Se préparer à la Vie éternelle...1ère Partie.

LA PAIX DU SEIGNEUR SOIT AVEC VOUS, VOTRE FAMILLE ET VOS PROCHES

SE PREPARER A LA VIE ETERNELLE…1ère Partie.


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Se préparer à la vie éternelle prend toute notre vie sur Terre. Car, comme Jésus nous le dit dans L’Evangile selon Saint Matthieu (voir ci-dessous), il faut constamment se tenir prêt, car nous ne savons ni le jour, ni l’heure…et cela peut être aussi bien dans l’instant qui suit, dans quelques mois, dans quelques années, voir dans de très nombreuses années.

Et ceci est autant valable si l’on est très jeune ou très vieux !!! Aussi bien suite à un meurtre, un accident de voiture, de bus, d’avion, de bateau, à pieds, à vélo, à moto, suite à une catastrophe naturelle et soudaine (tremblement de terre, tsunami, tornade, cyclone, volcan, etc…), suite à une maladie longue ou soudaine, à une crise cardiaque, une embolie, etc…

Tout peut arriver, à tout moment et quelque soit notre âge !!!

C’est pourquoi, j’ai toujours pensé qu’il faut toujours faire tout comme s’il nous restait de très nombreuses années à vivre…en étant toujours prêt à partir dans l’instant présent (C’est aussi pour cela qu’il ne faut jamais remettre au lendemain ce qui peut être fait le jour même, aussi bien dans notre travail que dans nos relations avec ceux que l’on aime…qu’avec notre relation avec Dieu).  

 

N’attendons pas « la dernière heure » pour nous préparer, car nous ne savons pas quand elle surviendra (et ce, quelque soit notre âge et notre état de santé).

Aussi, si nous ne l’avons déjà fait, préparons-nous dés maintenant, afin d’être prêt lorsque le moment viendra pour nous de quitter cette terre. (Matthieu 24 42-44).

« Veillez donc, parce que vous ne savez pas quel jour va venir votre Maître…Ainsi donc, vous aussi, tenez-vous prêts, car c’est à l’heure que vous ne pensez pas que Le Fils de l’Homme va venir ».

 

Pour toujours être prêt, il faut veiller en permanence (comme Jésus le dit à Maria Valtorta et que j’ai mis dans ma précédente Réflexion, cet héroïsme spirituel prend toute notre vie, du matin au soir, du soir au matin, chaque jour jusqu’à notre mort).

Extrait des Révélation de Jésus à Maria Valtorta du 11 Juin 1944 (dans les Cahiers de 1944).

Jésus dit :

Celui du saint n’est pas un acte improvisé : Il prend la vie, toute la vie.

Du matin au soir et du soir au matin, d’un mois sur l’autre, d’une année sur l’autre, qu’il fasse froid ou qu’il fasse chaud.

Cela inclut le travail, le prochain, le repos, la souffrance, les maladies, la pauvreté, les deuils comme les offenses.

C’est un collier auquel chaque minute ajoute une perle, une perle qui s’est formée à partir des larmes, de la patience, de la fatigue.


Cet héroïsme ne tombe pas du Ciel, comme une manne. C’est en vous qu’il doit naître, en vous seuls.

Le Ciel ne vous donne pas davantage qu’aux autres. Le monde, lui non plus, ne vient pas à son aide.

Il le combat plutôt et s’y oppose de mille manières.


Il est vrai que ce combat est le meilleur facteur de formation, puisque le cœur de cet héroïsme consiste à supporter le monde avec patience et à l’aimer pour la haine qu’il vous porte.

C’est autour de lui que s’unissent des cellules de patience dans la faim, la soif, le froid, le chaud, les nuits sans repos, les maladies, la pauvreté ou les deuils.

Mais le principal est toujours de supporter le monde et de l’Aimer surnaturellement.

Pour être prêt, il faut vivre en permanence (24 heures sur 24 et 7 jours sur 7) et toute sa vie, en véritable Chrétien, c’est-à-dire, en enfant de Dieu, tel que Dieu nous le demande (aussi bien par notre conscience, par La Parole de Dieu, en toute obéissance et Amour à ses demandes, à Ses Commandements et à ceux de L’Eglise).

Pour cela, il nous faut faire un examen de conscience. Pour cela, vous pouvez, si vous le désirez, reprendre l’ensemble de mes 33 précédentes Réflexions ainsi que cette 34 ème, en choisir une ou plusieurs qui vous touche particulièrement en fonction de ce que vous sur le moment et approfondir les passages où vous vous sentez concernés.

Pour vous y aider, je commencerais par survoler quelques passages de l’ensemble de ces Réflexions, puis j’aborderais une heure de méditation où Jésus révèle à Maria Valtorta des points de notre vie qui nous serons révélés dans les derniers instants de notre vie sur Terre et qui reprennent les dernières paroles de Jésus avant de mourir et enfin je terminerais en parlant de nos amis « Les âmes du Purgatoire » qui est le lieu où la plupart d’entre nous passeront de très nombreuses années, voir de très nombreux siècles pour les plus grands pécheurs que Dieu, dans son infinie Miséricorde aura sauvé, mais dans de très grandes souffrances (sans comparaison avec celles possibles sur Terre), afin d’être totalement purifiés pour pouvoir pénétrer au Royaume de Dieu, où ne pénètre que « La Pureté » et « L’Amour ».

Vous voulez découvrir ce qu’il faut faire pour être Chrétien et à quoi cela engage, voyez mes Réflexions : « n°10 : Être Fidèle à Dieu », mais aussi « n°15 : Les 10 Commandements » et « n°16 : Les Béatitudes ».

Vous vous posez des questions sur le sens de L’Eucharistie, si souvent négligée, voir oubliée et vécue très souvent sans la moindre ferveur, alors que c’est le Don suprême fait par Jésus (la seule prière que Jésus a faite apprendre aux Apôtres est le Notre Père avec cette phrase : « Donne nous notre Pain Quotidien ») où Jésus se donne quotidiennement à nous et donne à notre âme Son Corps qui est la nourriture source de Vie Eternelle, Force dans les épreuves, Remède contre nos blessures et nos infirmité, mais aussi Son Sang (versé volontairement pour notre Salut, mélangé aux Larmes de La Très Sainte Vierge Marie auquel c’est rajouté le sang et les larmes des saints martyrs), Sang qui est pour notre âme source de Purification, qui détruit les saletés et souillures que nous y laissons et fait s’élever vers Le Ciel, vers Le Trône de Dieu nos bonnes actions et nos actes d’Amour…voyez mes Réflexions : « n°1 : Qui est Jésus » « n°32 : Quelques Méditations » « n°14 : La Prière » « n°21 : Le Sacré-Cœur de Jésus »…

 

Pour se préparer à la vie éternelle, n’oublions, en effet, jamais que nous devons nous nourrir de cette nourriture que Dieu nous donne : La Parole, Le Corps et Le Sang de Jésus-Christ…et bien-sûr de tous les Sacrements que Jésus a remis entre les mains de L’Eglise, et tout particulièrement des Prêtres.

C’est cette nourriture qui viendra nourrir notre âme, la purifier, la soigner, la remplir de la présence de Dieu et comme toute nourriture, se fondre en nous et ne plus faire qu’un avec nous…Jésus devenant notre péché, et nous devenant « la sainteté de notre Dieu ».

 

Extrait de ma Réflexion n°21 : Le Sacré-Cœur de Jésus.

Communion signifie échange, partage. Maintenant, la règle du partage est la suivante : ce qui est à moi est à toi et ce qui est à toi est à moi.

Essayons d'appliquer cette règle à la communion eucharistique et nous verrons « l'énormité » de la chose.

Qu'est-ce qui est vraiment « à moi » ? La misère, le péché sont les seules choses qui m'appartiennent exclusivement.

Et que possède Jésus sinon la sainteté, la perfection et toutes les vertus ?

La communion consiste alors dans le fait que je donne à Jésus mon péché et ma pauvreté et que lui me donne sa sainteté. Le « merveilleux échange », comme le définit la liturgie, se réalise.


Pour rappeler une fois de plus l’importance de L’Eucharistie, je voudrais rappeler ce que Jésus nous dit, au travers de L’Evangile selon Saint Jean.

Jean 6 48-59)…extraits.

Alors Jésus leur dit :

En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l’Homme et ne buvez son Sang, vous n’aurez pas la vie en vous.

Qui mange ma Chair et boit mon Sang a la vie éternelle et je le ressusciterai au dernier jour. Car ma Chair est vraiment une nourriture et mon Sang vraiment une boisson. Qui mange ma Chair et boit mon Sang demeure en moi et moi en lui…

Pour rappeler une fois de plus l’importance de L’Eucharistiequi est le plus grand des miracles que Jésus fait (et qu’il continuera à faire jusqu’à la Fin du Monde), qu’il a institué lors de la Sainte Cène (le dernier repas avant Sa Passion et Sa mort qu'il a pris avec ses 12 apôtres)...

Je voudrais mettre ici ce moment que Jésus révèle à Maria Valtorta.

Et réalisons aussi que Jésus célèbre la toute première Eucharistie en présence de Judas, le traître…et par ce témoignage, apprenons à Aimer même nos ennemis et nos traîtres, ceux qui nous haïssent comme ceux qui nous trahissent.

Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta (tome 9, chapitre 19 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé…

La Cène pascale.

Jésus s'assied, il ne s'allonge pas. Il reste assis, comme nous, et il parle :

"Maintenant que l'ancien rite est accompli, je célèbre le nouveau rite. Je vous ai promis un miracle d'amour. C'est l'heure de le faire. C'est pour cela que j'ai désiré cette Pâque.

Dorénavant voilà l'Hostie qui sera consommée dans un perpétuel rite d'amour.

Je vous ai aimés pour toute la vie de la Terre, mes chers amis. Je vous ai aimés pour toute l'éternité, mes fils. Et je veux vous aimer jusqu'à la fin.

Il n'y a pas de chose plus grande que celle-là. Rappelez-vous-en. Je m'en vais, mais nous resterons unis pour toujours grâce au miracle que maintenant j'accomplis."

Jésus prend un pain encore entier, le met sur le calice rempli.

Il bénit et offre l'un et l'autre, puis il partage le pain, en fait treize morceaux et en donne un à chacun des apôtres en disant: "Prenez et mangez. Ceci est mon Corps. Faites ceci en mémoire de Moi qui m'en vais."

Il donne le calice et dit : "Prenez et buvez. Ceci est mon Sang. Ceci est le calice du nouveau pacte dans le Sang et par mon Sang qui sera répandu pour vous pour la rémission de vos péchés et pour vous donner la Vie. Faites ceci en mémoire de Moi."

Jésus est très triste. Tout sourire, toute trace de lumière, de couleur l'ont abandonné. Il a déjà un visage d'agonie. Les apôtres le regardent angoissés.     

 

Jésus se lève en disant : "Ne bougez pas. Je reviens tout de suite." Il prend le treizième morceau de pain, prend le calice et sort du Cénacle.
"Il va trouver sa Mère" murmure Jean.         

Et Jude Thaddée soupire : "Pauvre femme !"            
Pierre demande tout bas : "Crois-tu qu'elle sache ?"
"Elle sait tout. Elle a toujours tout su."          

Ils parlent tous à voix très basse comme devant un mort.     
"Mais croyez-vous que vraiment..." demande Thomas qui ne veut pas encore croire.        

"Et en doutes-tu ? C'est son heure" répond Jacques de Zébédée.     
"Que Dieu nous donne la force d'être fidèles" dit le Zélote.    
"Oh! Moi..." va dire Pierre. Mais Jean, qui est aux aguets, dit : "Chut! Le voici."       

Jésus rentre. Il a dans les mains le calice vide. Sur le fond il y a à peine une trace de vin, et sous la lumière du lampadaire elle semble vraiment du sang.

Judas Iscariote, qui a devant lui le calice, le regarde comme fasciné, et puis il détourne son regard.

Jésus l'observe et il a un frisson que ressent Jean, appuyé comme il l'est sur sa poitrine. "Mais dis-le ! Tu trembles..." s'écrie-t-il.
"Non. Je ne tremble pas de fièvre. Je vous ai tout dit et je vous ai tout donné. Je ne pouvais vous donner davantage.

C'est Moi-même que je vous ai donné."

Il a son doux geste des mains qui, d'abord jointes, se séparent maintenant et s'écartent alors qu'il baisse la tète comme pour dire : "Excusez-moi si je ne puis davantage. C'est ainsi."          

"Je vous ai tout dit, et je vous ai tout donné. Et je répète. Le nouveau rite est accompli.

Faites ceci en mémoire de Moi. Je vous ai lavé les pieds pour vous apprendre à être humbles et purs comme votre Maître.

Car je vous dis qu'en vérité les disciples doivent être comme le Maître. Souvenez-vous-en, souvenez-vous-en.

Même quand vous serez haut placés, souvenez-vous-en. Le disciple n'est pas plus que le Maître. Comme je vous ai lavés, faites-le entre vous.

C'est-à-dire aimez-vous comme des frères, en vous aidant l'un l'autre, en vous vénérant réciproquement, en étant un exemple l'un pour l'autre.

Et soyez purs. Pour être dignes de manger le Pain vivant descendu du Ciel et pour avoir en vous et par Lui la force d'être mes disciples dans un monde ennemi qui vous haïra à cause de mon Nom.

Mais l'un de vous n'est pas pur. L'un de vous me trahira. De cela, mon esprit est fortement troublé...

La main de celui qui me trahit est avec Moi sur cette table, et ni mon amour, ni mon Corps, ni mon Sang, ni ma parole ne le rappellent ni ne le font repentir.

Je lui pardonnerais en allant à la mort pour lui aussi."

 

Les disciples se regardent terrifiés. Ils se scrutent, se suspectant l'un l'autre. Pierre fixe l'Iscariote dans un réveil de tous ses doutes. Jude Thaddée se lève brusquement pour regarder à son tour l'Iscariote au-dessus de Matthieu.          

Mais l'Iscariote a tant d'assurance ! À son tour, il regarde fixement Matthieu comme s'il le suspectait, puis il fixe Jésus et sourit en demandant: "Serait-ce moi, celui-là ?"

Il paraît le plus sûr de son honnêteté et qu'il parle ainsi pour ne pas laisser tomber la conversation.        

Jésus répète son geste en disant : "Tu le dis, Judas de Simon. Ce n'est pas Moi, c'est toi qui le dis. Je ne t'ai pas nommé. Pourquoi t'accuses-tu ? Interroge ton admoniteur intérieur, ta conscience d'homme, la conscience que le Dieu Père t'a donnée pour te conduire en homme, et rends-toi compte si elle t'accuse. Tu le sauras avant tous.

Mais si elle te rassure, pourquoi dis-tu une parole et penses-tu à une chose dont il est anathème même d'en parler ou d'y penser par plaisanterie ?"

Jésus parle avec calme. Il semble qu'il soutienne la thèse proposée comme peut le faire un savant à sa classe. L'émoi est grand, mais le calme de Jésus l'apaise.        

Cependant Pierre qui soupçonne le plus Judas — peut-être le Thaddée aussi, mais il le paraît moins, désarmé comme il l'est par la désinvolture de l'Iscariote — tire Jean par la manche. Quand Jean, qui s'est tout serré contre Jésus en entendant parler de trahison, se tourne, il lui murmure: "Demande-lui qui c'est."         

Jean reprend sa position et lève seulement la tête comme pour baiser Jésus et en même temps lui murmure à l'oreille: "Maître, qui est-ce ?"
Et Jésus, très doucement, en lui rendant le baiser dans les cheveux : "Celui auquel je vais donner un morceau de pain trempé."

Et prenant un pain encore entier, pas le reste de celui qui a servi pour l'Eucharistie, en détache une grosse bouchée, la trempe dans la sauce de l'agneau dans le plateau, il allonge le bras au-dessus de la table et dit: "Prends, Judas. Tu aimes cela."            

"Merci, Maître. Oui, j'aime cela" et ne sachant pas ce qu'est cette bouchée, il la mange, alors que Jean, horrifié, va jusqu'à fermer ses yeux pour ne pas voir l'horrible rire de l'Iscariote pendant qu'il mange à belles dents le pain accusateur.

"Bon ! Va, maintenant que je t'ai fait plaisir" dit Jésus à Judas. "Tout est accompli, ici (il marque beaucoup ce mot). Ce qui reste encore à faire ailleurs, fais-le vite, Judas de Simon."        
"Je t'obéis de suite, Maître. Ensuite je te rejoindrai au Gethsémani. Tu vas là, n'est-ce pas, comme toujours ?"   
"J'y vais... comme toujours... oui."…puis Judas sort.   

 

Il y a quelques minutes de silence absolu. Jésus a la tête inclinée, en caressant machinalement les cheveux blonds de Jean.            

Puis il se secoue, lève la tête, tourne son regard, a un sourire qui réconforte les disciples. Il dit : "Quittons la table et asseyons-nous tous les uns près des autres, comme autant de fils autour de leur père."       

Ils prennent les lits-sièges qui étaient derrière la table {ceux de Jésus, Jean, Jacques, Pierre, Simon, André et du cousin Jacques) et ils les portent de l'autre côté.          

Jésus prend place sur le sien, toujours entre Jacques et Jean. Mais quand il voit qu'André va s'asseoir à la place laissée par l'Iscariote, il crie : "Non, pas là."

Un cri impulsif que son extrême prudence ne réussit pas à empêcher. Puis il se reprend en parlant ainsi : "Il n'est pas besoin de tant de place. En restant assis, on peut tenir sur eux seuls. Ils suffisent. Je vous veux très proches."…     

Ne dites pas: "Et alors si tu nous as choisis, pourquoi as-tu choisi un traître ?

Si tu connais tout, pourquoi as-tu fait cela ?" Ne vous demandez pas non plus qui est celui-là. Ce n'est pas un homme, c'est Satan.

Je l'ai dit à l'ami fidèle et je l'ai laissé dire par le fils aimé. C'est Satan.

Si Satan ne s'était pas incarné, l'éternel singe de Dieu, en une chair mortelle, ce possédé n'aurait pas pu se soustraire à mon pouvoir de Jésus.

J'ai dit : "possédé". Non. Il est beaucoup plus: il est anéanti en Satan."           

"Pourquoi, Toi qui as chassé les démons, ne l'as-tu pas délivré ?" demande Jacques d'Alphée. 
"Le demandes-tu par amour pour toi, craignant de l'être ? Ne le crains pas."
"Moi alors ?"            
"Moi ?"         
"Moi ?"         
"Taisez-vous. Je ne dis pas ce nom. J'use de miséricorde, et vous, faites la même chose."        

"Mais pourquoi ne l'as-tu pas vaincu ? Tu ne le pouvais pas ?"         
"Je le pouvais.

Mais pour empêcher Satan de s'incarner pour me tuer, j'aurais dû exterminer la race humaine avant la Rédemption. Qu'aurais-je racheté alors ?"

"Je vous donne le commandement de vous aimer et de pardonner. Avez-vous compris ?

Si dans le monde il y a aussi la haine, qu'en vous il n'y ait que l'amour. Pour tous. Combien de traîtres vous trouverez sur votre route !

Mais vous ne devez pas haïr et rendre le mal pour le mal. Autrement le Père vous haïra.

Avant vous, j'ai été haï et trahi, Moi. Et pourtant, vous le voyez, je ne hais pas. Le monde ne peut aimer ce qui n'est pas comme lui. Il ne vous aimera donc pas.

Si vous lui apparteniez il vous aimerait, mais vous n'êtes pas du monde, car je vous ai pris du milieu du monde, et c'est pour cela que vous êtes haïs.        

Je vous ai dit : le serviteur n'est pas plus que le maître. S'ils m'ont persécuté, ils vous persécuteront vous aussi. S'ils m'ont écouté, ils vous écouteront vous aussi.

Mais ils feront tout à cause de mon nom parce qu'ils ne connaissent pas, ne veulent pas connaître Celui qui m'a envoyé.

 

Pour vous préparer à la vie éternelle, vous vous posez beaucoup de questions auquel vous n’avez pas de réponses…alors cherchez les réponses dans La Parole de Dieu, posez ces questions à ceux qui vivent de Dieu et en Dieu autour de vous, cherchez à toujours plus découvrir qui est Dieu et quel est Son plan d’Amour pour vous personnellement et pour toute l’humanité, regrettez amèrement vos égarements loin de Dieu et loin de « L’Amour », nourrissez-vous du Corps et du Sang du Christ comme de Sa Parole.

Vous vous posez des questions sur ceux qui reçoivent beaucoup et sur ceux qui n’ont rien, voyez ma Réflexion n°11 : Les Dons de Dieu.

Vous vous posez des questions sur L’Amour (et sur notre réponse à L’Amour de Dieu), sur le rôle de Marie, voyez mes Réflexions n°2 : Qui est Marie, mais aussi n°13 : Exigence de L’Amour.

Vous vous posez des questions sur Le Mariage ou sur La Vie Consacrée, voyez mes Réflexions n°17a : Le Mariage à L’Eglise et 17b : Être Prêtre Catholique.

Vous vous posez la question de savoir qui est votre Prochain, sur la vie de couple, sur la famille, voyez ma Réflexion n°18 : Tu Aimeras ton Prochain.

Vous vous posez des questions sur l’homme (lorsque nous disons bêtement pour excuser nos péchés, « C’est normal, je suis un homme…je suis une femme »), est-on crée à l’image de l’animal ou pire encore, ou est-on crée à l’image de Dieu, car alors dire que « nous sommes un homme, ou une femme », cela signifie que l’on a la volonté de refuser toute tentation nous aliénant !!! Alors voyez ma Réflexion n°30 : L’Homme.

 

EN UNION DE CŒUR, D’AMOUR FRATERNEL ET DE PRIERES.                            
 

                               PIERRE

POUR LIRE LA SUITE, ALLER DANS LA DEUXIEME PARTIE.

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Date de dernière mise à jour : 05/07/2021

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