VIVRE EN DIEU…1ère Partie.

LA PAIX DU SEIGNEUR SOIT AVEC VOUS, VOTRE FAMILLE ET VOS PROCHES.

VIVRE EN DIEU…1ère Partie.

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Pour pouvoir vivre en Dieu, il faut non seulement suivre tous les Commandements d’Amour de Dieu, ceux qu’Il nous donne au travers de La Bible, de Sa Parole, de L’Eglise mais aussi ceux que notre âme ressent et désire transmettre à notre esprit, pour peu que celui-ci soit libre, ouvert aux sollicitations venant de l’âme et non pas encombré par les désirs et envies de notre chair…qui préfère que l’on s’occupe d’elle, quitte à laisser mourir notre âme.

 

Rappelez-vous ce que je disais dans ma Réflexion : Fête de Saint Laurent…et que j’ai rappelé dans ma précédente Réflexion !!!

Pour pouvoir vivre en Dieu, il faut non seulement suivre tous les Commandements d’Amour de Dieu, mais aussi il faut nourrir notre âme quotidiennement afin de lui donner la force de résister aux combats qu’elle doit mener contre les attaques continuelles de Satan et de ses démons…qui ont pour alliés, entre autre…notre chair corrompue !!!

Cette nourriture se trouve dans La Parole de Dieu (au travers de La Bible, de L’Evangile mais aussi des livres et des vies des Saints et des Martyrs, des homélies du Prêtre à la messe comme dans les Enseignements au cours de retraites Spirituelles, de réunions de Prières, de Partages Chrétiens, etc…)…

En Jésus l’Ecriture est devenue vivante, elle est devenue Quelqu’un

Homélie du dimanche 24 janvier, par le P. Laurent Le Boulc'h

ROME, Dimanche 24 janvier 2009 (ZENIT.org) - Nous publions ci-dessous le commentaire de l'Evangile du dimanche 24 janvier, proposé par le P. Laurent Le Boulc'h.

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc (1, 1-4; 4, 14-21)

Plusieurs ont entrepris de composer un récit des événements qui se sont accomplis parmi nous, tels que nous les ont transmis ceux qui, dès le début, furent les témoins oculaires et sont devenus les serviteurs de la Parole. C'est pourquoi j'ai décidé, moi aussi, après m'être informé soigneusement de tout depuis les origines, d'en écrire pour toi, cher Théophile, un exposé suivi, afin que tu te rendes bien compte de la solidité des enseignements que tu as reçus.

Lorsque Jésus, avec la puissance de l'Esprit, revint en Galilée, sa renommée se répandit dans toute la région. Il enseignait dans les synagogues des Juifs, et tout le monde faisait son éloge. Il vint à Nazareth, où il avait grandi. Comme il en avait l'habitude, il entra dans la synagogue le jour du sabbat, et il se leva pour faire la lecture. On lui présenta le livre du prophète Isaïe. Il ouvrit le livre et trouva le passage où il est écrit : L'Esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m'a consacré par l'onction. Il m'a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux prisonniers qu'ils sont libres, et aux aveugles qu'ils verront la lumière, apporter aux opprimés la libération, annoncer une année de bienfaits accordée par le Seigneur.

Jésus referma le livre, le rendit au servant et s'assit. Tous, dans la synagogue, avaient les yeux fixés sur lui. Alors il se mit à leur dire : « Cette parole de l'Écriture, que vous venez d'entendre, c'est aujourd'hui qu'elle s'accomplit. »

 

Dans la suite de sa vie, Jésus n'aura rien écrit, à peine quelques signes vite effacés devant la femme adultère. Il n'en avait pas besoin car c'est bien sa vie, toute son existence, sa manière d'être et d'agir, qui est parole. Et l'on comprend qu'au temps des apôtres le témoignage encore tout récent de sa vie parlait plus que tout.

Luc entreprend pourtant de venir à l'écriture car la mémoire s'éloigne. Il ne faudrait cependant pas se méprendre. Si Luc fixe la vie de Jésus dans son évangile ce n'est pas pour la sortir de l'histoire des hommes. Si le travail de Luc n'avait conduit qu'à fossiliser la vie de Jésus en la réduisant à un document d'archives pour nos bibliothèques, il serait passé à côté de son espérance.

Toute la nouvelle écriture de Luc, le récit des évangiles, n'a de sens que si ce texte écrit de son évangile retourne à la vie.

L'évangile n'est donc pas écrit en regardant seulement le passé. Il ne nous est pas donné seulement comme un témoignage d'histoire. Il est fait pour rejoindre nos vies aujourd'hui. Luc a d'ailleurs pris la peine d'écrire à la suite de son évangile le récit des actes des apôtres. Il nous raconte la vie de la première Eglise, comme si tout allait ensemble, et que le témoignage de l'Eglise faisait vraiment partie de l'Evangile. L'Evangile ne va au bout de lui-même que lorsqu'il entre, à nouveau, dans la vie des hommes.

Luc l'évangéliste s'est donc inspiré de la vie de Jésus pour écrire son livre. Jésus, Parole de Dieu faite histoire, est devenu son écriture. Mais cette écriture n'a de sens que si elle redevient histoire en nos vies.

Frères et sœurs, il nous revient de faire entrer l'évangile dans la vie des hommes. Faire entrer l'Evangile dans notre propre histoire. C'est ainsi que la vie de Jésus devenue parole retourne à la vie. La condition c'est que nous écoutions attentivement cette Parole, que nous la recevions le plus profondément possible en nous, que nous la partagions avec nos frères dans l'Eglise devenue corps du Christ, telle que Paul nous l'a présentée dans la seconde lecture.

Frères et sœurs, prenons la pour nous cette Parole de Luc. Prenons-la vraiment au sérieux. Laissons-la inspirer nos manières d'être et de vivre. Laissons-la nous interroger et nous bousculer. Laissons-la nous encourager et nous stimuler dans notre vie de foi d'espérance et de charité.

« Il m'a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux prisonniers qu'ils sont libres, et aux aveugles qu'ils verront la lumière, apporter aux opprimés la libération, annoncer une année de bienfaits accordée par le Seigneur. » Ce matin c'est à la libération des plus pauvres que la Parole d'Evangile nous appelle et nous pensons une fois encore au drame qui frappe le peuple d'Haïti.

Le signe que l'évangile est devenu Parole de vie pour nous, ce pourrait bien être quand, après avoir lu et médité un passage d'Evangile, nous pouvons dire à notre tour : « Cette parole de l'Écriture, que vous venez d'entendre, c'est aujourd'hui qu'elle s'accomplit. »

« Cette parole de l'Écriture, que je viens de lire ou d'entendre, c'est aujourd'hui que je l'accomplie. » C'est quand l'Ecriture de Luc devient notre vie qu'elle devient pour les hommes un témoignage aujourd'hui et pour les générations à venir. Amen.

Le P. Laurent Le Boulc'h est curé de la paroisse de Lannion et modérateur de la paroisse de Pleumeur Bodou, secrétaire général du conseil presbytéral du diocèse de Saint Brieuc et Tréguier (Côtes d'Armor - France).

 

Cette nourriture se trouve dans Le Corps et Le Sang de Jésus qui se livre pour notre Salut.

Extrait de ma Réflexion : Notre Dame de Fatima…homélie du Saint Curé d’Ars.

Notre âme est si précieuse aux yeux de Dieu même, que, dans toute Sa Sagesse, Il n'a point trouvé de nourriture qui fût digne d'elle que Son Corps adorable, dont Il veut qu'elle fasse son pain de chaque jour…et pour sa boisson, il n'y avait que Son Sang précieux qui fût digne de lui en servir… 

 

Et Jésus nous rappelle que sans cette nourriture, nous privons notre âme non seulement du Sang de Jésus qui la purifie comme un torrent déchaîné balaie toutes les cochonneries sur son passage, la nourrit en lui donnant les forces dont elle a besoin et soigne ses blessures par le Sérum qui est sorti du cœur de Jésus lorsque la lance du centurion Romain  l’a transpercé (il en sorti du sang et de l’eau).

 

Extrait de ma Réflexion n° 39 : Les Noces de Cana.

« Tout homme sert d’abord le bon vin, et quand les gens sont ivres, le moins bon. Toi, tu as gardé le bon vin jusqu’à présent ».

En effet, j’ai gardé le meilleur pour la fin, Moi, l’époux du grand Festin.

A la dernière Cène (le dernier acte du Maître) Moi, l’Epoux, J’ai changé non pas l’eau en vin, mais le vin en mon Sang pour une nouvelle transformation destinée à vous aider à être heureux de Mon Bonheur, qui est Saint et Eternel.

Trois années durant, J’avais rempli les jarres vides de l’Eau venue du Ciel.

Désormais, l’eau ne suffisait plus.

Le temps du combat et de la joie était venu. Or le vin est utile au combattant et il ne saurait être absent des festins.

Je vous ai donc donné L’Eucharistie, Mon propre Sang, afin que vous buviez Ma Force pour devenir forts, ainsi que Ma joyeuse volonté de servir Dieu, pour que vous deveniez des héros à l’instar de votre Maître, et que Ma Joie soit en vous

 

Ce miracle de la transformation d’une espèce en l’autre n’a pas connu de fin.

Les jarres du banquet de Cana se sont rapidement vidées, laissant enivrés les invités aux noces.

En revanche, Mon Eucharistie remplie toujours les Calices et les Ciboires de la terre entière depuis des siècles.

Et jusqu’à la fin des siècles les affamés, les épuisés, les assoiffés, les fatigués, les affligés, les mourants et ceux qui commencent à peine à faire preuve de raison, les purs comme les repentants, les malades comme les bien-portants, les prêtres comme les laïcs, les hommes de toute race et condition, qu’ils habitent sur les sommets ou dans les plaines, dans les neiges polaires ou à l’équateur, sur les eaux ou sur terre, viennent boire, manger, se nourrir, se sauver, vivre de mon Sang et de mon Corps, de ce Vin offert à la fin du Banquet, au seuil de la Rédemption, pour qu’il soit le Banquet perpétuel de l’Epoux pour ceux qui l’aiment et pour que se poursuive la Rédemption de vos faiblesses et de vos chutes. 


Les noces de Cana voient la transformation de l’eau en vin.

La Cène de Pâques, la transsubstantiation du pain et du vin en mon Corps et mon Sang.

La première marque le début de ma mission de transformation des juifs de l’Antiquité en disciples du Christ.

La seconde marque le début de la transsubstantiation des hommes en enfants de Dieu par la Grâce qui revit en eux.

C’est le dernier miracle de l’Homme-Dieu, le premier et perpétuel miracle de l’Amour humanisé.

 

Je voudrais ici rappeler ce que disait le Saint Curé d’Ars sur L’Eucharistie et La Communion une fois par an.

EXTRAIT de ma Réflexion : Samedi 25 Avril 2009.

EXTRAITS d’une Homélie du Saint Curé d’Ars sur L’Eucharistie :

Oh ! Quel Bonheur pour celui qui reçoit Jésus-Christ dans la sainte communion, étant bien disposé ! ...

Ah ! Qui ne pourra jamais comprendre le bonheur du chrétien qui reçoit Jésus-Christ dans son cœur, qui, par là, devient un petit ciel…lui seul est aussi riche que tout le ciel ensemble.

Mais, me direz-vous, pourquoi donc la plupart des chrétiens sont-ils si insensibles à ce Bonheur, que plusieurs même le méprisent, et raillent ceux qui sont si heureux de le recevoir ?

Hélas ! Mon Dieu, quel malheur est comparable à celui-là ! C'est que ces pauvres malheureux n'ont jamais connu ni goûté la grandeur de ce Bonheur.

En effet, un homme mortel, une créature, se nourrir, se rassasier de Son Dieu, en faire son pain quotidien ! Ô miracle des miracles ! Ô amour des amours !... Ô bonheur des bonheurs, qui n'est pas même connu des anges !...

Ô mon Dieu ! Quelle joie pour un chrétien qui a la foi, qui, en se levant de la Table sainte, s'en va avec tout le ciel dans son cœur !...

Ah ! Heureuse maison où ces chrétiens habitent ! ... Quel respect ne doit-on pas avoir pour eux, pendant toute la journée. Avoir, dans sa maison, un second tabernacle où le bon Dieu a résidé véritablement en corps et en âme !...

Mais, peut-être me direz-vous encore, si ce Bonheur est si grand, pourquoi donc l'Église nous fait-elle un commandement de communier tous les ans une fois ?

Ce commandement, n'est pas pour les bons chrétiens, il n'est que pour les chrétiens lâches et indifférents pour le Salut de leur pauvre âme.

Du commencement de l'Église, la plus grande punition que l'on pouvait imposer aux chrétiens était de les priver de ce bonheur.

Toutes les fois qu'ils avaient le bonheur d'assister à la sainte Messe, ils avaient le bonheur de communier.

Mon Dieu ! Comment se peut-il faire, que des chrétiens restent trois, quatre ou cinq et six mois, sans donner cette nourriture céleste à leur pauvre âme ?

Ils la laissent mourir de misère !... Mon Dieu ! Quel malheur et quel aveuglement !...

Ayant tant de remèdes pour la guérir et une nourriture si capable de lui conserver la santé !...

 

Hélas ! Disons-le en gémissant, l'on n'épargne rien pour un corps qui tôt ou tard sera détruit et mangé des vers…et une âme créée à l'image de Dieu, une âme qui est immortelle, est méprisée et traitée avec la dernière cruauté !...

 

L'Église, voyant déjà combien les chrétiens perdaient de vue le salut de leurs pauvres âmes, espérant que la crainte du péché leur ferait ouvrir les yeux, leur fit un commandement qui les obligerait de communier trois fois chaque année, à Noël, à Pâques et à Pentecôte.

Mais, par la suite, voyant que les chrétiens devenaient toujours plus insensibles à leur malheur, l'Église a fini par ne plus les obliger de s'approcher de leur Dieu qu'une fois tous les ans.

O mon Dieu ! Quel malheur et quel aveuglement qu'un chrétien soit forcé par des lois à chercher son Bonheur !

De sorte que, quand vous n'auriez point d'autres péchés sur votre conscience que celui de ne pas faire vos pâques, vous seriez damnés.

 

Mais, dites-moi, quel profit pouvez-vous trouver en laissant votre âme dans un état si malheureux ?...

Vous êtes tranquilles et contents, dites--vous, si toutefois il faut vous croire…mais, dites-moi où vous pouvez trouver votre tranquillité et votre contentement ?

Est-ce parce que votre âme n'attend que le moment où la mort la frappera pour être traînée en Enfer ? Est-ce parce que le démon est maître de vous ? Mon Dieu ! Quel aveuglement et quel malheur pour celui qui a perdu la Foi !...

 

…Oui, tous les saints Pères nous disent qu'en recevant Jésus-Christ dans la sainte communion, nous recevons toutes sortes de Bénédictions pour le temps et pour l'éternité.

 

Voilà ce que nous vivons lorsque nous nous disons Chrétiens, que nous n’avons aucune pensée vers Dieu, que nous allons à la messe du Dimanche sans vraiment la vivre, que nous communions une fois par an (selon la Loi de L’Eglise)…sans réaliser que le premier de tous les Commandements est d’Adorer Dieu seul et de L’Aimer plus que tout !!!

 

La Loi des Chrétiens est une Loi d’Amour inscrite dans les cœurs…et non pas une Loi de contrainte, d’obéissance à des règles…sous peine de punitions.

Elle est une Loi d’Amour. Cela est bien plus exigeant…et nous prend tout entier (ce n’est pas ce que les autres voient à l’extérieur qui compte mais ce que nous vivons et pensons à l’intérieur)…et toute notre vie… jour et nuit…365 jours par an…jusqu’à notre dernier souffle de vie !!!

 

Si souvent nous n’avons si peu d’attrait pour tout ce que Dieu nous propose, pour tout ce qui nous parle de Dieu (y compris au travers des vies et des écrits des Saints et des Martyrs), pour toute nourriture que Dieu nous propose (Sa Parole, Son Corps et Son Sang), c’est que Satan nous aveugle en nous faisant croire que notre Bonheur se trouve dans la satisfaction des désirs et des envies de notre chair (gourmandise, paresse, égoïsme, dureté de cœur, médisance, racisme, haine, plaisirs de toutes sortes surtout s’ils sont interdits, orgueil, luxure, T.V., jeux d’argents, alcool, drogue, etc…) dont ils sait nous rendre esclave (j’aimerais faire autrement…mais je ne peux pas m’en passer, je ne peux pas résister…).

Alors notre esprit refuse tout ce qui vient de notre âme et cherchant même à la faire mourir en refusant de la nourrir (pour ne plus l’entendre crier à notre esprit), en la laissant pourrir des maladies très graves et contagieuses dont nous l’infectons par nos comportements, nos péchés, nos refus de suivre les Commandements de Dieu et de L’Eglise, nos critiques et moqueries de L’Eglise (Corps de Christ) et des personnes Consacrées, nos tentations auxquelles nous succombons avec avidité et empressement, et notre avilissement aux désirs corrompues de notre chair, etc…

 

Pour donner un exemple, j’aimerais décrire une parabole.

Nous sommes dans le désert dans la chaleur étouffante du soleil des journées et le froid glacial des nuits…nous passons à côté d’oasis remplies d’eau avec des abris pour nos nuits, nous rencontrons des caravanes qui nous croisent avec tout ce qu’il nous faut en eau, en vivre et en abris…mais nous continuons notre chemin au milieu du désert sans nous en occuper… car la Loi ne nous oblige pas à la faire !!!

Ce n’est que lorsque, après bien des journées, voir des semaines ou des mois fait en grappillant quelques gouttes dans nos propres réserves d’eau et de vivre…et après nous être écroulé agonisant et au bord de la mort en plein milieu du désert…que, comme la Loi nous y autorise, nous acceptons le secours d’une caravane passant par là qui vient à notre secours, qui nous soigne, nous réhydrate, nous nourri, nous abrite et nous conduit jusqu’au prochain oasis.

Une fois remis en état, et ayant pris des réserves en eau et en nourriture…nous repartons dans le désert, sans le moindre remerciement pour ceux qui nous ont secourus…en en recommençant comme auparavant…jusqu’à être à nouveau agonisant au milieu du désert !!!

 

Et le pire c’est que beaucoup, au nom de « la liberté », font subir le même désastre à leurs enfants, les obligeant à refuser de boire aux oasis se trouvant sur leur route, d’accepter toute nourriture ou boisson des caravanes qui passent (afin qu’ils soient libres de choisir lorsqu’ils seront grands !!!), les empêchant de découvrir Dieu alors que Celui-ci essaie de se découvrir à eux.

On ne parle plus de Dieu et de Son Amour Infini à nos enfants…et même souvent on ne sait pas répondre à leurs questions, car Dieu est devenu presque un inconnu pour nous.

On les envoie au « Catéchisme » s’il veulent bien y aller…au nom de « leur Liberté » (C’est alors à leurs professeurs et au curé de leur en parler !!!), puis une fois tous les engagements obligatoires faits, ils font comme leur parents…ne mettent plus les pieds à l’église ou en y allant une fois par an…et vivant en païen…communiant sans réaliser le geste qu’ils font et en étant en état de péché…des nombreux péchés vécus pendant cette longue période !!!

 

Sauf que les Commandements de Dieu (et ceux que nous donne L’Eglise) ne sont pas là pour nous imposer une Loi (voir  dans les épîtres de St Paul : Galates 3 23-28), mais pour nous permettre de prendre Le Chemin d’Amour que Dieu nous montre dont les Commandements sont inscrits au plus profond de notre âme (et que L’Eglise nous rappelle)…qui est le seul Chemin qui conduit au Bonheur éternel et afin de ne pas blesser très gravement notre âme. 


Galates 3 23-28

Avant la venue de La Foi, nous étions enfermés sous la garde de La Loi, réservés à La Foi qui devait se révéler.

Ainsi La Loi nous servit-elle de pédagogue jusqu’au Christ, pour que nous obtenions de La Foi notre justification.

Mais, La Foi venue, nous ne sommes plus sous un pédagogue. Car vous êtes tous Fils de Dieu, par La Foi dans Le Christ Jésus.

Vous tous en effet, Baptisés dans Le Christ, vous avez revêtu Le Christ.

Il n’y a plus ni Juifs, ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni hommes libres, il n’y a plus ni homme ni femme, car tous vous ne faites qu’un dans Le Christ Jésus.

  

Nous ne sommes plus des étrangers, nous sommes tous unis pour ne faire qu’un en Jésus, ainsi quand je rencontre mon Prochain (celui que Dieu met sur ma route), je suis en présence de Dieu qui vit en lui…ou s’il est un très grand pécheur et que Dieu n’habite plus son âme… Dieu l’a mis sur ma route comme cet homme laissé pour mort dans la Parabole du Bon Samaritain…à moi de le soigner et de l’emmener à l’auberge (où Dieu pourra lui prodiguer tous les soins) à l’aide de ma monture (de tous les Dons dont Dieu m’a fait bénéficier) et cela avec un total élan d’Amour.

Ainsi j’ai revêtu Le Christ, aussi je ne peux plus agir et vivre en fonction d’une Loi…mais dans une réponse d’Amour total pour Mon Dieu qui m’a toujours Aimé d’un Amour Infini… alors, à cause de cet Amour, je ne peux que fuir le péché et obéir avec empressement et Amour à tous les désirs de Mon Dieu !!!

Cet Amour Infini de Dieu est manifesté non seulement dans La Création mise au service de l’homme (même si celui-ci la détruit…pour son malheur), dans la vie qu’Il nous a donné, dans l’âme qu’il a mis en nous lors de notre conception, qui reflète La Divinité de Dieu et qui est éternelle, dans Son Sacrifice s’offrant en Victime pure pour notre Salut à tous et enfin dans Son désir de faire de nous Ses enfants adoptifs héritant de Son Royaume où ne règne qu’Amour et Pureté et où nous verrons enfin Le Visage de Dieu…pour un Bonheur qui sera éternel (ceux qui refuseront cet Amour perdront malheureusement cet héritage et iront rejoindre Le Royaume de Satan…pour une éternité de Souffrances en réalisant enfin ce qu’ils auront définitivement perdu par leur volonté de suivre les désirs de leur chair et de rejeter Dieu).  

Je ne peux plus aller à la messe « par obligation », mais par Amour pour puiser à cette Source de L’Amour où je suis invité (moi personnellement, qui que je sois) pour reprendre des forces, me nourrir de La Parole, du Corps et du Sang de mon Dieu après avoir regretté tous mes manques d’Amour et Lui en avoir demandé pardon dans Le Sacrement de Pénitence…pour mon Salut. 

 

EN UNION DE CŒUR, D’AMOUR FRATERNEL ET DE PRIERES.

                                   PIERRE

 

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Date de dernière mise à jour : 02/07/2021

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