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41. La Brebis perdue (et L'Enfant Prodigue)...5ème Partie.
LA PAIX DU SEIGNEUR SOIT AVEC VOUS, VOTRE FAMILLE ET VOS PROCHES.
LA BREBIS PERDUE (et L’ENFANT PRODIGUE)…5ème Partie.
CINQUIEME ET DERNIERE PARTIE.
Nous retrouvons cette parabole dans l’Evangile (Luc 15 4-8), mais aussi dans les Révélations de Jésus à Maria Valtorta, dont j’ai déjà parlé dans une de mes précédente Réflexion.
Extrait de ma Réflexion n°13 : Exigence de L’Amour.
Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta (tome 4, chapitre 94 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé…
Jésus dit :
Jésus prend la comparaison des troupeaux qui passent. Il dit : "Votre Père est comme un berger attentif.
Que fait le bon pasteur ? Il cherche de bons pâturages pour ses brebis, où il n 'y pas de ciguë ni de plantes dangereuses, mais des trèfles agréables, des herbes aromatiques et des chicorées amères mais bonnes pour la santé.
Il cherche une place où se trouve en même temps que la nourriture, de la fraîcheur, un ruisseau aux eaux limpides, des arbres qui donnent de l'ombre, où il n'y a pas d'aspics au milieu de la verdure.
Il ne se soucie pas de trouver des pâturages plus gras parce qu'il sait qu'ils cachent facilement des serpents aux aguets et des herbes nuisibles, mais il donne la préférence aux pâturages de montagne où la rosée rend l'herbe pure et fraîche, mais que le soleil débarrasse des reptiles, là où l'on trouve un bon air que remue le vent et qui n'est pas lourd et malsain comme celui de la plaine.
Le bon pasteur observe une par une ses brebis. Il les soigne si elles sont malades, les panses si elles sont blessées.
A celle qui se rendrait malade par gloutonnerie, il élève la voix, à celle qui prendrait du mal à rester dans un endroit trop humide ou trop au soleil, il dit d'aller dans un autre endroit.
Si une est dégoûtée, il lui cherche des herbes acidulées et aromatiques capables de réveiller son appétit et les lui présente de sa main en lui parlant comme à une personne amie.
C'est ainsi que se comporte le bon Père qui est aux Cieux avec ses fils qui errent sur la terre. Son amour est la verge qui les rassemble, sa voix leur sert de guide, ses pâturages c'est sa Loi, son bercail le Ciel.
Mais voilà qu'une brebis le quitte. Combien il l'aimait ! Elle était jeune, pure, candide comme une nuée légère dans un ciel d'avril.
Le berger la regardait avec tant d'amour en pensant à tout le bien qu'il pouvait lui faire et à tout l'amour qu'il pourrait en recevoir. Et elle l'abandonne.
Le long du chemin qui borde le pâturage, un tentateur est passé. Il ne porte pas une casaque austère, mais un habit aux mille couleurs.
Il ne porte pas la ceinture de peau avec la hache et le couteau suspendus, mais une ceinture d'or d'où pendent des sonnettes au son argentin, mélodieux comme la voix du rossignol, et des ampoules d'essences enivrantes...
Il n'a pas le bourdon avec lequel le bon pasteur rassemble et défend les brebis, et si le bourdon ne suffit pas, il est prêt à les défendre avec sa hache ou son couteau et même au péril de sa vie.
Mais ce tentateur qui passe a dans les mains un encensoir tout brillant de pierres précieuses d'où s'élève une fumée qui est à la fois puanteur et parfum, qui étourdit comme éblouissent les facettes des bijoux, oh ! Combien faux ! Il va en chantant et laisse tomber des poignées d'un sel qui brille sur le chemin obscur...
Quatre-vingt-dix-neuf brebis le regardent sans bouger.
La centième, la plus jeune et la plus chère, fait un bond et disparaît derrière le tentateur. Le berger l'appelle, mais elle ne revient pas.
Elle va, plus rapide que le vent, rejoindre celui qui est passé et, pour soutenir ses forces dans sa course, elle goûte ce sel qui pénètre au dedans et la brûle d'un délire étrange qui la pousse à chercher les eaux noires et vertes dans l'obscurité des forêts.
Et, dans les forêts, à la suite du tentateur, elle s'enfonce, elle pénètre, monte et descend et elle tombe... une, deux, trois fois.
Et une, deux, trois fois, elle sent autour de son cou l'embrassement visqueux des reptiles, et assoiffée, elle boit des eaux souillées, et affamée, elle mord des herbes qui brillent d'une bave dégoûtante.
Que fait pendant ce temps le bon pasteur ? Il enferme en lieu sûr les quatre-vingt-dix-neuf brebis fidèles et puis se met en route et ne s'arrête pas jusqu'à ce qu'il trouve des traces de la brebis perdue.
Puisqu'elle ne revient pas à lui, qui confie au vent ses appels, il va vers elle. Il la voit de loin, enivrée et enlacée par les reptiles, tellement ivre qu'elle ne sent pas la nostalgie du visage qui l'aime, et elle se moque de lui.
Et il la revoit, coupable d'être entrée comme une voleuse dans la demeure d'autrui, tellement coupable qu'elle n'ose plus le regarder... Et pourtant le pasteur ne se lasse pas... et il va. Il la cherche, la cherche, la suit, la harcèle. Il pleure sur les traces de l'égarée ; lambeaux de toison ; lambeaux d'âme ; traces de sang ; délits de toutes sorte ; ordures ; témoignages de sa luxure. Il va et la rejoint.
Ah ! Je t'ai trouvée, mon aimée ! Je t'ai rejointe ! Que de chemin j'ai fait pour toi ! Pour te ramener au bercail. Ne courbe pas ton front souillé.
Ton péché est enseveli dans mon cœur. Personne, excepté moi qui t'aime, ne le connaîtra. Je te défendrai contre les critiques d'autrui, je te couvrirai de ma personne pour te servir de bouclier contre les pierres des accusateurs.
Viens. Tu es blessée ? Oh ! Montre-moi tes blessures. Je les connais, mais je veux que tu me les montre, avec la confiance que tu avais quand tu étais pure et quand tu me regardais moi, ton pasteur et ton dieu, d'un oeil innocent.
Les voilà. Elles ont toutes un nom. Oh ! Comme elles sont profondes ! Qui te les a faites si profondes ces blessures au fond du cœur ? Le Tentateur, je le sais.
C'est lui qui n'a ni bourdon ni hache mais qui blesse plus profondément avec sa morsure empoisonnée et, après lui, ce sont les faux bijoux de son encensoir, qui t'ont séduite par leur éclat... et qui étaient un soufre infernal qui se produisait à la lumière pour te brûler le cœur. Regarde combien de blessures, combien de toison déchirée, combien de sang, combien de ronces !
Oh ! Pauvre petite âme illusionnée ! Mais dis-moi : si je te pardonne, tu m'aimeras encore ? Mais dis-moi : si je te tends les bras, tu t'y jetteras ? Mais dis-moi : as-tu soif d'un amour bon ?
Et alors : viens et reviens à la vie. Reviens dans les pâturages saints. Tu pleures. Tes larmes mêlées aux miennes lavent les traces de ton péché, et Moi, pour te nourrir, puisque tu es épuisée par le mal qui t'a brûlée, je m'ouvre la poitrine, je m'ouvre les veines et je te dis : "Nourris-toi, mais vis !"
Viens que je te prenne dans mes bras. Nous irons plus rapidement aux pâturages saints et sûrs. Tu oublieras tout de cette heure de désespoir et tes quatre-vingt-dix-neuf sœurs, les bonnes, jubileront pour ton retour.
Je te le dis, ma brebis perdue, que j'ai cherchée en venant de si loin, que j'ai retrouvée, que j'ai sauvée, qu'on fait une plus grande fête parmi les bons pour une brebis perdue qui revient que pour les quatre-vingt-dix-neuf justes qui ne se sont pas éloignées du bercail."
Cette parabole de La Brebis Perdue, développée par Jésus, dans Ses Révélations à Maria Valtorta, n’est-elle pas pleine et débordante d’un Amour merveilleux, de L’Amour infini de Dieu pour chacun de nous, tous, sans exceptions.
Alors, ne nous disons jamais que nous sommes trop pourri ou trop perverti pour que Dieu puisse avoir de la compassion pour nous et puisse nous Aimer.
Non seulement Il nous Aime tous personnellement, mais Il veut nous soigner, nous guérir, nous réconforter, nous faire retrouver notre dignité de fils de Dieu et héritier de Son Royaume …alors, le voulons-nous ???
(Là où le péché a abondé, la Grâce de Dieu surabonde !!!).
Je voudrais terminer par ceci : Dieu nous rappelle Sa Loi (et c’est ce que j’ai essayé de faire au travers de cette Réflexion et des exemples mis dedans), non pour nous condamner, mais pour faire chanter en nous L’Espérance en nous reconnaissant pécheur.
Et en reconnaissant que sans Lui, nous ne sommes rien et que nous ne pouvons rien faire ...mais avec Lui, nous pouvons tout.
Il est notre Père (Il nous a crée, Il veille sur nous, Il nous donne tout ce qu’il faut pour lutter contre tous les pièges de cette vie, Il chasse le Mal qui est en nous si nous le lui demandons, Il nous laisse totalement libre de notre vie à cause de tout L’Amour qu’Il a pour nous tout en nous montrant Le Chemin qui est le seul chemin qui conduit au Bonheur éternel dans Son Royaume pour lequel nous avons été crée par Lui, comme un bon Père le ferait pour ses enfants (voir ma Réflexion n°10 : Etre Fidèle à Dieu).
Lui, Dieu, voit ce que nous ne voyons pas encore mais que nous verrons après notre dernier souffle sur cette Terre (à la fin de « la grande épreuve »), comme les parents voient le monde, alors que le fœtus ne le voit pas encore.
(Voir la fin de ma Réflexion n°12 : Le Royaume de Dieu)
En effet, certaines personnes voudront objecter que l’on ne voit pas Dieu avec ses yeux (et encore, cela ne fait référence qu’aux yeux que nous avons sur la figure, et non à ceux du cœur qui voient tellement de choses que les yeux sur la figure ne voient pas.
N’est-ce pas le cas de tous les amoureux qui voient tellement de choses en regardant « leur amour » que leurs yeux au milieu de leur figure ne voient pas !!!
Et non plus le regard spirituel qui sait voir dans les choses et les évènements le passage et la signature de Dieu…comme par exemple, en éprouvant une très grande Paix et une très grande Joie intérieure, alors que tout est catastrophe à l’extérieur.
Mais Dieu s’est même montré physiquement à tous en s’incarnant dans le sein de La Très Sainte Vierge Marie.
Sa vie sur Terre est reconnue comme vérité historique, sa vie d’une Sainteté exemplaire aussi, comme ses miracles (y compris la résurrection d’un corps putréfié comme celui de Lazare... (Et qui, à part Dieu pourrait le faire ???...Voir ma Réflexion n°29 : Le Signe de Jonas), sa crucifixion aussi…seule sa résurrection pourrait être contesté.
Mais Il s’est montré à tellement de gens, et pas seulement à des gens qui suivaient sa doctrine (regardez l’histoire de Saul qui recherchait et poursuivait chrétiens pour les faire arrêter et tuer…et qui a vu Jésus dans Sa Divinité…devenant un des plus grand apôtres sous le nom de Saint Paul !!!) qu’il est vraiment très difficile de ne pas y croire.
A partir de là, combien de ceux qui sont sceptiques, en reprenant toutes les vérités historiques, ont-ils approfondit ce que Jésus est venu nous dire sur la Terre (au travers des Evangiles, de la Bible, de ce que nous en dit L’Eglise, au travers des Evangiles révélés à Maria Valtorta, et au travers de tout ce que nous en ont dit les Saints depuis 2000 ans).
De même, comme je le disais plus haut, si pour les parents, le monde où ils vivent est bien réel, pour le fœtus dans le ventre de sa maman, le seul monde réel qu’il connaît, c’est le sien (pas celui des parents !!!)…une bulle de liquide dans laquelle il se bouge…une nourriture qui ne se voit pas, mais qui lui arrive par le cordon ombilical et nourrit son corps (avez-vous fait le rapprochement avec L’Eucharistie, dont on ne voit pas Le Corps de Jésus, mais qui est nourriture pour notre âme)…et des sons qu’il perçoit sans savoir d’où ils viennent.
Pour lui, son papa, il ne le connaît pas…sa maman, il ne la connaît pas (il ne connaît que la partie du ventre où il vit sans savoir que c’est une partie du corps de sa maman…ses frères et sœurs, sa famille, il ne les connaît pas…pensant être seul au monde, dans son monde où il vit.
Et pourtant sa maman et son papa lui parle, le caresse, jouent avec lui, comme le fait Dieu avec nous.
Et lors de sa naissance, le bébé va beaucoup souffrir pour venir au monde…et là il va découvrir sa maman, son papa, ses frères et sœurs, sa famille, d’autres bébés et les sons et bruits qu’il avait entendu dans son ancien monde…il découvre la vie sur terre.
Cela ressemble à la fin de notre vie sur Terre…beaucoup de souffrances et la naissance à un monde nouveau où l’on retrouvera Notre Père (avec Le Fils et Le Saint-Esprit), Notre Maman (La Très Sainte Vierge Marie), tous nos ancêtres, nos amis, notre famille et tous ceux qui viennent d’arriver en même temps que nous…
Mais aussi Le Royaume où nous vivrons pour L’Eternité :
Le Ciel avec Dieu pour ceux qui auront pris Le Chemin de L’Amour ou L’Enfer avec Satan pour ceux qui auront pris Le Chemin de L’Orgueil et de La Haine.
Lui, Dieu, sait quels sont les dangers que nous risquons et les conséquences pour notre vie dans l’éternité (Il voit toutes les âmes qui l’ont rejeté partir en Enfer, les âmes n’ayant eu que très peu d’amour, très peu d’honnêteté et beaucoup de rancœur partir pour de très longues souffrances au Purgatoire…et si peu d’âmes l’ayant écouté et vécu dans L’Amour partir directement au Ciel)…
Nous le verrons aussi, mais alors, il sera trop tard, et nous ne pourrons plus revenir en arrière (« Ah !!! Si j’avais su !!! »).
Alors, inlassablement, Il vient nous prévenir et nous rappeler ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut pas faire.
Alors comme de bons parents qui voient partir pour la première fois, leur enfant devenu jeune adulte, pour un très grand voyage à travers le monde, Dieu nous prodigue tous ses conseils pour ne pas courir de dangers et se faire très mal, Il nous rappelle ses lois à respecter pour ne pas se perdre pour l’éternité.
Il nous Aime tellement qu’il nous laisse libre de partir où nous voulons tout en restant constamment à coté du téléphone pour le cas où nous aurions besoins de Lui ou pour le cas où nous nous serions blessé.
Alors, Il accourt vers nous pour nous sauver, nous guérir et nous délivrer.
Dieu est le meilleur Père qu’il ne nous ait jamais été donné d’avoir.
Mais que peut faire le meilleur des pères, si ses propres enfants le rejette, refuse de l’écouter ou font, au contraire, tout ce qui est défendu (si, par exemple, votre père vous dit de ne pas jouer avec les allumettes et les bougis, car vous risquez de provoquer un incendie très grave ...et que dès qu’il a le dos tourné vous jouez avec le feu…et provoquez un incendie qui vous tue !!! Il ne peut que malheureusement pleurer votre perte).
Alors, Il prévient à nouveau ses autres enfants de ne pas jouer avec les allumettes et les bougis…mais, l’écouteront-ils ???
Dieu nous rappelle aussi que rien de ce que nous faisons n’est isolé et que tout acte (bon ou mauvais) a des répercussions que l’on ne soupçonne pas.
Extrait de ma Réflexion n°1 : Qui est Jésus.
Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta (tome 4, chapitre 100 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé)…
"Cela vaut la peine de perdre une amitié pour conquérir une âme".
Marthe dit à Jésus :
"Oui, Seigneur, oui. Mais ma Marie a été trop, trop au pouvoir du démon. Il l'a reprise tout d'un coup, il..."
Jésus répond à Marthe :
"Il se venge sur toi de la proie qu'il a perdue pour toujours. Dois-je donc voir que toi, la courageuse, tu deviens sa proie pour une frayeur folle et sans raison d'être ? Dois-je voir qu'à cause d'elle qui maintenant croit en Moi, tu perds la belle foi que je t'ai toujours connue ? Marthe ! Regarde-moi bien. Écoute-moi. N'écoute pas Satan.
Ne sais-tu pas que quand il est obligé d'abandonner sa proie par une victoire que Dieu remporte sur lui, il se met tout de suite à agir, cet inlassable bourreau des êtres, cet inlassable voleur des droits de Dieu, pour trouver d'autres proies ?
Ne sais-tu pas que ce sont les tortures d'une tierce personne, qui résiste aux assauts parce qu'elle est bonne et fidèle, qui affermissent la guérison d'un autre esprit ?
Ne sais-tu pas que rien n'est isolé de tout ce qui arrive et existe dans la création, mais que tout suit une loi éternelle de dépendances et de conséquences qui fait qu'une action de quelqu'un a des répercussions naturelles et surnaturelles très étendues ?
Le jour où nous comprendrons que tout ce que Dieu fait, c’est par Amour pour nous, que tout ce qu’Il nous demande de faire, c’est pour notre Bonheur, un Bonheur qui durera toute l’éternité (pas 100 ans, pas 1000 ans, pas 1 000 000 000 d’années…mais l’infini, sans fin), alors nous ferons avec une très grande joie, avec un très grand empressement, avec une très grande obéissance et une très grande fidélité tout ce qu’Il nous demande.
Relisez et méditez cette parole de L’Evangile dans Luc 12 22-32
Puis il dit à ses disciples : « Ne vous inquiétez pas pour votre vie de ce que vous mangerez, ni pour votre corps de quoi vous le revêtirez. Car la vie est plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement.
Considérez les corbeaux : ils ne sèment ni ne moissonnent, ils n’ont ni cellier ni grenier, et Dieu les nourrit. Combien plus valez-vous que les oiseaux !!!
...Aussi bien, cherchez Son Royaume, et cela vous sera donné par surcroît…sois sans crainte, petit troupeau, car votre Père s’est complu à vous donner Le Royaume ».
Je ne peux que frémir et pleurer de penser à tous ceux, qui pour des plaisirs malsains sur terre (pouvoir, argent, superbes villas, yachts de très grand luxe…le tout leur permettant la luxure, la débauche, la perversion autorisée et sans limite, etc…) risquent de vivre pour l’éternité dans des souffrances inimaginables…alors que s’ils avaient aimé et partagé une partie de leurs fortunes avec ceux qui en avaient besoin…ils vivraient heureux pour l’éternité.
Pour eux, et pour nous tous, qui sommes si souvent cette brebis égarée, n’ayant pas réalisé combien Dieu nous Aime et n’en faisant qu’à notre tête et selon nos envies et nos désirs, j’aimerais, en terminant, mettre un passage qui est merveilleux.
Marie-Magdeleine, la brebis perdue, enfermée dans les multiples ronces du péché et de la pourriture, non seulement a retrouvé son Berger (Jésus) qui l’a délivré, qui l’a soigné, qui l’a guérit…mais, après être passée par Le Calvaire et Le Golgotha, après avoir vécu Le Crucifiement de Jésus, après l’avoir pris dans ses bras, mort et ensanglanté (elle était avec Marie (La Mère de Jésus) et avec Jean au pieds de La Croix), elle a été la deuxième personne à qui Jésus s’est montré Ressuscité, après Sa Mère.
Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta (tome 10, chapitre 6 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé…
En relation avec la scène précédente.
Jésus dit :
Et je vais trouver la Mère. Il est bien juste que j’y aille. Cela l’a été pour mes anges. Ce doit l’être bien plus pour celle qui, en plus d’être ma gardienne et mon réconfort, a été celle qui m’a donné la vie.
Avant encore de revenir au Père dans mon vêtement d’Homme glorifié, .je vais voir ma Mère. J’y vais dans la splendeur de mon vêtement paradisiaque et de mes Gemmes vivantes. Elle peut me toucher, elle peut me baiser car elle est la Pure, la Belle, l’Aimée, la Bénie, la Sainte de Dieu.
Le nouvel Adam va à la nouvelle Ève. Le mal est entré dans le monde par la femme et c’est par la Femme qu’il a été vaincu. Le Fruit de la Femme a désintoxiqué les hommes de la bave de Lucifer.
Maintenant s’ils veulent ils peuvent être sauvés. Elle a sauvé la femme restée si fragile après la blessure mortelle.
Et après qu’à la Pure, à laquelle par droit de Sainteté et de Maternité il est juste qu’aille son Fils-Dieu, je me présente à la femme rachetée, à celle qui est le chef de file, à celle qui représente toutes les créatures féminines que je suis venu délivrer de la morsure de la luxure, pour qu’elle dise à celles qui vont vers Moi pour guérir, qu’elles aient foi en Moi, qu’elles croient en ma Miséricorde qui comprend et pardonne, que pour vaincre Satan qui fouille leurs chairs, elles regardent ma Chair ornée des cinq plaies.
Je ne me fais pas toucher par elle. Elle n’est pas la Pure qui peut toucher sans le contaminer le Fils qui revient au Père. Elle a encore beaucoup à purifier par la pénitence, mais son amour mérite cette récompense.
Elle a su ressusciter par sa volonté du tombeau de ses vices, étrangler Satan qui la possédait, défier le monde par amour pour son Sauveur, elle a su se dépouiller de tout ce qui n’est pas amour, elle a su n’être plus que l’amour qui se consume pour son Dieu.
Et Dieu l’appelle : “Marie”. Entends-la répondre: “Rabboni !” Il y a son cœur dans ce cri. C’est à elle, qui l’a mérité, que je donne la charge d’être la messagère de la Résurrection.
Et encore une fois elle sera méprisée comme si elle avait déliré.
Mais rien ne lui importe à Marie de Magdala, à Marie de Jésus, du jugement des hommes. Elle m’a vu ressuscité et cela lui donne une joie qui apaise tout autre sentiment.
Tu vois comme j’aime même celui qui a été coupable, mais a voulu sortir de la faute?
Ce n’est même pas à Jean que je me montre d’abord, mais à la Magdeleine. Jean avait déjà eu de Moi la qualité de fils.
Il le pouvait avoir car il était pur et il pouvait être le fils non seulement spirituel, mais aussi donnant et recevant ces besoins et ces soins qui concernent la chair, à la Pure et de la Pure de Dieu.
Marie-Magdeleine, la ressuscitée à la Grâce, a la première vision de la Grâce Ressuscitée.
Quand vous m’aimez jusqu’à vaincre tout pour Moi, je vous prends la tête et le cœur malades dans mes mains transpercées et je vous souffle au visage ma Puissance.
Et je vous sauve, je vous sauve, fils que j’aime. Vous redevenez beaux, sains, libres, heureux. Vous redevenez les fils aimés du Seigneur.
Je vous fais porteurs de ma Bonté parmi les pauvres hommes, les témoins de ma Bonté envers eux, pour les persuader d’Elle et de Moi.
Ayez, ayez, ayez foi en Moi. Ayez l’amour. Ne craignez pas.
Que vous rende sûrs de l’amour de votre Dieu tout ce que j’ai souffert pour vous sauver.
Ne nous moquons pas de Dieu (Rien de ce que nous faisons, vivons ou pensons ne lui est caché car il voit au plus profond de nos cœurs et de nos pensées), répondons à Son Amour par notre Amour vrai, pur et sincère (même s’il est bien faible), reconnaissons-nous pécheur et demandons Lui de nous pardonner et de nous guérir.
Et Lui, en merveilleux Père, nous tendra les bras, au Ciel, dans Son Royaume, en nous disant :
« Venez à Moi, vous qui êtes mes enfants bénis. Entrez dans La Joie de votre Père…Mon Royaume est à vous…Le veau gras a été servi…Réjouissez-vous pour l’éternité ».
EN UNION DE CŒUR, D’AMOUR FRATERNEL ET DE PRIERES.
PIERRE
Date de dernière mise à jour : 02/07/2021
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