Saint Éloi, Évêque de Noyon (590-660). Fête le 1er Décembre.

Dimanche 1er Décembre 2024 : Fête de Saint Éloi, Évêque de Noyon (590-660).

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  Saint Éloi
Évêque de Noyon
(590-660)

Éloi naquit à Chaptelat, à deux lieues de Limoges. Dès son enfance, il se montra si habile aux travaux manuels, que son père le plaça comme apprenti chez le maître de la Monnaie de Limoges.
Ses premières œuvres révélèrent son talent précoce, et, au bout de quelques années, Éloi n'avait pas de rival dans l'art de travailler les métaux. Ses sentiments religieux et ses vertus le rendirent plus recommandable encore que ses talents ; on ne se lassait pas d'admirer sa franchise, sa prudence, sa douceur, sa charité.

Le roi Clotaire II, ayant entendu parler de lui, le fit venir à la cour, lui commanda un trône d'or orné de pierreries, et à cet effet lui donna une quantité d'or.
Le travail fini, Éloi se présenta devant le roi et lui montra le trône.
Clotaire s'extasiait devant ce chef-d'œuvre ; mais quelle ne fut pas sa stupéfaction, quand Éloi fit apporter un autre trône aussi beau que le premier, fait aussi avec l'or qu'il avait reçu ! Sur-le-champ, Éloi fut nommé grand argentier du royaume, et le roi le garda près de lui.

Jusque là, notre saint avait aimé le luxe ; touché d'une grâce de choix, il se détacha des vanités du monde et vécut au milieu des richesses comme un pauvre de Jésus-Christ.
Son plaisir était de faire de belles châsses pour les reliques des Saints. Mais surtout il aimait les pauvres.

On ne saurait se figurer tous les trésors qui passèrent par ses mains dans le sein des indigents. Aussi, quand des étrangers demandaient à le voir, on leur répondait : « Allez en telle rue, et arrêtez-vous à la maison où vous verrez une foule de mendiants : c'est là sa demeure ! »

Éloi lavait les pieds des pauvres, les servait de ses propres mains, ne prenait que la dernière place et ne mangeait que leurs restes.
Quand Éloi n'avait plus d'argent, il donnait ses meubles et jusqu'à sa ceinture, son manteau, ses souliers.

L'amitié d'Éloi avec le roi Dagobert, successeur de Clotaire II, est devenue légendaire. Un jour Éloi vint lui dire :
« Mon prince, je viens vous demander une grâce ; donnez-moi la terre de Solignac, afin que je fasse une échelle par laquelle, vous et moi, nous méritions de monter au Ciel. »
Le roi y consentit volontiers ; le Saint y bâtit un Monastère. Jamais il ne se fit Moine ; mais il aimait à visiter les Moines et à vivre, de temps en temps, quelques jours avec eux, pour s'édifier de leur régularité.
Éloi se vit obligé d'accepter l'Évêché de Noyon. Sa vie Épiscopale fut la continuation de ses bonnes œuvres.

Saint eloi statue 2

http://nominis.cef.fr/contenus/saint/205/Saint-Eloi.html.

Saint Eloi

Évêque de Noyon (+ 660)

Gallo-romain originaire de Chaptelat dans le Limousin, "le bon Saint Eloi" appartenait à une famille de paysans aisés qui travaillaient eux-mêmes leur domaine, à la différence de tant de grands propriétaires qui les faisaient cultiver par de nombreux esclaves.
Il laissa à l'un de ses frères le soin du domaine et entra comme apprenti orfèvre dans un atelier où l'on frappait la monnaie royale selon les méthodes romaines anciennes.

Il gardait une partie des revenus venant de sa famille et il les employa au service de la charité des pauvres et des esclaves.
Il était aussi habile dans les émaux que dans les ciselures d'or fin.
Ces qualités professionnelles allaient de pair avec une scrupuleuse honnêteté. Lorsqu'on lui demanda d'exécuter un trône d'or pour le roi Clotaire II (613-629), il en fit un deuxième avec l'or en surplus qu'il ne voulait pas garder pour lui-même.

Cet acte, étonnant pour l'époque, lui valut la confiance du roi qui lui demande de résider à Paris, comme orfèvre royal, fonctionnaire de la Trésorerie royale et conseiller à la cour. Nommé monétaire à Marseille, il rachètera de nombreux esclaves que l'on vendait sur le port. Lorsque Dagobert devint roi en 629, il est rappelé à Paris où il dirige les ateliers monétaires du royaume franc, qui se trouvait à Paris sur le quai des Orfèvres et près de l'actuelle rue de la Monnaie.

Il reçoit, entre autres, la commande d'orner les tombes de sainte Geneviève et de saint Denis. Il réalise des châsses pour saint Germain, saint Séverin, saint Martin et sainte Colombe et de nombreux objets liturgiques pour la nouvelle abbaye de Saint-Denis.
Pour son honnêteté, sa franchise sans flagornerie et la qualité de son jugement pacifique, il avait la confiance du roi qui le faisait souvent appeler près de lui et lui confia même une mission de paix après du roi breton Judicaël.

Grande était la piété et la vie de prière de ce laïc qui allait souvent aux offices monastiques. En 632, il fonde le monastère de Solignac au sud de Limoges et, un an après, dans sa propre maison de l'île de la Cité, le premier monastère féminin de Paris dont il confiera la charge à sainte Aure.

Un an après la mort de Dagobert qu'il avait assisté dans ses derniers moments, il quitte la cour en même temps que saint Ouen qui y était conseiller référendaire et chancelier.
Comme lui, il entre dans la cléricature et est ordonné Prêtre.
Le même jour, le 13 mai 641, ils reçoivent l'Épiscopat, saint Ouen comme Évêque de Rouen et, lui, comme Évêque de Noyon et Tournai, un diocèse qui s'étend jusqu'à Courtrai, Gand et la Frise néerlandaise.

Il tente, sans grand succès, d'évangéliser la région d'Anvers. Au travers de ses sermons, nous connaissons la situation religieuse de cette époque et les superstitions païennes qu'il rencontre. Il fait sienne la spiritualité de saint Colomban, le moine irlandais, fonde des monastères et aime à se retirer dans l'oratoire d'Ourscamps-sur-Oise.
Il voyage aussi. Nous le trouvons au Concile de Châlon-sur-Saône et en Aquitaine, à Uzès et à Marseille.

Il meurt en 660, à la veille de partir pour Cahors. La reine sainte Bathilde s'était déplacée pour le voir, mais arrivera trop tard.
A Paris, une église lui est dédiée dans le quartier parisien des ferronniers d'art et des ébénistes, l'église Saint-Eloi reconstruite en 1967.

Une église, détruite en 1793, lui était dédiée dans la rue des Orfèvres, près de l'hôtel de la Monnaie (rue de la Monnaie à Paris 4ème). A la Cathédrale Notre-Dame, dans la chapelle Sainte-Anne, autrefois siège de leur confrérie, les orfèvres et joailliers de Paris ont placé sa statue et restauré son autel.
- Alors que meurt Saint Yrieix, naît Saint Eloi qui appartient à une famille Chrétienne depuis longtemps.

A Paris, il est remarqué par le roi Clotaire II qui le prend comme conseiller et comme trésorier. Puis le roi Dagobert le prend comme confident.
Mais saint Eloi est attiré par la vie religieuse et veut fonder un monastère ce qu’il réalise à Solignac. De son vivant, le monastère compte déjà plus de 150 moines qui respectent les 2 règles de Saint Benoît et de Saint Colomban.

Il est placé sous la protection du roi et non sous l’autorité de l’Évêque. La ferveur religieuse, l’ardeur au travail qui y règnent en font un des Monastères les plus prospères de l’époque. Saint Eloi crée ensuite un Monastère identique pour les femmes à Paris.

A la mort de Dagobert, il veut se retirer mais il devient Évêque et continue à répandre la vie Monastique. (Les origines monastiques - diocèse de Limoges)
- En 641, Éloi était ordonné Prêtre et devenait Évêque de Noyon-Tournai. Il travailla à la conversion des Frisons, ses diocésains du Nord. Il continua à fonder des Abbayes et à se faire aimer.
Lorsqu’elle apprit qu’il était mal, Sainte Bathilde, la reine détrônée qu’il avait soutenue dans ses épreuves, accourut à son chevet; mais il était mort quand elle arriva.

Saint-Éloi est le patron des ouvriers agricoles, des différents corps de métiers en rapport avec le cheval (cochers, jockeys, lads, éleveurs, maréchaux ferrant, fabricants de selles, etc.), des pompistes, des orfèvres, des bijoutiers, des horlogers, des serruriers, des numismates, des fabricants de monnaie, des ingénieurs en électricité et en mécanique, des chauffeurs de taxi, des vétérinaires. Il est le protecteur des chevaux.

Saint Éloi est le patron des orfèvres, et par extension, des forgerons, métallurgistes, quincailliers, serruriers, protecteur des chevaux et, à ce titre, des cultivateurs, charretiers, mécaniciens et garagistes. Patron des cultivateurs et de ceux qui travaillent les métaux (métallurgie, orfèvrerie). (Saints du Pas-de-Calais, diocèse d'Arras)

- Né en Limousin vers 588, l’orfèvre Eloi devint monétaire de Clotaire II, puis trésorier de Dagobert 1er avant d’être élu Évêque de Noyon (641).
Fondateur de Monastères à Solignac et à Paris, il accueillit Sainte Godeberthe comme Moniale à Noyon. (Diocèse de Beauvais)

- L’église Saint Eloi de Paris, réalisée en métal en 1967, comprend une statue du saint orfèvre réalisée en 1937 par Jean Puiforcat pour l’exposition universelle. (Saints parisiens - diocèse de Paris)
... et sur le site du diocèse aux Armées: Son habilité comme orfèvre le fit très tôt choisir comme saint patron par les orfèvres eux-mêmes, les métiers du fer, et les maréchaux-ferrants. C'est ainsi qu'Eloi devint également le saint protecteur des mécaniciens des Armées qu'il invite à la plus grande habilité et aussi à un dévouement intègre et sans faille.

À Noyon, en 660, Saint Éloi, Évêque. Orfèvre et conseiller du roi Dagobert, il fit construire un grand nombre de Monastères et fabriqua aussi beaucoup de pièces d’orfèvrerie en l’honneur des saints avec un art et une beauté remarquables. Élevé au siège Épiscopal de Noyon et Tournai, il mit tout son zèle à sa mission Apostolique.
Martyrologe romain

Bien qu’une immense distance nous sépare l’un de l’autre et que nous ne puissions espérer nous revoir sur cette terre, soyons unis dans Le Christ. Efforçons-nous de vivre de telle sorte qu’après si peu de temps, nous nous trouvions réunis, en corps et âme tout à la fois, pour l’éternité.
(Lettre à l’un de ses amis).

Image20 2Une Prière toujours d’une brûlante actualité...

Voici 31 ans, le Père Bommelaer, Curé de St Eloi, composait cette prière... sur la feuille de semaine de Saint-Éloi du 15 Décembre 1985

Saint Éloi, patron des horlogers, Priez pour nous!
Saint Éloi, tu as fort à faire! As-tu vu depuis ta place au Ciel, que 80% des fidèles de ta paroisse parisienne, arrivent en retard à la Messe chaque Dimanche ?...
- s’ils n’ont pas de montre, fais-leur un beau cadeau pour Noël
- si leur horloge est cassée, guide-les chez un bon horloger...
- s’ils n’ont pas envie de se lever: allège leur sommeil
- s’ils ne veulent pas du salut du célébrant, donne leur un sourire bienveillant
- s’ils n’aiment pas les lectures de l’Ancien Testament ou de Saint Paul, élargis un peu leur cœur..
- s’ils craignent la Parole de l’Evangile, aide-les à aimer Sa parole
- s’ils ont peur d’être là pour la quête, rends-les généreux
Toi, bon Saint Éloi, patron des horlogers, donne-nous le goût de l’exactitude et rends-nous polis envers le Seigneur et envers nos frères.. notre prière n’en sera que plus belle.
(source: paroisse Saint-Eloi, Paris).

Eloi 2

http://missel.free.fr/Sanctoral/12/01.php.

Saint Eloi était orfèvre et peut être a-t-il lui-même introduit cet art en Limousin ;  on sait, en effet, qu'au X° siècle, l'Abbaye Saint-Martial de Limoges devint un foyer de joaillerie et d'émaillerie : les Moines travaillaient l'or et l'argent et fabriquaient des châsses, des coffrets Eucharistiques, des statues de Saints, des anneaux d'Évêque qu'ils ornaient de camées et de pierres précieuses.
Plus tard ils ajouteront les émaux, cloisonnés, puis champlevés, qui décoreront merveilleusement les devants d'autels, les Crucifix et les vases sacrés.

Eloi, homme des VI et VII siècles (né vers 588 à Chaptelat et mort à Noyon le 1 décembre 660), ne connaissait pas encore tous ces raffinements ; du moins, savait-il bien son métier auquel l'avait formé un certain Abbon, de Limoges.
Bientôt pourtant il monta l'exercer à Paris et se mit au service de Bobon, le trésorier royal. Un jour le roi Clotaire II vint lui commander un trône d'or incrusté de pierreries, lui fournissant très largement à cette fin le métal précieux nécessaire.

Le jeune orfèvre se mit donc au travail et usa des maillets et des bigornes, emboutit et souda, martela et cisela, ragréa et brunit.
Mais une fois terminé le siège royal du mérovingien, demeurait encore disponible une quantité d'or.

Aussi l'honnête Eloi fabriqua-t-il un second siège qu'il dora avec ce qui restait de métal précieux et, lorsque le souverain reçut livraison de sa commande, quelle ne fut pas sa surprise de recevoir deux... dagoberts au lieu d'un simple trône.
Frappé par l'intégrité de cet artisan, Lothaire en fit son conseiller et ministre. Eloi conservera cette charge lorsque Dagobert succédera plus tard à son père.

Le rôle qu'il eut à jouer ne fut d'ailleurs pas toujours facile et, maintes fois, il lui fallut remettre à l'endroit non point tant la culotte que les idées et les mœurs du roi.
Dans sa tâche, Eloi était appuyé par deux bons amis, le trésorier Didier ou Géry et le référendaire Dadon nommé aussi Ouen, qui tous deux devinrent dans la suite de saints Évêques, le premier à Cahors et le second à Rouen.

A plusieurs reprises, Eloi exerça des missions diplomatiques. Mais il surveilla surtout la frappe des monnaies (il reste encore des pièces portant sa signature). En même temps, il continuait ses travaux d'orfèvrerie, ornant des tombeaux de saints comme ceux de saint Germain, de saint Séverin, de Saint Lucien, de Sainte Geneviève et surtout ceux de Saint Martin et de Saint Denis.
Homme de cour et artiste, Eloi n'en demeurait pas moins un Chrétien vertueux, aussi scrupuleux à suivre l'Évangile qu'à ménager l'or qu'on lui confiait.

Afin de mieux aider les pauvres, il délaissait les vêtements somptueux et leur préférait des habits moins coûteux sous lesquels, d'ailleurs, il portait cilice.
Il usait surtout de Miséricorde envers les prisonniers de guerre tombés en esclavage. Il en rachetait jusqu'à cinquante à la fois qu'il renvoyait chez eux ou qu'il gardait auprès de lui et beaucoup d'entre eux devinrent Prêtres ou Moines.

Dagobert ayant donné à son ministre la terre de Solignac, celui-ci y bâtit un Monastère. Il en installa encore un autre à Paris dans sa propre demeure et, comme ces Saints dont il honorait les reliques, il accomplissait lui-même des miracles : boiteux guéri, paralytique remis sur pied, main desséchée rendue à la santé, vin multiplié pour les pauvres.

A la mort de Dagobert, avec Ouen son ami, Eloi entra dans la cléricature. Comme les sièges de Rouen et de Noyon étaient devenus vacants, ils en furent sacrés Évêques, le 13 mai 641, en la Cathédrale de Rouen.
Le diocèse de Saint Eloi comprenait alors non seulement le Vermandois, mais encore une partie de la Belgique actuelle avec les villes de Tournai, de Courtrai et de Gand.

Il s'installa donc à Anvers et se lança dans l'apostolat Missionnaire auprès des Flamands, des Suèves et des Frisons.
Il rechercha aussi et retrouva les corps de plusieurs martyrs, par exemple de Saint Quentin à Vermand et de Saint Piat à Seclin.

Il prêchait beaucoup, reprenant à son compte les sermons de saint Césaire d'Arles ; il assistait également aux Conciles (il prit part notamment à celui de Châlon-sur-Saône en 650) et en faisait appliquer les décrets.
Il restait cependant le conseiller des grands, d'Erchinoald, par exemple, le maire du palais de Neustrie ou celui de la reine Bathilde, épouse de Clovis II.

Sur son chemin fleurissaient les prodiges : guérisons de malades ou délivrances de possédés. Ne raconte-t-on pas encore que voulant un jour donner une leçon à un maréchal-ferrant trop prétentieux, il lui aurait montré de façon singulière comment ferrer un cheval :
Eloi trancha la patte de l'animal, la ferra puis la remit en place sans que la bête en éprouvât du désagrément.

On comprend dès lors pourquoi Saint Eloi est devenu le protecteur des chevaux et le patron des maréchaux-ferrants, des maquignons, des cultivateurs, des vétérinaires ainsi que de tous les corps de métiers qui, jadis, avaient de près ou de loin un rapport avec les chevaux (et maintenant avec les chevaux-vapeurs) : bourreliers, charrons, carrossiers, charretiers, mécaniciens et garagistes.

Saint Eloi, s'étant un jour aperçu que la façade de la Basilique Saint-Médard de Noyon menaçait ruine, prescrivit de la réparer et, malgré la saison, fit hâter les travaux : il savait, en effet, que sa fin était proche.

Peu après, en effet, le 1° Décembre 660, il rendait son âme à Dieu tout joyeux d'entrer en l'éternelle Béatitude.
Prévenue, la reine Bathilde vint assister à ses funérailles.

Lorsqu'un an plus tard on voulut donner au Saint une sépulture plus digne de lui, on retrouva son corps intact.
Un siècle après, son nom figure au martyrologe et, au Moyen-âge, maintes corporations le prendront pour patron, notamment celles des orfèvres, des joailliers et des doreurs qui voudront honorer leur ancien collègue, mais encore celles des gens qui travaillent de moins nobles métaux comme les serruriers et les quincailliers : mais qui protège plus peut aussi protéger moins.

Honnête en son métier, ministre et monétaire intègre, Saint Eloi fut également honnête et intègre avec Dieu.
Ainsi la sainteté surnaturelle va-t-elle de pair avec les vertus humaines : qui ne trompe pas les hommes ne trichera pas non plus avec Dieu, et la réciproque sera vraie !

Date de dernière mise à jour : 01/12/2024

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