65. Fête de Sainte Anne et Saint Joachim...3ème Partie.

LA PAIX DU SEIGNEUR SOIT AVEC VOUS, VOTRE FAMILLE ET VOS PROCHES.

FÊTE DE SAINTE ANNE ET SAINT JOACHIM…3ème Partie.

 

TROISIEME ET DERNIERE PARTIE.

Dieu est fidèle dans toutes ses promesses, mais quant est-il de nous et de nos promesses ??? Nous sommes prêts à promettre « la lune » pour obtenir ce que nous désirons sur le moment (et qui peut varier d’un moment à l’autre).

Et c’est souvent ce que nous faisons avec Dieu. Nous le méprisons en ne pensant jamais à lui au cours de nos journées (et nos nuits), voir en nous moquant de Lui ou en rigolant des blagues « salaces » que les autres font (y compris, celles qui passent à la radio ou à la TV) sur Dieu, son Eglise et ses membres, voir en critiquant les autorités de L’Eglise (y compris le Pape) qui ne cautionnent pas nos fautes et les condamnent au contraire (alors que nous voudrions qu’ils approuvent l’adultère, le mariage homosexuel, l’avortement, etc…, toutes choses que Dieu condamne) !!!

Mais le Pape, représentant Jésus sur Terre (Jésus Corps et Tête de L’Eglise), peut-il approuver nos désobéissances à La Loi de Dieu (et cela même si toutes les autres religions agissent ainsi, mais sans avoir Jésus à leur tête !!!)…nous faisant croire ainsi que nous ne péchons jamais !!!

Que dirait-il à Dieu lors de Son Jugement ??? Il porterait sur lui toutes nos fautes qu’il aurait ainsi cautionnées !!!

 

Et pourtant, malgré cela, quand des tuiles nous arrivent, nous nous tournons vers Dieu pour qu’Il vienne à notre secours, en lui promettant de lui être fidèle, de lui donner notre vie (etc…) s’il exauce nos Prières.

Et lorsque nos Prières sont exaucées, nous le mettons souvent sur le compte du « hasard », nous oublions Dieu et nos promesses…et nous oublions même de Lui dire « merci » !!!

 

Cela n’a pas été le cas d’Anne et Joachim qui, à l’image de la mère de Samuel, sont venu au Temple et se sont engagés à offrir leur enfant au Temple (comme cela se faisait souvent chez les Juifs) à l’âge de 3 ans…si Dieu leur accordait un enfant !!!

Dieu leur a accordé un enfant…et, Anne et Joachim ont confié Marie au Temple à l’âge de 3 ans.

Cela a été une très grande souffrance et un très grand déchirement pour eux, alors qu’ils étaient âgés et trouvaient enfin la joie dans le bonheur d’être parents d’une magnifique fille. Mais ils ont ainsi été fidèles à leur engagement.

(Voir les Révélations de Jésus à Maria Valtorta dans le lien suivant :   Marie présentée au Temple.).

Et la souffrance de cette séparation les a conduit sur le chemin de la mort à cette Terre, pour retrouver Le Bonheur dont Dieu les aura comblé.

 

Jésus fait leur éloge.

Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta (tome 1, chapitre 15 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé…

Mort de Joachim et d’Anne.

 

Jésus dit :

"Comme un rapide crépuscule d'hiver où un vent de neige accumule les nuages dans le ciel, la vie de mes grands-parents connut rapidement la nuit, depuis que leur Soleil s'était fixé, pour y resplendir devant le Rideau Sacré du Temple.

Mais n'est-il pas dit : "La Sagesse inspire la vie en ses fils, prend sous sa protection ceux qui la cherchent...

Qui l'aime, aime la vie et qui veillera pour elle se réjouira de sa paix. Qui la possède aura la vie en héritage... Qui la sert obéira au Saint et qui l'aime est bien aimé de Dieu...

S'il croira en elle, il l'aura en héritage, héritage qui sera confirmé aux descendants pour qu'elle l'accompagne dans l'épreuve. Il sera d'abord l'objet d'un choix de Dieu, puis Dieu lui enverra craintes, peurs et épreuves, la flagellation de sa discipline pour le former jusqu'à ce qu'Il l'ait éprouvé dans ses pensées et puisse se fier de lui.

Mais après cela Il l'affermira, reviendra à lui par des chemins droits et le rendra content. Il lui découvrira ses secrets, mettra en lui des trésors de science et d'intelligence au sein de la justice" (Ecclésiastique 4 11-18) ?

Oui, tout cela a été dit. Les Livres sapientiels (Les livres sapientiaux sont Job, Les Psaumes, Les Proverbes, L’Ecclésiaste, Le Cantique des cantiques, Le Livre de La Sagesse et L’Ecclésiastique) conviennent à tous les hommes qui y trouvent le miroir de leur conduite et un guide, mais heureux ceux que l'on peut reconnaître parmi les amants spirituels de la Sagesse.

Je me suis entouré de sages, dans ma parenté mortelle. Anne, Joachim, Joseph, Zacharie, et plus encore Élisabeth et puis le Baptiste, ne sont-ils pas là de vrais sages ?

Je ne parle pas de ma Mère en qui la Sagesse possédait sa demeure.

 

De la jeunesse à la tombe, la Sagesse avait inspiré une manière de vivre agréable à Dieu à mes grands-parents.

Comme une tente qui protège de la fureur des éléments déchaînés, elle les avait protégés contre le danger du péché.

La sainte crainte de Dieu est à la base de l'arbre de la sagesse d'où s'élance avec toutes ses branches pour rejoindre à son sommet l'amour tranquille dans sa paix, l'amour paisible dans sa sécurité, l'amour sûr de lui dans sa fidélité, l'amour fidèle dans sa force, l'amour total, généreux, actif des saints.

"Qui aime la Sagesse, aime la vie et possède en héritage la Vie " dit l'Ecclésiastique (4 12). Mais cela se rattache à ma parole:

"Qui perdra sa vie par amour de Moi, la sauvera".

C'est qu'il n'est pas question de la pauvre vie de cette terre, mais de la vie éternelle, non des joies d'une heure, mais des joies immortelles.

 

En ce sens Joachim et Anne l'ont aimée et elle fut avec eux dans leurs épreuves.

Combien, parmi vous, sans être complètement mauvais voudraient n'avoir jamais à pleurer ni à souffrir !

 

Combien d'épreuves ne rencontrèrent pas ces justes qui méritèrent d'avoir pour fille Marie !

La persécution politique qui les chassa de la terre de David en les appauvrissant sans mesure. La tristesse de voir s'écouler les années sans qu'une fleur leur dise : "Je vous continue". Et après, la crainte que l'ayant eue à un âge avancé, il était certain qu'ils ne verraient pas s'épanouir en elle la femme.

Et puis devoir l'arracher de leur cœur pour la porter à l'autel de Dieu. Et encore vivre, dans un silence plus pesant, alors qu'ils s'étaient habitués au chant de leur petite tourterelle, au bruit de ses petits pas, aux sourires et aux baisers de leur créature... et attendre avec ces souvenirs l'heure de Dieu. Et encore, et encore.

Maladies, calamités des intempéries, insolences des puissants... tant de coups de bélier dans le faible castel de leur modeste prospérité.

Et ce n'est pas tout : le souvenir pénible de leur enfant si lointaine qui reste seule et pauvre et qui, malgré leur sollicitude et leurs sacrifices, n'aura qu'un reste du bien paternel. Et en quel état le trouvera-t-elle si, pendant des années encore il reste inculte, fermé, attendant qu'elle revienne ?

Craintes, peurs, épreuves et tentations. Et fidélité, fidélité, fidélité toujours à Dieu. La tentation la plus forte : ne pas se refuser le réconfort de la présence de leur fille auprès de leur vie à son déclin.

Mais les enfants appartiennent à Dieu, d'abord, avant d'appartenir à leurs parents. Et tout fils peut dire ce que j'ai dit à ma Mère : "Ne sais-tu pas que je dois veiller aux intérêts du Père du Ciel ?"

Et chaque mère, chaque père doit, pour savoir quelle attitude observer, regarder Marie et Joseph au Temple, Anne et Joachim dans leur maison de Nazareth qui se fait chaque jour plus vide et plus triste, mais dans laquelle une seule chose ne s'affaiblit pas, mais ne Cesse de grandir : la sainteté de deux cœurs, la sainteté de leur union.

 

Que reste-t-il à Joachim infirme et à Anne sa dolente épouse pour éclairer leurs longues et silencieuses soirées de vieillards qui attendent la mort ? Les petits vêtements, les premières sandalettes, les pauvres joujoux de leur petite qui est si loin et puis les souvenirs, les souvenirs, les souvenirs.

Et avec eux une paix qui vient leur dire : "Je souffre, mais j'ai accompli mon devoir d'amour envers Dieu".

 

Et alors voilà une joie surhumaine qui brille d'une lumière céleste, inconnue aux gens du monde.

Elle ne pâlit pas du fait qu'elle tombe sur paupières flétries, sur deux yeux qui se meurent, mais à la dernière heure resplendit davantage et illumine des vérités restées au dedans de leur âme tout le temps de la vie, enfermées comme des papillons dans leurs cocons, ne manifestant leur existence que par des suaves mouvements faits de légers éclairs; mais maintenant elles ouvrent leurs ailes de soleil et montrent les paroles qui les décorent.

Et la vie s'éteint dans la connaissance d'un avenir bienheureux pour eux et pour leur descendance pendant que sur leurs lèvres s'épanouit une dernière bénédiction pour leur Dieu.

 

Telle fut la mort de mes grands-parents, comme la méritait leur sainte vie. À cause de leur sainteté, ils ont mérité d'être les premiers gardiens de l'Aimée de Dieu.

Ce n'est que quand un Soleil vint les éclairer au déclin de leur vie qu'ils eurent la pleine vision de la grâce que Dieu leur avait faite.

A cause de leur sainteté Anne n'éprouva pas les souffrances de l'enfantement mais donna extatiquement le jour, après l'avoir portée, à la Sans Faute.

Pour tous deux, ce ne fut pas l'agonie, mais la langueur d'une vie qui s'éteint comme s'éteint une étoile quand le soleil se lève à l'aurore.

Et s'ils n'eurent pas la consolation de me posséder, Moi, la Sagesse Incarnée, comme l'eut Joseph, j'étais près d'eux, Invisible Présence, leur disant de sublimes paroles, penché sur leur oreiller pour les endormir dans la paix, en attendant le triomphe.

 

Quelqu'un dira : "Pourquoi n'ont-ils pas dû souffrir pour engendrer et mourir puisqu'ils étaient fils d'Adam ?"

Je leur réponds : "Si pour s'être approchés de Moi présent dans le sein de ma Mère, le Baptiste, fils d'Adam et conçu avec le péché d'origine, fut sanctifié avant de naître, n'aurait-elle eu aucune grâce la mère sainte de la Toute Sainte que la Tache n'avait pas touchée, de Celle qui était la Préservée de Dieu et qui portait Dieu avec elle en son esprit presque divin et en son cœur encore embryonnaire, jamais séparée de Dieu depuis le moment où le Père la pensa, qui fut conçue dans un sein qui revint à posséder Dieu en plénitude au Ciel pour une éternité glorieuse ?".

À celui-ci je réponds : "La droiture de la conscience procure une mort sereine et les prières des saints vous obtiennent pareille mort".

 

Joachim et Anne avaient derrière eux toute une vie de droiture. Au moment de la mort, elle se découvrait à eux comme un panorama paisible, comme un chemin qui les amenait au Ciel.

Et puis, ils avaient la Sainte en oraison devant le Tabernacle de Dieu. Elle priait pour ses parents éloignés d'elle, venaient pour elle après Dieu, le Bien Suprême, mais aimés, comme le veut la Loi et aussi le cœur humain, mais d'un amour surnaturellement parfait." 

 

Nous y retrouvons ce que je disais en début de Réflexion…pour avoir de Saintes Vocations (voir de saints Prêtres, de saints Religieux…mais aussi et tout simplement…de saints enfants), il n’y a rien de tel que d’être ou de devenir de saints parents.

Ce fut le cas d’Anne et Joachim qui par la Sainteté de leur vie et par le sacrifice de leur Offrande à Dieu en offrant Marie au Temple dès l’âge de trois ans, par leur sainte souffrance (avant la naissance de Marie et après son offrande au Temple) furent un saint berceau pour La Très Sainte Vierge Marie…

 

        L'Église célébrera dans tous les âges la piété maternelle de sainte Anne, et la gloire de sa Fille rejaillira sur elle de génération en génération.

Le culte de sainte Anne a subi diverses alternatives. Son corps fut transporté dans les Gaules, au premier siècle de l'ère chrétienne, et enfoui dans un souterrain de l'église d'Apt, en Provence, à l'époque des persécutions.

A la fin du VIIIe siècle, il fut miraculeusement découvert et devint l'objet d'un pèlerinage. Mais c'est surtout au XVIIe siècle que le culte de sainte Anne acquit la popularité dont il jouit.

 

        De tous les sanctuaires de sainte Anne, le plus célèbre est celui d'Auray, en Bretagne; son origine est due à la miraculeuse découverte d'une vieille statue de la grande Sainte, accompagnée des circonstances les plus extraordinaires et suivies de prodiges sans nombre. Sainte-Anne d'Auray est encore aujourd'hui l'objet d'un pèlerinage national.

J’aimerais qu’il soit retenu de cette fête de Sainte Anne et Saint Joachim que c’est par notre vie que nous entraînons nos enfants sur un chemin tourné vers le bien ou tourné vers le mal, c’est par notre éducation dès le plus jeune âge que nous leur donnons des valeurs morales, religieuses, civiles, civiques et spirituelles…mais c’est par notre exemple de vie  qu’elle soit  en Dieu ou loin de Dieu que nous influons le plus nos enfants…et cela même si à une période plus ou moins longue de leur vie, ils rejettent ce que nous leur avons appris et ce que nous leur avons montré par notre exemple (et cela, beaucoup à cause de la société dans laquelle ils vivent et en sont conditionnés…mais par notre vie qui témoigne de L’Amour de Dieu, par nos Prières et nos souffrances offertes, Dieu viendra à un moment de leur vie pour les emmener sur le chemin qui conduit à Son royaume)

Aussi, comme les prêtres et les religieux, comme toute personne vivante a eu, au départ, un père et une mère, qui lui a transmis la vie…c’est par leur exemple que les parents transmettent la Sainteté à leurs enfants…et c’est par leur Amour et leur désir de vivre en Dieu qu’ils inspirent des vocations…parmi leurs enfants.

Aussi je pense que notre prière pour l’Eglise, doit commencer par une prière pour les vocations, mais dés le sein de notre famille.

Je vous redonne la prière que j’ai faite mienne chaque jour, et que je souhaite vous transmettre à tous.

 

MA PRIERE POUR LES VOCATIONS :

Seigneur Mon Dieu, Toi qui est Père, Fils et Saint-Esprit, je t’Aime, je te Bénis et je t’Adore.

 

Bénis, s’il te plait, toute notre famille humaine et spirituelle, passée, présente et future, ceux qui sont décédés, particulièrement ceux qui souffrent le plus, ceux qui sont le plus délaissés, ceux qui viennent de rentrer au Purgatoire, ceux qui vont mourir, ceux qui sont vivants et ceux qui ne sont pas encore nés.

Et accorde à toute notre famille humaine et spirituelle, sans exception, si possible jusqu’à la fin du monde, de très nombreux Saints qui brûleront d’Amour pour Toi, Mon Seigneur et Mon Dieu et pour ta très Sainte Maman, La Très Sainte Vierge Marie, tout au long de leur vie, de leur naissance à leur mort, en Te faisant le Don total de leur Vie, de leur Chasteté, de leur Pureté, de leur Virginité et en recherchant La Perfection de l’Amour et les Sacrifices agréables à Dieu, pour devenir, de Saints Prêtres, de Saints Religieux, de Saintes Religieuses et de Saintes personnes Consacrées.

Et si notre famille n’existe plus d’ici la fin du monde, fait qu’il y est toujours de très nombreux Saints qui brûleront d’Amour pour Toi, Mon Seigneur et Mon Dieu, et pour Ta Très Sainte Maman, La Très Sainte Vierge Marie. 

 

Extrait de ma Réflexion : Prière pour les Vocations.  (Dimanche 3 Mai 2009).

La recherche des vocations ne se trouve pas dans les moyens humains…mais dans la fidélité à L’Evangile, dans L’Amour profond et sincère pour Dieu, dans L’Amour pour Son Prochain, et dans une vie de prière, d’obéissance, d’humilité et de don de soi…en faisant passer toujours Dieu en premier, et en étant témoin de Son Amour auprès de notre Prochain.

 

Ce n’est pas en adaptant L’Evangile à l’auditoire présent, aux désirs et envies des personnes présentes ou de la société « laïc » qui rejette les exigences de Dieu…qui nient même son existence (même si cet auditoire est composé de personne très influente de notre société), en dépensant des fortunes pour faire venir des « missionnaires », en faisant des « quêtes continuelles » auprès des pauvres gens pour en mettre plein la vue dans des projets tous plus coûteux les uns que les autres…qu’il y aura des vocations.

 

Mais c’est en revenant à la source (voir mes précédentes réflexion du Samedi 25 Avril2009, ainsi que celle sur « Les quatre Evangélistes »), en reprenant les bases de L’Evangile et de La Bible, en adaptant notre vie à tous les Enseignements contenus dans L’Evangile et non l’inverse…et en vivant avec « notre cœur » et en vérité notre Foi en Dieu.

 

Comme Saint Jean (L’Evangéliste) qui, à l’image de l’aigle, part dans les hauteurs puiser La Lumière du Soleil, il nous faut prendre la main de Jésus, ne jamais la quitter (même un seul instant…surtout pour succomber aux tentations pouvant nous assaillir !!!), et nous élever dans Le Ciel, vers La Lumière de Dieu, dans la Prière continuelle, dans l’obéissance absolue, dans l’humilité vrai, dans la sincérité, dans l’Amour et La Compassion de Dieu. 

 

Alors, les jeunes en recherche d’absolu, recommenceront à croire en Dieu, en L’Amour, en la sincérité, au désintéressement, à la vérité.

Ils vivront L’Evangile tel qu’il devrait être vécu par tous, et tel que l’ont vécu Jésus, La Très Sainte Vierge Marie, Sainte Anne et Saint Joachim ses parents, Les Apôtres et les premiers Chrétiens…prêts à tout abandonner de leurs biens terrestres et à donner leur vie plutôt que de renier leur Foi.

 

C’est en voyant vivre des Chrétiens, avec leur cœur, tel que Jésus nous l’a enseigné…c’est par le témoignage de leur vie, plus que par leurs discours, que les gens auront le désir et l’envi de vivre aussi L’Evangile avec toutes ses exigences pour prendre aussi le chemin de L’Amour de Dieu…et comme Etienne devant le discours de Jean, ils diront :


Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta (tome 3, chapitre 26 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé…

La première prédication de Simon le Zélote et de Jean 


"Ah ! Mais moi, je ne vous quitte plus ! Ni toi, ni celui-ci. Je ne quitte plus personne. Prenez-moi !"


Avant de terminer cette Réflexion par une prière, j’aimerais rappeler cette Parole que Jésus nous dit en nous parlant de ses grands-parents (de l’extrait ci-dessus) :

Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta (tome 1, chapitre 15 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé…

Mort de Joachim et d’Anne.

 

De la jeunesse à la tombe, la Sagesse avait inspiré une manière de vivre agréable à Dieu à mes grands-parents.

Comme une tente qui protège de la fureur des éléments déchaînés, elle les avait protégés contre le danger du péché.

La sainte crainte de Dieu est à la base de l'arbre de la sagesse d'où s'élance avec toutes ses branches pour rejoindre à son sommet l'amour tranquille dans sa paix, l'amour paisible dans sa sécurité, l'amour sûr de lui dans sa fidélité, l'amour fidèle dans sa force, l'amour total, généreux, actif des saints.

"Qui aime la Sagesse, aime la vie et possède en héritage la Vie " dit l'Ecclésiastique (4 12). Mais cela se rattache à ma parole:

"Qui perdra sa vie par amour de Moi, la sauvera".

C'est qu'il n'est pas question de la pauvre vie de cette terre, mais de la vie éternelle, non des joies d'une heure, mais des joies immortelles.

 

En ce sens Joachim et Anne l'ont aimée et elle fut avec eux dans leurs épreuves.

Combien, parmi vous, sans être complètement mauvais voudraient n'avoir jamais à pleurer ni à souffrir !

 

Seigneur Mon Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit, je vous Aime, je vous Bénis et je vous Adore. A Vous sont Le Règne, La Puissance et La Gloire pour les siècles des siècles.

Très Sainte Vierge Marie et Saint Joseph, je vous Aime, je vous Bénis et j’Adore Votre Fils Jésus-Christ, Notre Seigneur et Notre Dieu.

Sainte Anne et Saint Joachim (et Saints parents de Saint Joseph), je vous Aime, je vous Bénis et j’Adore Votre Petit-Fils Notre Seigneur Jésus-Christ, Christ Vainqueur et Sauveur, Christ Ressuscité et Vivant, Christ Notre Rédempteur.

 

EN UNION DE CŒUR, D’AMOUR FRATERNEL ET DE PRIERES.

 

                              PIERRE 

 

Sous-pages :

 


Date de dernière mise à jour : 02/07/2021

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