LA PAIX DU SEIGNEUR SOIT AVEC VOUS, VOTRE FAMILLE ET VOS PROCHES.
Qui est Jésus, que sont l'Enfer et le Purgatoire, quel est le sens de l’Eucharistie ???
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Ce sont des réflexions que je me suis faite pour les transmettre … Afin que La Parole du Seigneur puisse se répandre …. Afin de ne pas garder pour moi ce que Le Seigneur m’enseigne, mais de pouvoir le partager avec ceux que j’aime.
Ma première réflexion est sur la mission de Jésus sur terre (décrite par Lui-même au temple), sur l’Enfer, le Purgatoire (pour ceux qui n’y croient pas) et sur le sens de l’Eucharistie.
Dieu nous aime tellement qu’Il a voulu mourir pour nous sauver.
Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta (tome 7, chapitre 182 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé…(cf. 7.182))…qui reprend un passage de L’Evangile selon Saint Jean.
Jean 7 25-30.
…N’est-ce pas Lui qu’ils cherchent à tuer ??? Et le voilà qui parle ouvertement sans qu’ils ne lui disent rien !!! Est-ce que vraiment les autorités auraient reconnu qu’Il est Le Christ ??? Mais lui, nous savons d’où il est, tandis que Le Christ, à sa venue, personne ne saura d’où Il est.
Alors Jésus, enseignant dans Le Temple, s’écria :
« Vous me connaissez et vous savez d’où je suis. Et pourtant ce n’est pas de moi-même que je suis venu, mais Celui qui m’a envoyé est véridique. Vous, vous ne le connaissez pas. Moi, Je le connais, parce que Je viens d’auprès de Lui et c’est Lui qui m’a envoyé ».
Jésus révèle à Maria Valtorta un passage où Il parle de Sa mission aux Juifs du Temple.
Qui doit être le Christ ?
Un ange ? Plus qu'un ange. Un homme ? Plus qu'un homme. Un Dieu ? Oui, un Dieu. Mais avec une chair qui Lui est unie, pour pouvoir accomplir l'expiation de la chair coupable.
Toute chose doit être rachetée par la matière avec laquelle elle a péché. Dieu aurait dû par conséquent envoyer un ange pour expier les fautes des anges tombés, et qui expiât pour Lucifer et pour ses disciples angéliques.
Car, vous le savez, Lucifer aussi a péché. Mais Dieu n'envoie pas un esprit angélique pour racheter les anges ténébreux. Ils n'ont pas adoré le Fils de Dieu, et Dieu ne pardonne pas le péché contre son Verbe engendré par son Amour.
Pourtant Dieu aime l'homme et Il envoie l'Homme, l'Unique parfait, pour racheter l'homme et obtenir la paix avec Dieu. Et il est juste que seul un Homme-Dieu puisse accomplir la rédemption de l'homme et apaiser Dieu.
Le Père et le Fils se sont aimés et compris. Le Père a dit : "Je veux". Et le Fils a dit : "Je veux".
Et puis le Fils a dit : "Donne-moi". Et le Père a dit : "Prends", et le Verbe eut une chair dont la formation est mystérieuse, et cette chair s'appela Jésus Christ, Messie, Celui qui doit racheter les hommes, les amener au Royaume, vaincre le démon, briser l'esclavage.
Vaincre le démon ! Un ange ne le pouvait pas, ne peut pas, accomplir ce que le Fils de l'homme peut accomplir.
Et pour cela, voilà que Dieu appelle pour la grande œuvre non pas les anges, mais l'Homme.
Voici l'Homme de l'origine duquel vous êtes incertains, ou négateurs, ou pensifs. Voici l'Homme. L'Homme que Dieu accepte.
L'Homme qui représente tous ses frères. L'Homme comme vous pour la ressemblance, l'Homme supérieur et différent de vous pour la provenance, qui non d'homme, mais de Dieu engendré et consacré pour son ministère, se tient devant l'autel élevé, afin d'être Prêtre et Victime pour les péchés du monde, Pontife éternel et suprême, Souverain Prêtre selon l'ordre de Melchisédech.
Ne tremblez pas ! Je ne tends pas les mains vers la tiare pontificale. Un autre diadème m'attend. Ne tremblez pas ! Je ne vous enlèverai pas le Rational. Un autre est déjà prêt pour Moi.
Mais tremblez seulement que pour vous ne serve pas le Sacrifice de l'Homme et la Miséricorde du Christ. Je vous ai tant aimés, je vous aime tant que j'ai obtenu du Père de m'anéantir
Moi-même. Je vous ai tant aimés, je vous aime tant que j'ai demandé de consumer toute la Douleur du monde pour vous donner le salut éternel.
Pourquoi ne voulez-vous pas me croire ? Ne pouvez-vous croire encore ?
N'est-il pas dit du Christ : "Tu es Prêtre éternellement selon l'ordre de Melchisédech"?
Mais quand a commencé le sacerdoce ? Peut-être au temps d'Abraham ? Non. Et vous le savez. Le Roi de Justice et de Paix qui apparaît pour m'annoncer, par une figure prophétique, à l'aurore de notre peuple, ne vous avertit-il pas qu'il y a un sacerdoce plus parfait, qui vient directement de Dieu, de même que Melchisédech dont personne n'a jamais pu donner l'origine et que l'on appelle "le prêtre" et qui demeurera prêtre éternellement ?
Ne croyez-vous plus aux paroles inspirées ? Et si vous y croyez, comment donc, Ô docteurs, ne savez-vous pas donner une explication acceptable aux paroles qui disent, et elles parlent de Moi : "Tu es prêtre éternellement selon l'ordre de Melchisédech"?
Il y a donc un autre sacerdoce, en outre, avant celui d'Aaron. Et de ce sacerdoce il est dit "tu es", non pas "tu as été", non pas "tu seras". Tu es prêtre pour l'éternité. Voilà alors que cette phrase annonce que l'éternel Prêtre ne sera pas de la souche connue d'Aaron, ne sera d'aucune souche sacerdotale, mais sera d'une provenance nouvelle, mystérieuse comme Melchisédech. Il appartient à cette provenance.
Et si la Puissance de Dieu l'envoie, c'est le signe qu'il veut rénover le Sacerdoce et le Rite pour qu'il devienne utile à l'Humanité.
Connaissez-vous mon origine ? Non. Connaissez-vous mes œuvres ? Non. Voyez-vous leurs fruits ? Non.
Vous ne connaissez rien de Moi. Vous voyez donc qu'en cela aussi, je suis le "Christ" dont l'Origine, la Nature et la Mission doivent être inconnues jusqu'au moment où il plaira à Dieu de les révéler aux hommes.
Bienheureux ceux qui sauront, qui savent croire avant que la Révélation terrible de Dieu ne les écrase de son poids contre le sol et ne les y cloue et ne les brise sous la fulgurante, puissante vérité tonnée par les Cieux, criée par la Terre: "Lui était le Christ de Dieu".
Vous dites : "Lui est de Nazareth. Son père, c'était Joseph. Sa Mère, c'est Marie". Non, je n'ai pas de père qui m'ait engendré comme homme. Je n'ai pas de mère qui m'ait engendré comme Dieu.
Et pourtant j'ai une chair et je l'ai assumée par l'œuvre mystérieuse de l'Esprit, et je suis venu parmi vous en passant par un tabernacle saint.
Et je vous sauverai, après m'être formé Moi-même par la volonté de Dieu, je vous sauverai, en faisant sortir mon véritable Moi-même du Tabernacle de mon Corps pour consommer Le grand Sacrifice d'un Dieu qui s'immole pour le salut de l'homme.
Père, mon Père ! Je te l'ai dit au commencement des jours: "Me voici pour faire ta Volonté". Je te l'ai dit à l'heure de grâce avant de te quitter pour me revêtir de la chair pour pouvoir souffrir : "Me voici pour faire ta Volonté". Je te le dis encore une fois pour sanctifier ceux pour lesquels je suis venu : "Me voici pour faire ta Volonté". Et je te le dirai encore, toujours, jusqu'à ce que ta Volonté soit accomplie..."
Jésus, qui a levé les bras vers le ciel pour prier, les abaisse maintenant, les croise sur sa poitrine et incline la tête, ferme les yeux et s'abîme dans une prière secrète
Comment en réponse à cet Amour, ne pas brûler d’amour pour Dieu, pour Sa Sainte Maman qu’Il nous a donné. Comment ne pas rechercher comment répondre à Son Amour …. Dieu d’amour, Dieu créateur, Dieu immensité de sa miséricorde qui veut mourir et souffrir pour nous sauver. Mais pour que Son Sacrifice serve, Il a besoin de notre amour.
Pour Lui et par Lui, Aimer toute personne quelle qu’elle soit …. Aimer, pardonner, … rejeter tout ce qui est mal (en soi et dans les autres) mais ne pas condamner la personne elle-même (prier pour elle, pleurer pour ses péchés, mais ne pas condamner …. Chercher à ne pas voir le mal qu’elle fait …. Mais le bien qu’elle peut faire par ailleurs (voir dans Maria Valtorta, les constantes remises en place de Jésus aux apôtres vis à vis de Judas). Plus la personne est pécheur, plus il faut l’aimer. Judas a été celui des apôtres pour lequel Jésus a témoigné concrètement le plus d’Amour.
Jésus cache aux apôtres, le mal que Judas fait pour que ceux-ci ne pensent que du bien de lui.
Ne pas raconter le mal que font certains, pour que l’on puisse toujours ne penser que du bien d’eux et leur témoigner de l’amour.
Par Amour pour Notre Dieu, rejeter le mal, même en pensée, ne pas condamner les autres, mais Bénir et Prier pour eux.
Penser toujours à Lui, et faire tout par Amour pour Lui.
Je voulais maintenant vous parler d’une image que j’avais ressentie dans la prière qui peut être pour chacun, et que je vais vous interpréter ensuite :
Vous vous trouvez à l’entrée d’une pièce où il y a le feu un peu partout sur le sol, avec des flammes de plus en plus fortes en allant de l’autre coté de la pièce.
Même si vous pouvez arriver à passer, vous risquez non seulement d’avoir très chaud, de respirer beaucoup de fumée, mais aussi de vous brûler plus ou moins fortement aussi bien par la chaleur du sol que directement par les flammes, en traversant de l’autre coté.
Maintenant, de l’autre coté, il y a une pièce (que les flammes ne peuvent pas atteindre) dans laquelle se trouvent des bibelots auquel vous pourriez tenir (pour certains la religion n’est pas plus que cela).
A quoi, allez-vous penser alors ?
Vous allez penser que si vous traversez la pièce, vous allez vous brûler (peut-être fortement), et vous renoncerez à ces bibelots à cause du risque trop important de vous brûler.
Maintenant, si de l’autre coté de cette pièce, dans une autre pièce, il n’ y a pas des bibelots, mais votre bébé, L’Amour de ta vie, à quoi allez-vous penser alors ?
Vous ne penserez pas, ni ne verrez le feu, les flammes et les brûlures, vous ne verrez que votre Amour, et vous allez courir vers Lui, sans même réfléchir, ni même sentir les brûlures et blessures, même très fortes, que vous vous ferez en traversant, pour aller vers Lui.
En fait, c’est Le Seigneur qui est de l’autre coté, avec le Bonheur éternel. Si vous ne regardez que vers Lui, si vous courrez vers Lui, vous en oublierez les douleurs mêmes très fortes de cette vie, pour ne penser qu’au Bonheur éternel qui vous attend prés de Lui.
La pièce qui brûle, avec des flammes sur le sol, c’est la vie, notre vie sur terre.
Nous sommes d’un coté de la vie, et devant nous, un chemin plein d’embûches, de blessures et de souffrances.
De l’autre coté de la pièce se trouve une autre pièce où les flammes ne vont pas. C’est Dieu qui s’y trouve, avec la promesse d’un bonheur éternel, avec Lui.
Il est dans cette deuxième pièce, Il nous attends et nous appelle …. Il nous implore même de venir à Lui.
Ces appels sont notre force pour avancer.
Et plus nous avançons dans la pièce pleine de flammes, plus nous nous rapprochons de Dieu, plus les embûches et les flammes sont fortes et nous blessent.
Dans la pièce, les embûches et les flammes sont mises par le démon, qui va accroître les pièges et sa haine, plus nous nous rapprochons de Dieu.
Si pour nous Dieu (et à ce titre, l’Eglise et la religion, même notre prochain) ou n’existent pas, ou ne valent rien, ou encore valent beaucoup moins que notre vie, ou simplement des simples blessures que nous pourrions avoir, alors nous ne verrons que les obstacles et les risques, et alors nous ne traverseront pas.
Pire encore, nous risquons de faire demi-tour, pour fuir le feu et la chaleur…pour nous retrouver à l’extérieur…en Enfer, pour notre malheur éternel.
Si pour nous, Dieu compte plus que notre vie, et que nos blessures…Si en plus, c’est Notre AMOUR, Notre VIE (comme l’est notre bébé), alors nous seulement nous traverserons la pièce, en ne voyant que Lui, en suivant tout ce qu’Il nous dit, en aimant d’un cœur pur, en pardonnant, en se sacrifiant, mais nous ne sentirons pas les blessures, même très fortes, car notre Cœur ne verra que Lui.
Maintenant si notre amour et notre foi sont bien trop faible, nous ferons une toute petite partie du chemin, mais le reste nous devrons le faire au Purgatoire
Pour conclure, il ne s’agit pas d’attendre que l’église se convertisse pour se convertir, mais de se convertir pour que l’église se convertisse.
Lorsque Jésus est venu sur terre, beaucoup de responsables religieux étaient profondément corrompus, pervers, fourbes, menteurs et voleurs (mais pas tous, certains étaient profondément croyant et juste, certains sont devenus de grand Saints, comme Gamaliel, Etienne, Paul, etc. …) …. Mais Jésus n’a pas dit aux gens : « attendez que je les ai convertis, après vous pourrez vous convertir » …
Non, c’est à chacun, en conscience, dans le fond de son cœur, dans son âme, de dire au Seigneur, s’il croit en Lui, s’il croit à Son Amour, à Sa Miséricorde, à Son sacrifice sur une Croix pour nous arracher au péché et à la mort, pour laver et purifier notre âme afin de pouvoir hériter de ce qu’Il veut nous donner.
Il nous donne de recevoir en héritage Sa Divinité dans Le Paradis éternel, et de partager en Sa Présence, un Bonheur éternel tel que l’on ne peut l’imaginer sur terre.
Pas pour quelques jours, pas pour quelques dizaines d’années, pas pour quelques centaines d’années, pas pour quelques millions, milliers ou milliards d’année…mais pour l’éternité.
Alors, si pour en arriver là, nous devions souffrir sur cette terre, même toute la vie que nous y passons, même si elle dure plus de 100 ans, qu’est-ce par rapport au bonheur éternel (bonheur d’une intensité que l’on ne peut imaginer) qui nous attend … même pas l’équivalent d’un millième de seconde de souffrance, par rapport à une année d’intense Bonheur.
Par contre jouir des plaisirs de la vie sur cette terre, sans penser aux autres (que par la force des choses nous faisons souffrir), ne rechercher que le bonheur des sens sur cette terre et en perdre son âme, alors qu’est-ce que ce semblant de bonheur, cet étourdissement des réalités de le vie et de ceux qui souffrent atrocement sur cette terre, même s’il durait plus de 100 ans, par rapport aux souffrances éternelles qui nous attendent, et infiniment plus fortes que les plus atroces souffrances pouvant être vécues sur terre … même pas l’équivalent d’un millième de seconde de bonheur, par rapport à une année de souffrances atroces.
Le Seigneur a obtenu notre Rédemption à chacun, en acceptant volontairement de souffrir et de mourir sur une Croix, en prenant sur Lui, tous nos péchés … mais à nous d’accepter de nous convertir, de croire en Lui, en Son Amour, en Sa Miséricorde, au Bonheur éternel qu’Il nous promet, si nous prenons Son Chemin … le même chemin que Lui … Conversion, Amour, Miséricorde, Réparations pour nos péchés et ceux de notre prochain …. FOI, ESPERANCE et CHARITE ….Sinon Son Sacrifice devient inutile.
Et croire en Lui n’est pas une question de connaissance intellectuelle, mais à celui qui cherche profondément, du fond de son cœur et de son âme, Le Seigneur se laisse trouver et le conduit sur Son Chemin, en purifiant peu à peu son âme, en faisant grandir en lui l’Amour, La Miséricorde, et Le désir de sacrifice en réparation pour le mal que nous avons fait et pour celui fait par ceux autour de nous.
A celui qui ne veut pas le chercher, Il ne se montre pas et le laisse faire ce qu’il veut…. Jusqu’au jour du Jugement … au moment de notre mort.
Mais par nos prières, nos souffrances et nos sacrifices pour nos frères, alors Le Seigneur peut quand même intervenir en eux, et essayer de se montrer.
Jusqu’au moment de la démarche personnelle de la personne, de son repentir et de sa conversion.
EN UNION DE CŒUR, D’AMOUR FRATERNEL ET DE PRIERES.
PIERRE
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