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67. Fête de La Transfiguration de Notre Seigneur Jésus…3ème Partie.
LA PAIX DU SEIGNEUR SOIT AVEC VOUS, VOTRE FAMILLE ET VOS PROCHES.
FÊTE DE LA TRANSFIGURATION…3ème Partie.
TROISIEME PARTIE.
Et cette nourriture perpétuelle que Dieu nous offre en s’offrant Lui-même en Victime…afin que nous nourrissant quotidiennement de Lui, notre âme puisse se transformer en Lui (comme tout ce que nous mangeons influe sur notre corps, cette nourriture influe sur notre âme. Jésus devient notre péché et s’offre en Victime au Père…et nous, nous devenons Dieu avec Sa Divinité) …cette nourriture qu’en faisons-nous ???
Rappelez-vous toujours ceci : Dieu veut faire de chacun de nous (sans exception) ses Héritiers et donc Héritier du Royaume de Dieu en devenant nous-même des dieux régnant sur Son Royaume…et pour cela Le Fils, Jésus, a pris sur Lui tous nos péchés (tous les péchés des premiers hommes (Adam et Eve) jusqu’aux derniers (lors de la fin du Monde et de Son Retour en Gloire pour Le Jugement Dernier)…devenant ainsi aux yeux du Père…Péché absolu…entraînant L’Abandon du Père lors de Sa Passion et de Sa Mort.
Et cette nourriture perpétuelle que Dieu nous offre…en s’offrant Lui-même en Victime…afin que nous nourrissant quotidiennement de Lui…Dieu Père, Fils et Saint-Esprit règne en maître dans notre âme…et puisse ainsi agir sur notre conscience et dans notre esprit afin que celui-ci ne soit plus esclave de notre corps corrompu…mais soit enfin libre d’agir et d’Aimer sans esclavage qui le bloque.
Acceptons-nous de nourrir quotidiennement notre âme avec cette nourriture que Dieu nous propose, comme un bébé se précipite sur la nourriture que lui propose sa maman…ou sommes-nous devenu des adultes qui étudions tout sous toutes les coutures…et finalement ne touchant jamais à cette Divine nourriture…car nous ne voyons pas le résultat sur notre corps et dans notre esprit…oubliant que nous avons un organe éternel en nous...qui est notre âme !!!
Extrait de ma Réflexion n° 39 : Les Noces de Cana.
Mais, Le Père, sachant que notre vie sur terre serait un combat permanent entre les forces du Bien (celles de Dieu) qui nous montrent le seul chemin qui conduit au Bonheur éternel, et les forces du Mal (celle de Satan) qui nous montrent le chemin du plaisir, de la jouissance et de l’esclavage à notre chair (notre chair qui est corrompue depuis le péché originel),…Le Père donc, a demandé à Son Fils Jésus de s’offrir en s’immolant en Sacrifice pur pour notre Salut.
Et Jésus nous a fait, non seulement le Don de Sa Vie pour notre Salut, mais nous a donné Son Corps en nourriture perpétuelle et Son Sang en boisson perpétuelle pour nourrir notre âme, pour la Purifier, pour la Fortifier dans les combats et pour la Soigner dans ses blessures.
Le vin et le pain servent à tenir le coup dans les combats et à prendre des forces…alors Jésus nous les donne et les transforme en Son Corps et Son Sang pour que nous ayons Sa Force en nous lors de nos combats sur cette terre contre la mal qui nous assaille en permanence (et jusqu’au dernier souffle de notre vie, le mal ne nous laissera pas tranquille…espérant un moment de faiblesse de notre part…même au tout dernier moment).
La maman a la nourriture humaine idéale pour son bébé.
Le Père (notre Dieu) nous donne la nourriture spirituelle idéale pour nous qui sommes Ses Enfants (Son Fils Jésus en nourriture, et Marie comme Maman).
Et comme la maman dit avec Amour à son bébé : « viens sur ma poitrine boire le lait que j’ai pour toi »…
Le Père nous dit avec un Amour Infini, sans mesure avec notre amour humain si limité :« Viens sur Mon Cœur débordant d’un Amour Infini, viens prendre cette nourriture que je te donne pour ton Salut et pour que tu y puises les forces dont tu auras besoin, pour que tu puisses grandir spirituellement et guérir de tes blessures ».
Répondrons-nous avec le même Amour du bébé à sa maman, en nous précipitant sur cette nourriture qui nous est offert avec tant d’Amour.
Maintenant, j’aimerais aborder un deuxième aspect. Jésus s’est montré en tant qu’homme comme vous et moi, durant son enfance et ses trois ans de vie publique.
Pour beaucoup (et le monde est petit) il était connu comme Jésus, le fils du Charpentier de Nazareth…et même si Joseph comme Marie étaient de la descendance de David d’où devait naître Le Messie attendu…il n’était qu’un homme ordinaire comme tous les autres…car il était pauvre et n’était pas apparu descendant directement du Ciel…voir dans un palais au milieu du cœur des Anges du Ciel.
Ceux qui ne voulaient pas voir plus loin, et comparer les signes donnés dans l’ancien testament par les prophètes de tout temps…ne pouvaient croire qu’Il était celui que le peuple Juif attendait.
Ceux dont l’âme était corrompue par la Gloire de leur pouvoir et de leurs machinations, qui vivaient dans les ténèbres du péché tout en imposant aux « petites gens » des tonnes de lois leur permettant de s’enrichir toujours plus sur leur dos et d’éliminer ceux qui pouvaient faire ombrage à leurs « monopoles »…ne pouvaient supporter Celui qui était « Lumière »…et venait éclairer la noirceur de leur âme…sans pour autant qu’ils puissent Lui reprocher quoique ce soit…alors ils utilisaient la délation et tout autre superfuge contre Lui (Il fréquentait les païens, les prostitués…Il guérissait les jours de Sabat…Il chassait les démons par la puissance de Satan, Il ressuscitait des morts…qui feintaient d’être mort, etc…).
Ne dit-on pas qu’il n’y a pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir…et quelqu’un qui vit dans le noir pour que tous ses actes corrompus, ses projets inavouables, les plaisirs et envies de sa chair qui sont interdit et qu’il condamne en public, demeurent cachés aux yeux du monde…ne supporte pas qu’une personne viennent les mettre dans la pleine lumière d’un projecteur.
Alors la haine venant de leur âme satanisée veut par tous les moyens détruire L’Amour, La Pureté, La Vérité et La Lumière qui vient mettre au grand jour leurs projets fourbes et corrompus.
Seul les esprits honnêtes, les cœurs droits et purs où n’existe aucune fourberie pouvaient découvrir au travers de cet homme…Dieu venu sur terre.
J’aimerais mettre ici un commentaire suivit d’un exposé qui reprend ce que je viens de dire et qui répond à la question que beaucoup se sont posés et se posent encore maintenant.
Jésus a-t-il existé ??? Jésus était-il Le Fils de Dieu, comme le prétendent les Evangiles ???
Commentaire du jour
Saint Syméon le Nouveau Théologien (v. 949-1022), moine grec
Catéchèses, n°29 (trad. Delhougne, Les Pères commentent, p. 264 rev. ; cf SC 113, p. 165s )
Croire en Jésus aujourd'hui
Beaucoup ne cessent de dire : « Si nous avions vécu au temps des apôtres, et si nous avions été jugés dignes de voir le Christ comme eux, nous serions aussi devenus des saints comme eux ». Ils ignorent qu'il est le même, lui qui parle, maintenant comme alors, dans tout l'univers... La situation actuelle n'est sûrement pas la même que celle d'alors, mais c'est la situation d'aujourd'hui, de maintenant, qui est beaucoup plus heureuse. Elle nous conduit plus facilement à une foi et une conviction plus profondes que le fait de l'avoir vu et entendu alors physiquement.
Alors, en effet, c'était un homme qui apparaissait à ceux qui étaient sans intelligence, un homme d'humble condition ; mais maintenant c'est un Dieu qui nous est prêché, un Dieu véritable. Alors, il fréquentait physiquement les publicains et les pécheurs et mangeait avec eux ; mais maintenant il est assis à la droite de Dieu le Père, n'ayant jamais été séparé de lui en aucune manière... Alors, même les gens de rien le méprisaient en disant : « N'est-il pas le fils de Marie et de Joseph le charpentier ? » (Mc 6,3; Jn 6,42) Mais maintenant les rois et les princes l'adorent comme le Fils du vrai Dieu, et vrai Dieu lui-même... Alors, il était tenu pour un homme périssable et mortel parmi tous les autres. Lui qui est Dieu sans forme et invisible a reçu, sans altération ni changement, une forme dans un corps humain ; il s'est montré totalement homme, sans offrir au regard rien de plus que les autres hommes. Il a mangé, bu, dormi, transpiré et s'est fatigué ; il a fait tout ce que font les hommes, excepté le péché.
C'était une grande chose de reconnaître et de croire qu'un homme pareil était Dieu, celui qui a fait le ciel, la terre et tout ce qu'ils contiennent... Ainsi, celui qui actuellement écoute chaque jour Jésus proclamer et annoncer par les saints évangiles la volonté de son Père béni, sans lui obéir avec crainte et tremblement et sans garder ses commandements, n'aurait pas plus accepté alors de croire en lui.
Jésus a-t-il existé ??? Jésus était-il Le Fils de Dieu, comme le prétendent les Evangiles ???
Extrait du lien suivant : http://www.1000questions.net/fr/histo1.html
- PREMIÈRE PARTIE - JÉSUS EST-IL HISTORIQUE ?
Le témoignage de Flavius Josèphe (5) est le plus étonnant. Tellement étonnant que l’on a pensé que le texte avait été arrangé par des copistes chrétiens plus tard dans la transmission du manuscrit.
Ceci méritait d’être discuté très sérieusement, et l’a été. Flavius Josèphe avait participé à « la guerre des Juifs », entre l’année 66 et l’année 7O. Il s’agit de la grande révolte des Juifs, réprimée par Vespasien, puis celui-ci ayant été proclamé empereur, par son fils Titus. Flavius Josèphe s’était d’abord battu dans les rangs des insurgés, puis s’était rendu aux Romains et avait pris leur parti. Il a écrit en grec vers 93 une histoire très précise de ces événements. Dans cette histoire il rapporte la mise à mort de l’apôtre Jacques. Et puis il parle du Christ. Un certain nombre de critiques donc ont estimé que le passage de Flavius Josèphe était trop favorable à Jésus. Un Juif romanisé aurait-il été jusque là ? Un copiste chrétien, en recopiant le manuscrit, aurait arrangé le texte.
Cette objection est sérieuse, mais nous avons plusieurs manuscrits avec des origines différentes. Un savant Israélien, Shlomo Pères, a étudié ces différents manuscrits et il estima avoir atteint la version « minimum » de Flavius Josèphe. La voici :
« En ce temps là, vivait un sage nommé Jésus. Il se conduisait bien et était estimé pour sa vertu. Nombreux furent ceux tant Juifs que gens d’autres nations qui devinrent ses disciples. Pilate le condamna à être crucifié et à mourir. Mais ceux qui étaient devenus ses disciples ne cessèrent de suivre son enseignement. Ils racontèrent qu’il leur était apparu trois jours après sa crucifixion et qu’il était vivant. Sans doute était-il le Messie sur qui les prophètes ont racontés tant de merveilles. »
Il est possible que cette version ait elle même “ été améliorée ” par un copiste. Mais il paraît difficile d’évacuer complètement le fait que Josèphe ait situé Jésus dans l’histoire, car il fait de même pour Jean Baptiste et pour Jacques, premier “ Evêque ” de Jérusalem, dit “ le frère de Jésus ” : “ Ananus rassembla le Sanhédrin des juges et fit comparaître Jacques le frère de Jésus ainsi que quelques autres ; il les accusa d’avoir violé la loi et les livra à la lapidation ” (Antiquités Juives, XX, 9,1).
Tous ensemble, ces témoignages écrits par des gens proches des événements sont suffisants pour attester l’existence historique de Jésus, son influence et sa notoriété. Bien sûr ils sont peu explicites sur les détails. Mais que savons-nous nous de plus de tant de personnages importants de l’époque dont l’histoire a retenu les noms ? Le plus souvent, pratiquement rien.
2. - La réalité historique des Evangiles confirmée par l’archéologie.
Les Évangiles nous disent énormément de choses concrètes sur Jésus. Même s’ils n’ont pas pour but, à proprement parler, de raconter l’histoire au jour le jour et la description journalistique comme on aimerait le faire aujourd’hui. Ils sont cependant beaucoup plus précis qu’on ne l’a cru longtemps. Il se trouve qu’ils sont pleins de détails sur les villes et villages du temps, sur les façons de vivre, de parler, sur les personnages officiels. L’histoire et l’archéologie confirment que tous ces éléments sont exacts, véridiques. De plus, certains détails n’ont pas pu être inventés ou écrits tardivement parce que certaines institutions, certaines pratiques avaient changé peu de temps après la mort de Jésus, en l’an 70 notamment, l’année de la destruction de Jérusalem. 1 900 ans après les faits, on découvre que ce sont les Évangiles qui avaient raison contre ce que longtemps des historiens ont cru erroné dans certains passages de l’Évangile : ainsi, dans l’Évangile de saint Jean, réputé plus spirituel et moins précis, plus détaché des temps et des lieux, on a trouvé vingt noms de localités précises de plus que dans les trois autres évangélistes. Un certain nombre de ces localités ont pu être identifiées, alors qu’elles avaient disparu. Les historiens n’en ont retrouvé l’existence que récemment.
De même certains se sont demandés un moment si la localité de Nazareth n’avait pas été inventée par les Évangiles. Pourquoi? Parce que l’Ancien Testament et les anciens commentaires hébraïques ne parlent pas de Nazareth. Des journalistes en on fait tout un roman, en ont fait tout un roman. Mais à la vérité, en 1962 déjà, une équipe d’archéologues israéliens dirigés par le professeur Avi Jonah a trouvé dans les ruines de Césarée Maritime une plaque gravée en hébreu datant du 3e siècle après Jésus-Christ portant le nom du village de Nazareth. Il s’agit d’une liste de familles rabbiniques réfugiées dans des villes de tradition juive après la seconde destruction de Jérusalem. Quant aux fouilles opérées à Nazareth elles montrent une occupation très ancienne du site (7e siècle av. J C) mais aussi de nombreuses habitations creusées dans le roc, des silos et des tombeaux datant d’avant l’occupation romaine (1er siècle av. J C) à un niveau inférieur à une voie romaine. Nazareth était alors un petit village agricole. Toutes les théories échafaudées affirmant que les évangélistes auraient inventé la cité de Nazareth, parce que ce mot aurait une portée symbolique, tombent à l’eau.
Autre exemple. On a retrouvé à Jérusalem la « piscine aux cinq portiques », la piscine de Bethesda (7), près de la porte des Brebis, alors que les critiques pensaient que c’était une description mythique.
Quant à Pilate lui-même, le Préfet Romain qui a condamné Jésus à mort et dont on n’avait pas retrouvé trace, pendant dix huit siècles (8) des archéologues Italiens ont retrouvé, en 1961 également dans les ruines de Césarée maritime, son nom gravé sur une pierre avec sa fonction précise : « prefectus. » Ce titre du gouverneur devait changer dans la seconde moitié du 1er s. Ap. J C et devenir “ Procurateur ”, titre que Tacite donne par erreur à Pilate.
Cette vérification d’après les données archéologiques, géographiques et politiques pourrait être beaucoup développée. Nous n’avons pas la place de le faire ici, mais chacun pourra comprendre d’après les faits que nous avons exposés combien ce travail est solide. La description des lieux, des monuments, des responsables politiques et religieux, est très importante : en effet après l’année 7O et l’écrasement de la révolte juive par Titus beaucoup de ces choses disparaissent ou sont définitivement modifiées. Ceux qui ont été capables de les décrire telles qu’elles était
- DEUXIÈME PARTIE - JÉSUS EST-IL DIEU ?
Alors ? Suis-je libre de croire à un autre Dieu que Jésus-Christ ? Si vous trouvez un meilleur Dieu que Jésus-Christ, prenez-le. Quand à trouver une autre religion, voici ce qu’en disait Talleyrand. Un de ces « hommes des lumières » proposait pendant la Révolution une nouvelle religion de la raison, pour remplacer le christianisme. Et il voulait recueillir à son sujet les suffrages des députés. Au bout de cinq minutes Talleyrand l’interrompit en disant : « Nous vous croirons volontiers, monsieur, quand vous serez mort pour votre religion, et qu’après trois jours vous ressuscitiez. »
V - QUELLE IMAGE DE DIEU DONNE JESUS-CHRIST ?
C’est la continuation de la réponse à la question précédente. Beaucoup de gens ont peur de Dieu. Un jour en Sibérie, peu de temps après la fin du communisme (1992), des étudiants nous posèrent cette question : « Maintenant que nous sommes libérés des communistes, allons-nous devenir les esclaves de Dieu ? »
Lorsqu’on pose cette question à Jésus-Christ, il répond non par des paroles mais par des actes, à peu près ceci :
Le Dieu que nous sommes, mon Père et Moi, je vous le montre à Noël, quand je viens naître parmi vous. Je viens dans le monde vous rencontrer comme un enfant, et non comme un dictateur tout puissant.
Alors comprenez-vous que ce que je cherche, c’est non pas à faire pression par la force ou la crainte sur votre liberté, mais à obtenir que vous m’aimiez. Et l’on n’aime pas si ce n’est librement.
Parmi beaucoup d’autres, l’image de Dieu que nous donne Jésus-Christ, c’est celle du pardon.
Sur la croix, alors qu’il meurt, mis à mort par nous les hommes Jésus dit à son Père : « Pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font. » Et puis, sur la croix encore, au brigand, « le bon larron », qui lui dit : « Jésus, souviens-toi de moi lorsque tu viendras avec ton Royaume », Jésus répond :
« En vérité, en vérité, je te le dis, aujourd’hui tu seras avec moi dans le Paradis. » Luc ch.23 versets 39-43 |
Le Dieu qui pardonne et donne le ciel, y a-t-il un meilleur Dieu que Lui ?
VOIR AUSSI LE SITE SUIVANT :http://www.info-bible.org/histoire/jesus.htm
De nos jours, comme de tout temps, Jésus ne se montre pas en Dieu Glorieux, comme Il s’est montré aux 3 apôtres, mais Jésus se montre et agit comme un homme ordinaire en se servant des âmes de bonne volonté (comme pour la multiplication des pains dont j’ai déjà parlé dans ma Réflexion n°11 : Les Dons de Dieu), où Jésus ne fait pas apparaître « magiquement » des repas complet devant chacun de ses auditeurs…mais envoi ses apôtres (les âmes de bonne volonté) donner à manger à une foule immense avec seulement 5 pains et 2 poissons partagés dans 12 paniers…si les apôtres n’écoutent pas Jésus qui leur parle ou s’ils n’ont pas La Foi de croire qu’ils pourront nourrir toute cette foule avec si peu…et ne vont pas distribuer cette nourriture…alors personne n’aura à manger !!!
Extrait de ma Réflexion n°11 : Les Dons de Dieu.
Lors de la multiplication des pains, il y avait des milliers de personnes qui écoutaient Jésus depuis plusieurs jours, et ils n’avaient plus rien à manger.
Jésus, aurait pu leur dire : « Réjouissez-vous, rendez Gloire à Dieu, Acclamez-le par de multiples Alléluia, rentrez chez vous, car la réunion est finie … »
C’est ainsi malheureusement dans tant de groupes du renouveau !!!
Jésus aurait aussi pu faire un miracle éclatant, et faire que devant chacun, il se trouve un superbe festin à manger.
Mais, non. Jésus a fait appel à Ses Serviteurs Les Apôtres pour qu’ils aient la Foi, mais aussi pour qu’ils se remuent et fassent l’inventaire de la nourriture restante, en allant voir tout le monde dans la foule.
Je voudrais souligner ici l’acte d’offrande et de sacrifice de ces personnes, qui avaient une très grande faim qui devait les tenailler, et qui ont accepté de donner à Dieu, par l’intermédiaire des Apôtres, le peu de nourriture qu’il leur restait...
Mais ils ont donné toute la nourriture qu’ils avaient, sans en garder pour eux, et sans savoir s’ils auront à manger après.
Puis, Jésus a demandé à Ses Serviteurs Les Apôtres, d’aller avec Foi, porter à chaque personne (toute cette foule de plusieurs milliers de personnes, dont Jésus avait Compassion) la nourriture dont chacun avait besoin...et tous mangèrent à satiété...et il en resta !!!
Là aussi, Jésus a fait appel à Ses Serviteurs Les Apôtres pour qu’ils retournent une troisième fois devant ces milliers de personnes, pour ramasser ce qu’il restait.
Dieu, oui, mais Il se sert de nous, de notre amour et de nos sacrifices pour notre frère ou notre sœur, ainsi que de nos prières (l’un et l’autre se complétant et étant indispensable).
Extrait de ma Réflexion n°66 : Fête de Saint Jean-Marie Vianney.
Et Jésus ne se contente pas de nourrir les cœurs, mais Il voit aussi les corps fatigués de tous…et nourris aussi le corps de chacun…
J’ai vu des retraites où plus de 400 personnes étaient attendues dans des lieux où se trouvaient seulement un tout petit groupe de personnes responsable du centre avec un seul cuisinier (pensez à 12 apôtres pour plus de 5000 hommes, sans compter les femmes et les enfants).
Et voilà qu’un magasin décide de faire un don et leur livre, un jour avant la retraite,…plus de 100 kg de poissons (Don qui n’était ni prévu, ni demandé par les responsables…le hasard ou plutôt la Providence et la Sollicitude de Dieu étant les seuls responsables !!!).
Dans cet exemple que je viens de citer…si la responsable du centre de retraite ayant appris que 400 personnes étaient attendues…avaient tout annulé faute d’argent et de moyens…la retraite n’aurait pas eu lieu et beaucoup d’âmes ne se seraient pas converties.
Mais dans La Foi, ils ont fait confiance à Dieu…et ont reçu, la veille, un don de 100 kg de poissons (entre autre).
Comme je l’ai dit dans ma Réflexion n°42 : Notre Regard, si nous nous contentons de regarder avec nos yeux qui sont sur notre figure, beaucoup de choses nous paraissent invisible (c’est comme cela que deux sous-marins de 150m chacun rentrent en collision !!!) et beaucoup de choses ne sont que des illusions d’optique (soit que l’on voit des choses qui n’existent pas, soit que l’on ne voit pas des choses qui existent).
Mais si l’on apprend à exercer les yeux de notre cœur et de notre âme, alors comme quelqu’un qui sortant d’une zone en pleine lumière et se retrouvant instantanément au milieu de la nuit, ne voit, dans un premier temps, rien du tout…mais peu à peu, commence à voir quelques gros objets qui font masse, puis des choses de plus en plus petites…puis l’œil de plus en plus exercé à voir dans la pénombre de la nuit commence à découvrir plein de choses.
Ainsi, si nous exerçons notre vision spirituelle, nous commençons à voir Dieu agissant dans notre vie au travers de nombreux évènements que d’autre appelleront « le hasard qui fait bien les choses », mais dont nous, nous commencerons à percevoir des réponses à nos questions (voir ma Réflexion : Fête de Saint Thomas).
Ainsi, pour donner un exemple insignifiant me concernant, mais qui montre la sollicitude de Dieu…sans acte « magique »…alors que tous les matins (à 5 heure) je quitte à pieds ma maison pour monter participer à L’Eucharistie dans la chapelle d’un monastère Clarisse (cela me prends environ 45 mn où j’en profite pour prier à toutes les intentions qui sont dans mon cœur…et au retour pour dire un chapelet)…ce matin là, il devait me rester 10mn de marche, lorsque le Prêtre venant célébrer a arrêté sa voiture à côté de moi, pour finir de me monter.
Quelques instants plus tard, il tombait une grosse pluie.
Je n’ai pu m’empêcher de faire remarquer à ce prêtre la bienveillance de Dieu à mon égard, m’empêchant d’arriver complètement trempé à la chapelle (et de rester ainsi trempé durant la messe et jusqu’à mon retour à la maison)…et de rendre Grâce à Dieu pour Sa Sollicitude !!!
Mais combien n’y verrait que « le hasard »…sauf qu’il se produit vraiment souvent…pour ne pas dire continuellement.
Extrait de ma Réflexion n° 25 : Savoir dire Merci.
J’aimerais reprendre un texte de Jésus donné à Maria Valtorta.
Extrait des Révélation de Jésus à Maria Valtorta du 21 Novembre 1943 (dans les Cahiers de 1943).
Jésus dit :
Vous qui recouvrez la santé après une maladie mortelle, vous ne pensez, quand vous y pensez, qu’à me remercier de votre santé physique recouvrée.
Vous ne songez pas au fait que Je vous ai envoyé cette épreuve pour vous faire réfléchir à la fin qui vous attend, au-delà de laquelle il y a un commencement, tout comme le soleil qui se couche le soir indique le recommencement du cycle qui va ramener une nouvelle aurore.
Mais votre aurore dans l’au-delà ne marque pas le début d’une journée de quelques heures. C’est le début d’un jour éternel.
C’est à cela que veut vous faire réfléchir la maladie et c’est vers ce but que vous devriez diriger la santé recouvrée. A fournir une journée de Paix à ce qui ne meurt pas.
Si vous saviez réfléchir à cela, combien de proies perdraient l’enfer !
Mais d’habitude, vous faites un mauvais usage de la santé que Je vous accorde et des années que J’ajoute à votre existence à cette fin.
Dans la maladie, vous vous impatientez, vous vous découragez, souvent vous cessez de prier en vous disant : Il est inutile que je le fasse. De toute façon, c’est Dieu qui me l’a envoyée, et à quoi cela sert de Lui demander de me l’enlever ?
Une fois que vous êtes guéris, vous n’avez pas une pensée pour Celui qui vous a rendu la santé.
Avec votre inconséquence et votre ingratitude irrespectueuse, vous tenez Dieu responsable de vous envoyer les maladies, mais vous ne lui attribuez pas le mérite de vous les enlever.
Si vous pensez que c’est Lui qui envoie le mal, pourquoi ne pensez-vous pas qu’Il doit bien vous envoyer le bien ?
En fait, c’est le contraire, mes enfants.
Le mal, quel qu’il soit, émane à 99% de vous-même et le bien a une source unique : Dieu.
Dieu qui inspire et éclaire celui qui vous soigne, Dieu qui allonge vos journées pour donner aux médicaments le temps d’agir et augmente votre résistance pour donner au corps la possibilité de réagir, Dieu qui par un acte de volonté instantanée peut vous faire vous lever, guérir contre toute espérance et indépendamment de tout autre secours, pour une raison impénétrable.
Mais avant de vous réjouir d’être guéris, vous devriez vous réjouir de la possibilité que Dieu vous accorde de réparer les erreurs d’avant la maladie et de travailler à mériter la vie qui ne meurt pas.
Moi, J’agis pour délivrer votre âme de la perdition et J’efface vos péchés de Mon Amour, toujours espérant en vous. Et vous…que faites-vous ?
Rendez l’Amour pour l’Amour que vous recevez et devenez « vivants ».
Etre vivant ne veut pas dire être de ce monde, cela veut dire être dans Le Seigneur.
Cela veut dire posséder La Grâce et avoir droit au Ciel.
Celui qui respire, mange et dort avec une âme morte n’est pas vivant. Il est une dépouille déjà putrescente sur le point de tomber, telle une figue pourrie sur la branche, dans la fosse dont le fond est l’enfer.
Est vivant celui qui possède « La Vie », même s’il agonise dans la chair, même que, au fur et à mesure que diminue la vitalité d’ici, « La Vraie Vie » s’approche et grandit en lui.
Est vivant celui qui, au moment d’expirer, arpège déjà les louanges qu’il chantera éternellement au Seigneur et, pendant que les ténèbres descendent sur ses pupilles, il voit de plus en plus clairement, avec les yeux de L’Esprit, Le Visage du Père.
Est vivant celui qui, après avoir été guéri d’une maladie humaine, se sent racheté par Son Seigneur et Lui consacre tous ses mouvements.
Est vivant celui qui connaît La Vérité et qui, par-dessus toutes les joies et toutes les richesses humaines, veut cette joie et cette richesse : La Vérité.
Et tout au long de ses jours, il se consacre à en obtenir la possession, car le fait de la connaître lui a donné soif de la conquérir. »
EN UNION DE CŒUR, D’AMOUR FRATERNEL ET DE PRIERES.
PIERRE
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Sous-pages :
- 67. Fête de la Transfiguration (a).
- 67. Fête de la Transfiguration (b).
- 67. Fête de la Transfiguration (c).
- 67. Fête de la Transfiguration (d).
Date de dernière mise à jour : 02/07/2021
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