jérusalem et Docteur de l'Église.
Catéchèse n° 20 / 2e mystagogique (trad. SC 126, p.111s rev.)

Le signe de Jonas

Vous avez été conduits par la main à la piscine baptismale, comme Le Christ de la Croix à son tombeau qui est là devant vous [dans cette église du Saint Sépulcre].
Après avoir confessé votre Foi au Père, au Fils et au Saint Esprit, vous avez été immergés trois fois dans l'eau et vous en avez émergé : c'était le symbole des trois jours du Christ au tombeau.
De même que Notre Sauveur a passé trois jours et trois nuits au cœur de la Terre, de même vous aussi en sortant de l'eau après votre immersion, vous avez imité Le Christ...
Quand vous avez été immergés vous étiez dans la nuit, vous ne voyiez plus rien ; mais en sortant de l'eau vous vous trouviez comme en plein jour.
Dans un même mouvement, vous mouriez et vous naissiez ; cette eau qui sauve a été à la fois votre tombe et votre mère...

Étrange paradoxe ! Nous ne sommes pas vraiment morts, nous n'avons pas été vraiment ensevelis, nous n'avons pas été vraiment crucifiés et ressuscités ; mais si notre imitation n'est qu'une image, le Salut, lui, est une réalité.
Le Christ a été réellement crucifié, réellement enseveli et véritablement il est ressuscité, et toute cette grâce nous est donnée afin que, participant à ses souffrances en les imitant, nous gagnions en réalité le Salut.
Quel immense Amour des hommes ! Le Christ a reçu les clous sur ses mains pures, et il a souffert ; et à moi, sans souffrance et sans peine, il accorde par cette participation la grâce du Salut...

Nous le savons bien : si le Baptême nous purifie de nos péchés et nous donne L'Esprit Saint, il est aussi la réplique de la Passion du Christ.
C'est pourquoi Paul proclame : « Ne le savez-vous pas : nous tous, qui avons été Baptisés en Jésus Christ, c'est dans sa mort que nous avons été Baptisés. Nous avons donc été ensevelis avec Lui par le Baptême »...
Tout ce que Le Christ a enduré, c'est pour nous et pour notre Salut, en réalité et non en apparence...
Et nous, nous devenons participants à ses souffrances.
C'est pourquoi Paul continue à proclamer : « Si nous sommes devenus un même être avec Le Christ, par une mort qui ressemble à la sienne, nous le serons aussi par une Résurrection qui ressemblera à la sienne » (Rm 6,3-5).

 

Autre commentaire du jour.
Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.

« Maître, nous voudrions voir un signe venant de Toi. »

Jésus guérit beaucoup de gens qui le suivaient (Mt 12, 15) ; en particulier, il vient de délivrer « un possédé qui était aveugle et muet » (12, 22).
Et voilà que des scribes et pharisiens s’approchent de lui pour lui demander un « signe » qui accréditerait sa prétention d’enseigner les foules et de les appeler à la conversion !
Il est décidément inutile de multiplier les signes devant des aveugles, ou de prolonger les discours en présence de sourds.
Aussi la réponse de Notre-Seigneur est-elle cinglante : « Génération mauvaise et adultère » - c'est-à-dire qui n’accomplit pas le bien et qui trahit son époux légitime, le Dieu d’Israël - « en fait de signe, il ne lui sera donné que celui du prophète Jonas ».

Voilà un personnage biblique bien connu. Mais en quoi pouvons-nous le comparer à Jésus ?
Jonas commence par refuser d’obéir à Dieu lorsque celui-ci l’envoie en mission à Ninive : « Depuis quand le Dieu d’Israël se soucie-t-il des païens ? – objecte-t-il implicitement - N’a-t-il pas assez à faire avec le peuple élu ?
Et pour peu qu’ils se convertissent, le Seigneur est même capable de différer le châtiment dont il les menace ! »
Aussi Jonas estime-t-il qu’il vaut mieux se soustraire à une telle mission. Jusque là : peu de rapport avec Jésus, qui tout au contraire parcourt infatigablement les routes de Galilée à la recherche des brebis perdues de Dieu son Père.

On se souvient comment Jonas après avoir cherché à échapper à l’appel de Dieu, va y être ramené par les bons services d’une baleine, qui le recrache sur le rivage de Ninive, après l’avoir abrité trois jours dans son ventre.
Se résignant à l’obéissance, le Ministère du prophète récalcitrant s’avère particulièrement efficace et conduit à la conversion massive de la grande ville païenne.

C’est bien sûr à cet épisode particulier que se réfère explicitement Notre-Seigneur. Certes, Jésus a prêché durant sa vie publique, mais la réponse est mitigée : les foules versatiles se détourneront bientôt de Lui, entraînées par la jalousie des chefs religieux ; ses propres disciples seront dispersés, il sera jeté hors de la ville comme Jonas le fut par-dessus bord, et il sera englouti par la mort comme ce dernier par la baleine.
Apparemment l’échec est complet : la pierre s’est refermée sur le tombeau du Rabbi de Nazareth comme la gueule du monstre marin sur Jonas. On n’en parle plus.

Or paradoxalement, c’est à ce moment précis que Dieu reprend les choses en main, en ordonnant au monstre marin et à la mort de restituer leur proie respective.
Le succès du Ministère de Jonas annonce la fécondité de la prédication apostolique au matin de Pentecôte : rendus participants de la Vie de leur Maître ressuscité, les disciples inviteront avec assurance à la conversion et au Salut par la Foi.
Ainsi le « signe » que demandent les scribes et pharisiens leur sera donné au matin de Pâque dans la personne de Jésus ressuscité.
Plus exactement : Le Christ ressuscité et son Église constituent ensemble, et jusqu’à la fin des temps, l’unique signe de l’inauguration et de la présence du Royaume de Dieu au cœur du monde.

« Seigneur Jésus, nos yeux sont aveuglés comme ceux des scribes et pharisiens de ton époque. Nous aussi nous réclamons des “signes” ; nous sommes en quête de “merveilleux” qui nous permettrait de faire l’économie de la Foi.
Or ce n’est pas en raison des prodiges éclatants qu’aurait accompli Jonas que les Ninivites se sont convertis, mais en réponse “à la proclamation” de la Parole de Dieu qu’il leur a faite.

Donne-nous d’entrer dans l’obéissance de la Foi et de nous convertir à ta Parole de Vie, afin que nous puissions accéder pleinement au Salut que tu nous offres.
Unis à Toi dans un même Esprit, nous pourrons alors accomplir “ce qui est bien, ce que tu réclames de nous : rien d’autre que pratiquer la Justice, aimer la Miséricorde, et marcher humblement avec Notre Dieu” (1ère lect.). ».
Père Joseph-Marie.

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_145
+ Abbé Lluís ROQUÉ i Roqué (Manresa, Barcelona, Espagne).

«Maître, nous voudrions voir un signe venant de Toi»

Aujourd'hui, dans l'Évangile, nous contemplons des maîtres de la Loi et des pharisiens qui demandent à Jésus de leur prouver sa provenance Divine par un signe prodigieux (cf. Mt 12,38).
Des preuves, Il en avait déjà données, assez pour montrer non pas seulement qu'il venait de Dieu, mais pour prouver qu'Il était Dieu.
Mais, malgré cela, ils n'en avaient pas assez: peu importe ce qu'Il aurait pu faire, ils ne l'auraient pas cru.

D'un ton prophétique, et profitant d'un signal prodigieux de l'Ancien Testament, Jésus annonce sa mort, sa sépulture et sa Résurrection: «Car Jonas est resté dans le ventre du monstre marin trois jours et trois nuits; de même, Le Fils de l'homme restera au cœur de la Terre trois jours et trois nuits» (Mt 12,40), en sortant de là plein de Vie.

Par sa conversion et la pénitence, les habitants de Ninive, ont recouvré l'amitié de Dieu. Nous aussi, par la conversion, la pénitence et le Baptême, avons été inhumés avec Le Christ, et demeurons en Lui et pour Lui, maintenant et pour toujours, ayant donné un vrai pas «pascal»: pas de la mort à la vie, du péché à la Grâce.
Libérés de l'esclavage du démon, nous devenons les fils de Dieu. C'est “le grand prodige”, illustrant notre Foi et l'Espérance de vivre en aimant comme Dieu le veut, pour posséder Dieu Amour en plénitude.

Grand prodige, que ce soit celui de la Pâque de Jésus comme celui de notre Baptême. Personne ne les a vus, car Jésus est sorti du tombeau plein de Vie.
Et nous sommes sortis du péché, pleins de la Grâce Divine. Nous y croyons et nous vivons en essayant de ne pas tomber dans l'incrédulité de ceux qui veulent voir pour y croire, ou de ceux qui voudraient une Église sans l'opacité des humains qui la composons.
Que le fait Pascal du Christ nous suffisse, car il répercute si profondément sur tous les humains et sur toute la création, en étant la cause de tant de “miracles de la Grâce”.

La Vierge Marie a eu confiance dans la Parole de Dieu, et elle n'a pas du courir au tombeau pour embaumer le corps de son Fils et pour vérifier que le sépulcre était vide: tout simplement elle crut et elle “vit”.

 

Autre commentaire personnel sur l’Évangile.
http://reflexionchretienne.e-monsite.com/pages/reflexions-personnelles-26-50/29-le-signe-de-jonas-1ere-partie/

Le Signe de Jonas.

 

HYMNE : ESPRIT DE DIEU, TRÈS PUR AMOUR

Esprit de Dieu, très pur Amour,
Descends dans notre nuit obscure ;
Le temps nous tient, la chair nous dure,
Esprit de feu, très pur Amour !

Cœur du Très-Haut, soleil du Christ,
Console-nous du grand hiver ;
Transforme avec nous l’univers,
Vigne de grâce, Hôte infini !

Esprit de Dieu, très pur Amour,
dans notre nuit obscure ;
La soif nous tient, la mort nous dure,
Esprit de vie, très pur Amour !

Notre âme attend, notre âme a faim,
Sage conseil, ô Vérité,
De voir dans la pleine clarté
Le fruit parfait de tes desseins !

Esprit de Dieu, très pur Amour,
Descends dans notre nuit obscure ;
Destin nous tient, douleur nous dure,
Esprit de paix, très pur Amour !

Unique Amour, fais-nous ta proie,
Plie notre orgueil, panse nos plaies ;
De ta vigueur viens nous brûler,
Souffle de Dieu, Flamme de joie !

Esprit de Dieu, très pur Amour,
Descends dans notre nuit obscure ;
La chair nous tient, le temps nous dure,
Esprit du ciel, très pur Amour !

 

HYMNE : UN JOUR NOUVEAU COMMENCE

Un jour nouveau commence,
Un jour reçu de toi,
Père,
Nous l’avons remis d’avance
En tes mains tel qu’il sera.

Émerveillés ensemble,
Émerveillés de toi,
Père,
Nous n’avons pour seule offrande
Que l’accueil de ton amour.

Marqués du goût de vivre,
Du goût de vivre en toi,
Père,
Nous n’avons pas d’autres vivres
Que la faim du pain rompu.

Comment chanter ta grâce,
Comment chanter pour toi,
Père,
Si nos cœurs ne veulent battre
De l’espoir du Corps entier ?

Le jour nouveau se lève
Le jour connu de toi,
Père ;
Que ton Fils dans l’homme achève
La victoire de la croix !

 

HYMNE : FRAPPE À MA PORTE

Frappe à ma porte,
Toi qui viens me déranger.
Frappe à ma porte,
Tu viens me ressusciter.

R/ Je ne sais ni le jour ni l’heure,
Mais je sais que c’est toi, Seigneur.

Frappe à ma porte
Tout le vent de ton Esprit.
Frappe à ma porte
Le cri de tous mes frères.

Frappe à ma porte
Le cri de tes affamés.
Frappe à ma porte
La chaîne du prisonnier.

Frappe à ma porte,
Toi, la misère du monde.
Frappe à ma porte
Le Dieu de toute ma joie.

 

Oraison du matin (Office des Laudes).
Tu demandes à l’humanité, Dieu Créateur, de se perfectionner de jour en jour et d’achever par son travail l’œuvre immense de la Création ; aide-nous à faire que tous les hommes aient des conditions de travail qui respectent leur dignité : qu’en s’efforçant d’améliorer leur propre sort, ils agissent avec un esprit de solidarité et de service.

 

Parole de Dieu : (Jdt 8, 25-26a.27b)... (Office des Laudes).
Rendons grâce au Seigneur Notre Dieu qui nous éprouve comme nos pères. Rappelez-vous tout ce qu’il a fait avec Abraham et combien il a éprouvé Isaac et tout ce qui arriva à Jacob. C’est pour les avertir que Le Seigneur flagelle ceux qui s’approchent de Lui.

 

Parole de Dieu : (1 Th 3, 12-13)... (Office des Vêpres).
Que Le Seigneur vous donne, entre vous et à l’égard de tous les hommes, un Amour de plus en plus intense et débordant, comme celui que nous avons pour vous.
Et qu’ainsi il vous établisse fermement dans une sainteté sans reproche devant Dieu Notre Père, pour le jour où Notre Seigneur Jésus viendra avec tous les Saints.

Date de dernière mise à jour : 18/07/2022

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