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Eucharistie du Dimanche 04 Février 2018 : Cinquième Dimanche du Temps Ordinaire (Année B).
Eucharistie du Dimanche 04 Février 2018 : Cinquième Dimanche du Temps Ordinaire (Année B).
Fête de Sainte Véronique, femme ayant essuyé le visage du Christ montant au Golgotha (1er s.).
Fête de Sainte Jeanne de Valois, reine et Fondatrice de l’Ordre des Annonciades († 1505).
Fête de Saint Raban Maur, Abbé de Fulda et Archevêque de Mayence (? 856).
Fête du Bienheureux Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus (Henri Grialou), Prêtre et Fondateur de l'Institut séculier Carmélitain Notre-Dame de Vie (1894-1967).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, 2ème lecture, Évangile) :
Livre de Job 7,1-4.6-7… Psaume 147(146),1.3.4-5.6-7… Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 9,16-19.22-23… Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 1,29-39.
Commentaire de Saint Bernard (1091-1153), Moine Cistercien et Docteur de l'Église.
Autre commentaire de Saint Augustin (354-430), Évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et Docteur de l'Église.
Autre commentaire de Frère Jean-Christian Lévêque o.c.d. (Carmel).
Autres commentaires de l’Abbé Francesc CATARINEU i Vilageliu (Sabadell, Barcelona, Espagne).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Dimanche 04 Février 2018 : Fête de Sainte Véronique, femme ayant essuyé le visage du Christ montant au Golgotha (1er s.).
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Sainte Véronique, femme ayant essuyé le visage du Christ.
Dimanche 04 Février 2018 : Fête de Sainte Jeanne de Valois, reine et Fondatrice de l’Ordre des Annonciades († 1505).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Sainte Jeanne de Valois.
Dimanche 04 Février 2018 : Fête de Saint Raban Maur, Abbé de Fulda et Archevêque de Mayence (? 856).
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Saint Raban Maur.
Dimanche 04 Février 2018 : Fête du Bienheureux Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus (Henri Grialou), Prêtre et Fondateur de l'Institut séculier Carmélitain Notre-Dame de Vie (1894-1967).
Il a été Béatifié le 19 Novembre 2016 et sa Fête Liturgique fixée au 04 Février, jour de son Ordination.
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Bienheureux Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus, Prêtre et Fondateur.
LITURGIE DE LA PAROLE.
Livre de Job 7,1-4.6-7.
Job prit la parole et dit : Vraiment, la vie de l’homme sur la terre est une corvée, il fait des journées de manœuvre.
Comme l’esclave qui désire un peu d’ombre, comme le manœuvre qui attend sa paye,
depuis des mois je n’ai en partage que le néant, je ne compte que des nuits de souffrance.
À peine couché, je me dis : “Quand pourrai-je me lever ?” Le soir n’en finit pas : je suis envahi de cauchemars jusqu’à l’aube.
Mes jours sont plus rapides que la navette du tisserand, ils s’achèvent faute de fil.
Souviens-toi, Seigneur : ma vie n’est qu’un souffle, mes yeux ne verront plus le bonheur.
Psaume 147(146),1.3.4-5.6-7.
Il est bon de fêter notre Dieu,
il est beau de chanter sa louange !
il guérit les cœurs brisés
et soigne leurs blessures.
Il compte le nombre des étoiles,
il donne à chacune un nom ;
il est grand, il est fort, notre Maître :
nul n'a mesuré son intelligence.
Le Seigneur élève les humbles
et rabaisse jusqu'à terre les impies.
Entonnez pour le Seigneur l'action de grâce,
jouez pour notre Dieu sur la cithare !
Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 9,16-19.22-23.
Frères, annoncer l’Évangile, ce n’est pas là pour moi un motif de fierté, c’est une nécessité qui s’impose à moi. Malheur à moi si je n’annonçais pas l’Évangile !
Certes, si je le fais de moi-même, je mérite une récompense. Mais je ne le fais pas de moi-même, c’est une mission qui m’est confiée.
Alors quel est mon mérite ? C’est d’annoncer l’Évangile sans rechercher aucun avantage matériel, et sans faire valoir mes droits de prédicateur de l’Évangile.
Oui, libre à l’égard de tous, je me suis fait l’esclave de tous afin d’en gagner le plus grand nombre possible.
Avec les faibles, j’ai été faible, pour gagner les faibles. Je me suis fait tout à tous pour en sauver à tout prix quelques-uns.
Et tout cela, je le fais à cause de l’Évangile, pour y avoir part, moi aussi.
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 1,29-39.
En ce temps-là, aussitôt sortis de la synagogue de Capharnaüm, Jésus et ses disciples allèrent, avec Jacques et Jean, dans la maison de Simon et d’André.
Or, la belle-mère de Simon était au lit, elle avait de la fièvre. Aussitôt, on parla à Jésus de la malade.
Jésus s’approcha, la saisit par la main et la fit lever. La fièvre la quitta, et elle les servait.
Le soir venu, après le coucher du soleil, on lui amenait tous ceux qui étaient atteints d’un mal ou possédés par des démons.
La ville entière se pressait à la porte.
Il guérit beaucoup de gens atteints de toutes sortes de maladies, et il expulsa beaucoup de démons ; il empêchait les démons de parler, parce qu’ils savaient, eux, qui il était.
Le lendemain, Jésus se leva, bien avant l’aube. Il sortit et se rendit dans un endroit désert, et là il priait.
Simon et ceux qui étaient avec lui partirent à sa recherche.
Ils le trouvent et lui disent : « Tout le monde te cherche. »
Jésus leur dit : « Allons ailleurs, dans les villages voisins, afin que là aussi je proclame l’Évangile ; car c’est pour cela que je suis sorti. »
Et il parcourut toute la Galilée, proclamant l’Évangile dans leurs synagogues, et expulsant les démons.
Commentaire du jour.
Saint Bernard (1091-1153), Moine Cistercien et Docteur de l'Église.
Sermon 1 pour l'Avent, 7-8 (trad. Orval)
« Jésus la prit par la main et la fit lever »
Quelle condescendance de Dieu qui nous cherche, et quelle dignité de l'homme ainsi recherché ! ...
« Qu'est-ce donc que l'homme, Seigneur, pour en faire si grand cas, pour fixer sur lui ton attention ? » (Jb 7,17)
Je voudrais bien savoir pourquoi Dieu a voulu venir Lui-même à nous et pourquoi ce n'est pas plutôt nous qui sommes allés à Lui.
Car c'est notre intérêt qui est en cause. Ce n'est pas l'habitude des riches d'aller chez les pauvres, même quand ils ont l'intention de leur faire du bien.
C'était à nous qu'il convenait d'aller vers Jésus.
Mais un double obstacle nous en empêchait : nos yeux étaient aveugles et lui habite une lumière inaccessible ; nous gisions paralysés sur notre grabat, incapables d'atteindre la grandeur de Dieu.
C'est pourquoi notre très bon Sauveur et le médecin de nos âmes est descendu de sa hauteur et a tempéré pour nos yeux malades l'éclat de sa Gloire.
Il s'est revêtu comme d'une lanterne, je veux dire de ce corps lumineux et pur de toute souillure qu'il a assumé.
Commentaire du jour.
Saint Augustin (354-430), Évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et Docteur de l'Église.
Sermon 176, 4.
« Jésus la prit par la main et la fit lever »
L'apôtre Paul écrit : « Si j'ai obtenu la miséricorde, c'est afin que Le Christ puisse montrer en moi le premier toute sa Patience, et que je serve d'exemple à tous ceux qui croiront en Lui pour recevoir la Vie éternelle » (1Tm 1,16).
Voulant accorder à tous le Pardon, il a choisi un de ses ennemis les plus acharnés afin que, le voyant guéri, personne ne soit tenté de désespérer.
N'est-ce pas ce que font les médecins ? Quand ils viennent s'établir quelque part où ils ne sont pas encore connus, ils choisissent d'abord des personnes atteintes de maladies désespérées, afin de donner des preuves de leur bonté, de faire éclater leur habileté.
Chacun dira alors à son voisin : « Va trouver ce médecin ; sois sûr, il m'a guéri !... J'ai eu la même maladie que toi ; je suis passé par les mêmes souffrances ».
C'est ce que dit Paul à chaque malade en danger de désespérer : « Celui qui m'a guéri m'envoie vers toi en me disant : Va trouver ce malade désespéré, fais-lui connaître ta maladie, apprends-lui le mal dont je t'ai guéri...
Crie aux désespérés : ' Voici une parole sûre qui mérite confiance : Le Christ Jésus est venu dans le monde pour sauver les pécheurs ' (1Tm 1,15).
Qu'as-tu à craindre ? Pourquoi trembler ? Moi-même, ' Je suis le premier des pécheurs '. Je te le dis, moi qui ai été guéri, à toi qui es malade ; moi qui suis maintenant debout, à toi qui es abattu ; moi qui suis aujourd'hui plein d'assurance, à toi qui désespères ».
Ne vous laissez donc pas aller au désarroi. Vous êtes malades ? Venez à Lui et vous serez guéris.
Vous êtes aveugles ? Venez à lui et vous serez illuminés...
Dites tous : « Venez, Adorons, prosternons-nous devant Lui ; pleurons devant Le Seigneur qui nous a faits » (Ps 94,6 Vulg).
Autre commentaire du jour.
http://www.carmel.asso.fr/5eme-Dimanche-T-O-Mc1-29-39.html
Frère Jean-Christian Lévêque o.c.d. (Carmel).
Tout le monde te cherche !
Dès le premier jour où Jésus, après son Baptême, est revenu chez lui, en Galilée, il a été happé par sa mission. De toute la région on venait à lui, soit pour l’entendre quand il prêchait dans les synagogues avec une autorité toute nouvelle, soit pour se faire guérir ou lui amener des malades.
Ce que Saint Marc nous décrit aujourd’hui est un peu une journée type de Jésus, et encore ce jour-là a-t-il été plutôt calme, car après la prédication à la synagogue, la petite troupe des disciples a respecté le repos sacré pour le jour du Seigneur.
Souvent les guérisons commençaient tard : on amenait les malades après la journée de travail, et l’on attendait que le soleil fût couché pour ne pas les transporter en pleine chaleur. Quand les derniers repartaient, guéris, la nuit était parfois fort avancée.
Comment Jésus équilibrait-il cette vie surmenée ? – par la Prière. Souvent les disciples l’entendaient se lever, bien avant le jour, et ils se disaient : « Jésus s’en va prier ».
Il s’éloignait dans un lieu solitaire, et là, dans le silence, il parlait à son Père avec ses mots d’homme ; il le louait avec les Psaumes d’Israël, il accueillait dans sa volonté d’homme le vouloir de Dieu.
Mais ce matin-là, tout au début de la mission de Jésus, les disciples n’avaient pas encore pris l’habitude de voir le Maître gagner la solitude, et, une fois réveillés, Simon-Pierre en tête, ils partent à sa poursuite.
L’ayant enfin trouvé, ils lui disent : « Tout le monde te cherche ! »
La réponse de Jésus va les surprendre : « Allons ailleurs ! » Les Apôtres arrivaient pour lui dire, en somme : « Tu as réussi ! C’est fait ! Les gens t’ont compris ! Ils veulent t’entendre de nouveau ! »
Et Jésus leur déclare : « Allons dans les bourgs voisins, afin que j’y prêche aussi, car c’est pour cela que je suis sorti ».
C’est pour cela qu’il avait quitté Nazareth. C’est pour cela qu’il était venu d’auprès de Dieu. C’est comme si Jésus leur disait : « Savez-vous ce qu’est ma mission ? Savez-vous ce que c’est que la mission ? »
Comme les disciples, nous serions tentés parfois de dire à Jésus : « C’est fait, Seigneur ; notre groupe t’a trouvé ; ensemble nous t’avons écouté ; nous sommes bien ensemble, et bien avec toi.
Chez nous, tout le monde te cherche ! Viens parmi nous. Reste chez nous ! »
Dans la vie personnelle de Prière, - et pour nous dans la vie d’Oraison continuelle – un désir semblable pourrait nous monter au cœur, qui nous ferait dire à Jésus : « Enfin, Seigneur, je t’ai trouvé, retrouvé ! Enfin j’expérimente ta présence ! Reste avec moi, puisque je te cherche ! »
Et Le Seigneur nous dit : « Allons ailleurs ! Allons vers ceux qui ne me connaissent pas ! Allons, moi avec vous et vous avec moi, pour que l’Amour dont Mon Père m’a aimé soit connu jusqu’aux confins de la Terre. »
« Allons ailleurs, nous dit Jésus, allons au-delà, allons plus loin, allons jusqu’aux extrémités du monde, car c’est pour cela que je suis sorti du Père. Comme Le Père m’a envoyé, moi aussi je vous envoie ».
Fr. Jean-Christian Lévêque, o.c.d.
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_44
Abbé Francesc CATARINEU i Vilageliu (Sabadell, Barcelona, Espagne).
Tout le monde te cherche
Aujourd'hui, nous voyons Jésus à Capharnaüm, le centre de son Ministère, et plus exactement chez Simon Pierre: «En quittant la synagogue, Jésus, accompagné de Jacques et de Jean, alla chez Simon et André» (Mt 1,29).
Là il retrouve la famille de ceux qui écoutent sa Parole et la mettent en pratique (cf. Lc 8,21). La belle-mère de Pierre est malade et Il va vers elle, d'un geste qui va au-delà de ce qu'on entend dans le passage, il lui donne la main, la met debout et elle peut reprendre ses activités.
Jésus s'approche des pauvres et souffrants qu'on lui amène et les guérit par le seule geste d'étendre sa main, par un très bref contact avec Lui, qui est source de Vie, ils sont libérés-sauvés.
Ils cherchent tous Jésus, certains le font poussés par une certaine obligation, d'autres peut-être inconsciemment, puisque «notre cœur est sans repos jusqu'à ce qu'il repose en Lui» (Saint Augustin).
Mais, de la même manière que nous Le cherchons parce que nous avons besoin qu'il nous libère du mal et du Malin, Lui il vient vers nous et s'approche afin de rendre possible ce que nous serions incapables de faire par nous-mêmes.
Il s'est rendu faible afin de nous racheter, nous qui sommes faibles, «Je me suis fait tout à tous pour en sauver à tout prix quelques-uns» (1Cor 9,22).
Il y a une main tendue vers nous, qui sommes accablés par tant des maux, il suffit de Lui tendre la nôtre et nous nous retrouverons sur pieds et pourrons reprendre nos occupations. Nous pouvons "tendre" la main par la Prière, en prenant exemple sur Le Seigneur:
«Le lendemain, bien avant l'aube, Jésus se leva. Il sortit et alla dans un endroit désert, et là il priait» (Mc 1,35).
De plus, l'Eucharistie chaque Dimanche est la rencontre avec Le Seigneur qui vient pour nous relever du péché de la routine et du découragement, pour faire de nous des témoins vivants d'une rencontre qui nous renouvelle constamment, et qui, avec Jésus, nous rend vraiment libres.
HYMNE : AU COMMENCEMENT
Au commencement
Etait le Verbe !
Il était en Dieu !
Il était Dieu !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Il était la Vie,
Notre lumière.
La lumière luit
Dans notre nuit !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Qui croit en son nom
A Dieu pour Père !
Qui l'aura reçu
Ne mourra plus !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Le Verbe fait chair,
Parmi les hommes
A manifesté
La vérité !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Nous tenons de Lui
Grâce sur grâce !
Il a révélé
Le Dieu caché !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Et par Jésus Christ,
Le Fils unique,
Un jour, de nos yeux,
Nous verrons Dieu !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
HYMNE : N’ALLONS PLUS NOUS DÉROBANT
N’allons plus nous dérobant
À l’Esprit qui régénère :
Le Seigneur est ressuscité !
Un sang neuf coule aux artères
Du corps entier.
La nuit du temps
Se change en lumière :
L’homme était mort, il est vivant.
N’allons plus à contre-voie
De Celui qui nous entraîne :
Le Seigneur est ressuscité !
Dans sa chair monte, soudaine,
L’éternité.
Il rend leur poids
Aux jours, aux semaines,
Les achemine vers la joie.
N’allons plus sans feu ni lieu
Quand Jésus nous accompagne :
Le Seigneur est ressuscité !
Le voici pain sur la table
Des baptisés.
Présent de Dieu
Offert en partage :
Christ aujourd’hui ouvre nos yeux.
Nous irons portant plus haut
Notre foi dans la victoire :
Le Seigneur est ressuscité !
L’univers chante la gloire
Des rachetés.
Le feu et l’eau
Emportent l’histoire,
Dieu nous appelle avec l’Agneau
HYMNE : RESTE AVEC NOUS, SEIGNEUR JÉSUS
Reste avec nous, Seigneur Jésus,
Toi, le convive d’Emmaüs ;
Au long des veilles de la nuit,
Ressuscité, tu nous conduis.
Prenant le pain, tu l’as rompu,
Alors nos yeux t’ont reconnu,
Flambée furtive où notre cœur
A pressenti le vrai bonheur.
Le temps est court, nos jours s’en vont,
Mais tu prépares ta maison ;
Tu donnes un sens à nos désirs,
À nos labeurs un avenir.
Toi, le premier des pèlerins,
L’étoile du dernier matin,
Réveille en nous, par ton amour,
L’immense espoir de ton retour.
Oraison du matin (Office des Laudes).
Dans ton Amour inlassable, Seigneur, veille sur ta famille ; et puisque ta Grâce est notre unique espoir, garde-nous sous ta constante protection.
Parole de Dieu : (Ap 7, 10.12)… (Office des Laudes).
Le Salut est donné par Notre Dieu, Lui qui siège sur le Trône, et par l’Agneau ! Louange, Gloire, Sagesse et action de grâce, honneur, puissance et force à Notre Dieu pour les siècles des siècles Amen !
Parole de Dieu : (2 Co 1, 3-4)… (Office des Vêpres).
Béni soit Dieu, Le Père de Notre Seigneur Jésus-Christ, Le Père plein de Tendresse, Le Dieu de qui vient tout réconfort.
Dans toutes nos détresses, il nous réconforte ; ainsi, nous pouvons réconforter tous ceux qui sont dans la détresse, grâce au réconfort que nous recevons nous-mêmes de Dieu.
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