Eucharistie du Mercredi 19 Janvier 2022 : Mercredi de la 2ème semaine du Temps Ordinaire (Année paire).
Fête de Saint Joseph-Sébastien Pelczar, Évêque en Pologne, Fondateur de la Congrégation des Servantes du Sacré-Cœur de Jésus (✝ 1924).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Premier livre de Samuel 17,32-33.37.40-51… Psaume 144(143),1.2.9-10… Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 3,1-6.
Commentaire de Sainte Gertrude d'Helfta (1256-1301), Moniale Bénédictine.
Autre commentaire de Saint Hilaire (v. 315-367), Évêque de Poitiers et Docteur de l'Église.
Autre commentaire de Frère Élie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Joaquim MESEGUER García (Sant Quirze del Vallès, Barcelona, Espagne).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Mercredi 19 Janvier 2022 : Fête de Saint Joseph-Sébastien Pelczar, Évêque en Pologne, Fondateur de la Congrégation des Servantes du Sacré-Cœur de Jésus (✝ 1924).
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Saint Joseph-Sébastien Pelczar.
Les Saints du 19 Janvier.
http://reflexionchretienne.e-monsite.com/pages/vie-des-saints/janvier/saints-saintes-et-fetes-du-jour-23.html
LITURGIE DE LA PAROLE.
Premier livre de Samuel 17,32-33.37.40-51.
En ces jours-là, David dit à Saül : « Que personne ne perde courage à cause de ce Philistin. Moi, ton serviteur, j’irai me battre avec lui. »
Saül répondit à David : « Tu ne peux pas marcher contre ce Philistin pour lutter avec lui, car tu n’es qu’un enfant, et lui, c’est un homme de guerre depuis sa jeunesse. »
David insista : « Le Seigneur, qui m’a délivré des griffes du lion et de l’ours, me délivrera des mains de ce Philistin. » Alors Saül lui dit : « Va, et que le Seigneur soit avec toi ! »
David prit en main son bâton, il se choisit dans le torrent cinq cailloux bien lisses et les mit dans son sac de berger, dans une poche ; puis, la fronde à la main, il s’avança vers le Philistin.
Le Philistin se mit en marche et, précédé de son porte-bouclier, approcha de David.
Lorsqu’il le vit, il le regarda avec mépris car c’était un jeune garçon ; il était roux et de belle apparence.
Le Philistin lui dit : « Suis-je donc un chien, pour que tu viennes contre moi avec un bâton ? » Puis il le maudit en invoquant ses dieux.
Il dit à David : « Viens vers moi, que je te donne en pâture aux oiseaux du ciel et aux bêtes sauvages ! »
David lui répondit : « Tu viens contre moi avec épée, lance et javelot, mais moi, je viens contre toi avec le nom du Seigneur des armées, le Dieu des troupes d’Israël que tu as défié.
Aujourd’hui le Seigneur va te livrer entre mes mains, je vais t’abattre, te trancher la tête, donner aujourd’hui même les cadavres de l’armée philistine aux oiseaux du ciel et aux bêtes de la terre. Toute la terre saura qu’il y a un Dieu pour Israël,
et tous ces gens rassemblés sauront que le Seigneur ne donne la victoire ni par l’épée ni par la lance, mais que le Seigneur est maître du combat, et qu’il vous livre entre nos mains. »
Goliath s’était dressé, s’était mis en marche et s’approchait à la rencontre de David. Celui-ci s’élança et courut vers les lignes des ennemis à la rencontre du Philistin.
Il plongea la main dans son sac, et en retira un caillou qu’il lança avec sa fronde. Il atteignit le Philistin au front, le caillou s’y enfonça, et Goliath tomba face contre terre.
Ainsi David triompha du Philistin avec une fronde et un caillou : quand il frappa le Philistin et le mit à mort, il n’avait pas d’épée à la main.
Mais David courut ; arrivé près du Philistin, il lui prit son épée, qu’il tira du fourreau, et le tua en lui coupant la tête. Quand les Philistins virent que leur héros était mort, ils prirent la fuite.
Psaume 144(143),1.2.9-10.
Béni soit le Seigneur, mon rocher !
Il exerce mes mains pour le combat,
il m'entraîne à la bataille.
Il est mon allié, ma forteresse,
ma citadelle, celui qui me libère ;
il est le bouclier qui m'abrite,
il me donne pouvoir sur mon peuple.
Pour toi, je chanterai un chant nouveau,
pour toi, je jouerai sur la harpe à dix cordes,
pour toi qui donnes aux rois la victoire
et sauves de l'épée meurtrière David, ton serviteur.
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 3,1-6.
En ce temps-là, Jésus entra de nouveau dans la synagogue ; il y avait là un homme dont la main était atrophiée.
On observait Jésus pour voir s’il le guérirait le jour du sabbat. C’était afin de pouvoir l’accuser.
Il dit à l’homme qui avait la main atrophiée : « Lève-toi, viens au milieu. »
Et s’adressant aux autres : « Est-il permis, le jour du sabbat, de faire le bien ou de faire le mal ? de sauver une vie ou de tuer ? » Mais eux se taisaient.
Alors, promenant sur eux un regard de colère, navré de l’endurcissement de leurs cœurs, il dit à l’homme : « Étends la main. » Il l’étendit, et sa main redevint normale.
Une fois sortis, les pharisiens se réunirent en conseil avec les partisans d’Hérode contre Jésus, pour voir comment le faire périr.
Commentaire du jour.
Sainte Gertrude d'Helfta (1256-1301), Moniale Bénédictine.
Les Exercices, n° 7, Tierce ; SC 127 (trad. SC p. 269 rev.)
« On observait Jésus...pour l'accuser »
À l'heure de la prière, mets-toi en présence de la Paix et de l'Amour... : ô paix de Dieu qui surpasse tout sentiment (Ph 4,7), plaisante et agréable, douce et préférable à tout, partout où tu pénètres règne une sécurité imperturbable.
Toi seule as le pouvoir de mettre un frein à la colère du souverain ; tu ornes le trône du roi par la clémence ; tu illumines le royaume de la gloire par la pitié et la miséricorde.
De grâce, prend en main ma cause, à moi le coupable et l'indigent... Voici que déjà le créancier se tient à la porte... il n'est pas prudent pour moi de lui parler, puisque je n'ai pas de quoi payer ma dette.
Très doux Jésus, ma paix, combien de temps garderas-tu le silence ?...
De grâce, maintenant du moins parle pour moi, disant ce mot charitable : « Moi, je la rachèterai ».
Toi, tu es assurément le refuge de tous les pauvres. Tu ne passes auprès de personne sans lui donner le Salut.
Toi, jamais tu n'as laissé partir celui qui s'était réfugié près de Toi, sans qu'il soit réconcilié...
De grâce, mon Amour, Mon Jésus, à cette heure de la journée tu as été flagellé pour moi, couronné d'épines, abreuvé pitoyablement de souffrances.
Tu es mon vrai roi, hors de Toi je ne connais personne. Tu t'es fait l'opprobre des hommes, abject et repoussant comme un lépreux (Is 53,3) jusqu'à ce que la Judée refuse de te reconnaître comme son roi (Jn 19,14-15).
Par ta grâce, que moi au moins je te reconnaisse comme mon roi ! Mon Dieu, donne-moi cet innocent, si tendrement aimé, Mon Jésus, qui pour moi « a payé » si pleinement « ce qu'il n'avait pas dérobé » (Ps 68,5) ; donne-le-moi pour être l'appui de mon âme.
Que je le reçoive dans mon cœur ; que par l'amertume de ses douleurs et de sa Passion il réconforte mon esprit...
Commentaire du jour.
Saint Hilaire (v. 315-367), Évêque de Poitiers et Docteur de l'Église.
Traité sur le psaume 91, 3,4-5,7 ; PL 9, 495-498 (trad. Orval)
« Est-il permis, le jour du sabbat, de faire le bien...? de sauver une vie ? »
Dieu est-t-il à l'œuvre, travaille-t-il, le jour du sabbat ? Certes oui, car autrement le Ciel disparaîtrait, la lumière du soleil s'éteindrait, la Terre perdrait consistance, tous les fruits manqueraient de sève et la vie des hommes périrait si, à cause du sabbat, la force constitutive de l'univers cessait d'agir.
Mais en fait, il n'y a aucune trêve ; aussi bien pendant le sabbat que durant les six autres jours, les éléments de l'univers continuent à remplir leur fonction.
À travers eux Le Père œuvre donc en tous temps, mais il agit dans Le Fils qui est né de Lui et par qui tout cela est son œuvre...
Par Le Fils, l'action du Père se poursuit donc le jour du sabbat. Et par conséquent il n'y a pas de repos en Dieu, puisque aucun jour ne voit cesser l'œuvre de Dieu.
Ainsi en est-il de l'action de Dieu. Mais en quoi consiste son repos ? L'œuvre de Dieu, c'est l'œuvre du Christ.
Et le repos de Dieu, c'est Dieu, Le Christ, car tout ce qui appartient à Dieu est véritablement dans Le Christ à tel point que Le Père peut s'en reposer sur Lui.
Autre commentaire du jour.
Frère Élie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
On observait Jésus pour voir s’il le guérirait le jour du sabbat. C’était afin de pouvoir l’accuser.
« Un jour, Jésus entra dans une synagogue ; il y avait là un homme dont la main était paralysée. » Nos yeux sont de suite focalisés sur la personne de Jésus et sur celle ce cet homme à la main paralysée.
L’absence de repères, tant au niveau temporel que géographique, joue en faveur de l’accroissement de notre attention portée sur ces deux personnages.
Nous attendons presque avec anxiété ce qui va se passer. Quelles paroles vont être prononcées ? Quels gestes vont être accomplis ?
La mention de Marc : « On observait Jésus pour voir s’il le guérirait le jour du sabbat ; on pourrait ainsi l’accuser » ne fait que renforcer cet effet narratif.
On imagine fort bien le regard des pharisiens sur Jésus et sur cet homme, pesants, prêts à saisir la moindre occasion de faire chuter le Seigneur. Le silence de cette scène devient lourd. L’atmosphère est tendue. Que va-t-il se passer ?
C’est alors que Jésus, qui a bien perçu le piège, vient par sa Parole trancher ce silence pour objectiver la situation et dévoiler les intentions cachées de ces hommes de la Loi. « Viens te mettre là devant », dit-il à l’homme et s’adressant aux pharisiens : « Est-il permis, le jour du sabbat, de faire le bien, ou de faire le mal ? De sauver une vie, ou de tuer ? »
Jésus ne veut pas ici rentrer dans un jeu de casuiste avec ses détracteurs. Il désire seulement les remettre dans la perspective de la véritable finalité de l’application de la Loi : « faire le bien ».
Mais eux sont tellement occupés à se demander s’ils peuvent ou non poser telle action, si elle rentre dans les cases des possibles de la Loi, qu’ils en oublient cet homme devant eux privé de sa dignité car paralysé de cette main qui ne lui permet plus de travailler et de gagner sa vie., qu’ils en oublient le commandement premier de la charité.
Ils ne se rendent même plus compte de la contradiction qui les habite. Ils n’approuvent pas la guérison de cet homme un jour de sabbat et ils n’ont pourtant aucun scrupule, un jour de sabbat, à décider la mort d’une personne innocente, du Sauveur, Dieu Lui-même.
Guérir et faire vivre est un délit qui mérite la mort, faire mourir est une œuvre bonne qui rend gloire à Dieu. Étrange logique, étrange morale : « morale » de la haine qui s’oppose à celle de l’Amour.
Ces pharisiens en étaient arrivés à faire de Dieu l’ennemi de l’homme : le comble de l’œuvre diabolique (Cf. Gn 3 et Jn 8, 44).
Mais ne nous faisons pas trop vite les accusateurs de ces hommes. Il est à noter que Saint Marc ne les désignent à aucun moment de façon déterminée dans notre péricope.
Certes, vu le contexte qui précède ce passage, nous pouvons supposer à juste titre qu’il s’agit des pharisiens mais il n’en demeure pas moins que Marc les désigne par le pronom indéterminé « on ».
Serait-ce pour que nous nous sentions nous aussi interpelés, provoqués, par les paroles et la guérison opérée par Jésus ?
« Seigneur Jésus, fais-nous la grâce de venir débusquer en nous toutes les logiques de mort qui sont installées et que nous cachons si bien parfois derrière une vie religieuse qui n’est en fait que religiosité.
Seigneur, tu nous veux libres, libres d’aimer, libres de vivre de la vraie Vie. Viens opérer en nous ton œuvre de libération.
Que nous puissions avec l’aide de ta Grâce choisir la Vie pour notre plus grande Joie, la nôtre, la tienne et celle de nos frères en humanité ».
Frère Élie.
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_21
Abbé Joaquim MESEGUER García (Sant Quirze del Vallès, Barcelona, Espagne).
«Est-il permis, le jour du sabbat, de faire le bien, ou de faire le mal? de sauver une vie, ou de tuer?»
Aujourd'hui, Jésus nous enseigne qu'il faut faire le bien en tout temps: il n'y a pas un temps pour faire le bien et un autre pour négliger l'Amour du prochain.
L'Amour qui vient de Dieu nous conduit à la Loi suprême, que Jésus nous a laissée dans le Commandement nouveau: «Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimé» (Jn 13,34). Jésus ne déroge pas à la Loi de Moïse, Il ne la critique pas, puisque Lui-même accomplit ses préceptes et se rend à la synagogue le sabbat; ce que Jésus critique, c'est l'interprétation étroite de la Loi qu'en ont fait les docteurs et les pharisiens, une interprétation qui laisse peu de place à la Miséricorde.
Jésus-Christ est venu proclamer l'Évangile du Salut, mais ses adversaires, loin de se laisser convaincre, cherchent des prétextes contre Lui: «Il y avait là un homme dont la main était paralysée. On observait Jésus pour voir s'il le guérirait le jour du sabbat; on pourrait ainsi l'accuser» (Mc 3,1-2).
Nous pouvons voir l'action de la grâce et, simultanément, constater la dureté de cœur d'hommes orgueilleux qui croient détenir la vérité.
Les pharisiens furent-ils contents de voir ce pauvre homme récupérer la santé? Non, tout au contraire, ils s'aveuglèrent encore davantage, au point d'aller pactiser avec les hérodiens -leurs ennemis naturels- pour voir comment perdre Jésus. Curieuse alliance!
Par son action, Jésus libère aussi le sabbat des entraves posées par les docteurs de la Loi et les pharisiens, et lui restitue son sens véritable: jour de communion entre Dieu et l'homme, jour de libération de l'esclavage, jour de la délivrance des forces du mal.
Saint Augustin nous dit: «Celui qui a la conscience en paix est tranquille, et cette tranquillité est le sabbat du cœur».
En Jésus-Christ, le sabbat s'ouvre déjà au don du Dimanche.
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
https://jesusaujourdhui.mariedenazareth.com/2022-01-19/est-il-permis-le-jour-du-sabbat-de-sauver-une-vie
HYMNE : DIEU QUE NUL ŒIL DE CRÉATURE
Dieu que nul œil de créature
N'a jamais vu,
Nulle pensée jamais conçu,
Nulle parole ne peut dire,
C'est notre nuit qui t'a reçu :
Fais que son voile se déchire.
Fais que tressaille son silence
Sous ton Esprit ;
Dieu, fais en nous ce que tu dis,
Et les aveugles de naissance
Verront enfin le jour promis
Depuis la mort de ta semence.
Tu n'as pas dit que l'homme croisse
Vers son néant,
Mais tu as fait, en descendant,
Qu'il ne se heurte à son impasse :
Tu as frayé le beau tournant,
Où tout au monde n'est que grâce.
Dans le secret, tu nous prépares,
Ce qui pourra
Tenir ton jour quand tu viendras ;
C'est là, dans l'ombre de ta gloire.
Que ta clarté filtre déjà,
Et nous entrons dans ton histoire.
Sème les mots qui donnent vie,
Nous te dirons ;
Regarde-nous et nous verrons ;
Entends Jésus qui te supplie.
Au dernier pas de création,
Viens faire l'homme eucharistie!
HYMNE : TEL UN BROUILLARD QUI SE DÉCHIRE
Tel un brouillard qui se déchire
Et laisse émerger une cime,
Ce jour nous découvre, indicible,
Un autre jour, que l’on devine.
Tout rayonnant d’une promesse,
Déjà ce matin nous entraîne,
Figure de l’aube éternelle,
Sur notre route quotidienne.
Vienne l’Esprit pour nous apprendre
À voir dans ce jour qui s’avance
L’espace où mûrit notre attente
Du jour de Dieu, notre espérance.
HYMNE : OUVRE MES YEUX, SEIGNEUR
Ouvre mes yeux, Seigneur,
Aux merveilles de ton amour.
Je suis l’aveugle sur le chemin ;
Guéris-moi, je veux te voir.
Ouvre mes mains, Seigneur,
Qui se ferment pour tout garder.
Le pauvre a faim devant ma maison ;
Apprends-moi à partager.
Fais que je marche, Seigneur,
Aussi dur que soit le chemin.
Je veux te suivre jusqu’à la croix ;
Viens me prendre par la main.
Fais que j’entende, Seigneur,
Tous mes frères qui crient vers moi.
À leur souffrance et à leurs appels,
Que mon cœur ne soit pas sourd !
Garde ma foi, Seigneur :
Tant de voix proclament ta mort !
Quand vient le soir, et le poids du jour,
Ô Seigneur, reste avec moi.
Oraison du matin (Office des Laudes).
Tu as voulu, Seigneur, que la puissance de l’Évangile travaille le monde à la manière d’un ferment ; veille sur tous ceux qui ont à répondre à leur vocation Chrétienne au milieu des occupations de ce monde : qu’ils cherchent toujours L’Esprit du Christ, pour qu’en accomplissant leurs tâches d’hommes, ils travaillent à l’avènement de ton Règne.
Parole de Dieu : (Rm 8, 35.37)… (Office des Laudes).
Qui pourra nous séparer de l’Amour du Christ ? La détresse ? L’angoisse ? La persécution ? La faim ? Le dénuement ? Le danger ? Le supplice ?
En tout cela nous sommes les grands vainqueurs grâce à celui qui nous a aimés.
Parole de Dieu : (1 P 5, 5b-7)… (Office des Vêpres).
Revêtez-vous tous d’humilité dans vos rapports les uns avec les autres. En effet Dieu s’oppose aux orgueilleux, aux humbles il accorde sa grâce.
Tenez-vous donc humblement sous la main puissante de Dieu pour qu’il vous élève quand le Jugement viendra.
Déchargez-vous sur Lui de tous vos soucis puisqu’il s’occupe de vous.