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Eucharistie du Dimanche 23 Janvier 2022 : Troisième Dimanche du Temps Ordinaire, Année C.
Eucharistie du Dimanche 23 Janvier 2022 : Troisième Dimanche du Temps Ordinaire, Année C.
Fête de Sainte Marianne Cope, Américaine, membre des Sœurs de Saint François de Syracuse, évangélisatrice des lépreux à Molokai (1838-1918).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, 2ème lecture, Évangile) :
Livre de Néhémie 8,2-4a.5-6.8-10… Psaume 19(18),8.9.10.15… Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 12,12-30… Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 1,1-4.4,14-21.
Commentaire d’Origène (v. 185-253), Prêtre et théologien.
Autre commentaire du Carmel.
Autre commentaire de l’Abbé Bernat GIMENO i Capín (Barcelona, Espagne).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Dimanche 23 Janvier 2022 : Fête de Sainte Marianne Cope, Américaine, membre des Sœurs de Saint François de Syracuse, évangélisatrice des lépreux à Molokai (1838-1918).
Sa Fête Liturgique a été fixée au 23 Janvier, date de sa naissance sur Terre et non pas le jour de sa naissance au Ciel (Dies natalis) (Osservatore romano 2005 n°21 pages 4-6).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Sainte Marianne Cope.
Les Saints du 23 Janvier.
http://reflexionchretienne.e-monsite.com/pages/vie-des-saints/janvier/saints-saintes-et-fetes-du-jour-27.html
LITURGIE DE LA PAROLE.
Livre de Néhémie 8,2-4a.5-6.8-10.
En ces jours-là, le prêtre Esdras apporta la Loi en présence de l’assemblée, composée des hommes, des femmes, et de tous les enfants en âge de comprendre. C’était le premier jour du septième mois.
Esdras, tourné vers la place de la porte des Eaux, fit la lecture dans le livre, depuis le lever du jour jusqu’à midi, en présence des hommes, des femmes, et de tous les enfants en âge de comprendre : tout le peuple écoutait la lecture de la Loi.
Le scribe Esdras se tenait sur une tribune de bois, construite tout exprès.
Esdras ouvrit le livre ; tout le peuple le voyait, car il dominait l’assemblée. Quand il ouvrit le livre, tout le monde se mit debout.
Alors Esdras bénit le Seigneur, le Dieu très grand, et tout le peuple, levant les mains, répondit : « Amen ! Amen ! » Puis ils s’inclinèrent et se prosternèrent devant le Seigneur, le visage contre terre.
Esdras lisait un passage dans le livre de la loi de Dieu, puis les lévites traduisaient, donnaient le sens, et l’on pouvait comprendre.
Néhémie le gouverneur, Esdras qui était prêtre et scribe, et les lévites qui donnaient les explications, dirent à tout le peuple : « Ce jour est consacré au Seigneur votre Dieu ! Ne prenez pas le deuil, ne pleurez pas ! » Car ils pleuraient tous en entendant les paroles de la Loi.
Esdras leur dit encore : « Allez, mangez des viandes savoureuses, buvez des boissons aromatisées, et envoyez une part à celui qui n’a rien de prêt. Car ce jour est consacré à notre Dieu ! Ne vous affligez pas : la joie du Seigneur est votre rempart ! »
Psaume 19(18),8.9.10.15.
La loi du Seigneur est parfaite,
qui redonne vie ;
la charte du Seigneur est sûre,
qui rend sages les simples.
Les préceptes du Seigneur sont droits,
ils réjouissent le cœur ;
le commandement du Seigneur est limpide,
il clarifie le regard.
La crainte qu'il inspire est pure,
elle est là pour toujours ;
les décisions du Seigneur sont justes
et vraiment équitables :
Accueille les paroles de ma bouche,
le murmure de mon cœur ;
qu'ils parviennent devant toi,
Seigneur, mon rocher, mon défenseur !
Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 12,12-30.
Frères, prenons une comparaison : le corps ne fait qu’un, il a pourtant plusieurs membres ; et tous les membres, malgré leur nombre, ne forment qu’un seul corps. Il en est ainsi pour le Christ.
C’est dans un unique Esprit, en effet, que nous tous, Juifs ou païens, esclaves ou hommes libres, nous avons été baptisés pour former un seul corps. Tous, nous avons été désaltérés par un unique Esprit.
Le corps humain se compose non pas d’un seul, mais de plusieurs membres.
Le pied aurait beau dire : « Je ne suis pas la main, donc je ne fais pas partie du corps », il fait cependant partie du corps.
L’oreille aurait beau dire : « Je ne suis pas l’œil, donc je ne fais pas partie du corps », elle fait cependant partie du corps.
Si, dans le corps, il n’y avait que les yeux, comment pourrait-on entendre ? S’il n’y avait que les oreilles, comment pourrait-on sentir les odeurs ?
Mais, dans le corps, Dieu a disposé les différents membres comme il l’a voulu.
S’il n’y avait en tout qu’un seul membre, comment cela ferait-il un corps ?
En fait, il y a plusieurs membres, et un seul corps.
L’œil ne peut pas dire à la main : « Je n’ai pas besoin de toi » ; la tête ne peut pas dire aux pieds : « Je n’ai pas besoin de vous ».
Bien plus, les parties du corps qui paraissent les plus délicates sont indispensables.
Et celles qui passent pour moins honorables, ce sont elles que nous traitons avec plus d’honneur ; celles qui sont moins décentes, nous les traitons plus décemment ;
pour celles qui sont décentes, ce n’est pas nécessaire. Mais en organisant le corps, Dieu a accordé plus d’honneur à ce qui en est dépourvu.
Il a voulu ainsi qu’il n’y ait pas de division dans le corps, mais que les différents membres aient tous le souci les uns des autres.
Si un seul membre souffre, tous les membres partagent sa souffrance ; si un membre est à l’honneur, tous partagent sa joie.
Or, vous êtes corps du Christ et, chacun pour votre part, vous êtes membres de ce corps.
Parmi ceux que Dieu a placés ainsi dans l’Église, il y a premièrement des apôtres, deuxièmement des prophètes, troisièmement ceux qui ont charge d’enseigner ; ensuite, il y a les miracles, puis les dons de guérison, d’assistance, de gouvernement, le don de parler diverses langues mystérieuses.
Tout le monde évidemment n’est pas apôtre, tout le monde n’est pas prophète, ni chargé d’enseigner ; tout le monde n’a pas à faire des miracles,
à guérir, à dire des paroles mystérieuses, ou à les interpréter.
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 1,1-4.4,14-21.
Beaucoup ont entrepris de composer un récit des événements qui se sont accomplis parmi nous,
d’après ce que nous ont transmis ceux qui, dès le commencement, furent témoins oculaires et serviteurs de la Parole.
C’est pourquoi j’ai décidé, moi aussi, après avoir recueilli avec précision des informations concernant tout ce qui s’est passé depuis le début, d’écrire pour toi, excellent Théophile, un exposé suivi,
afin que tu te rendes bien compte de la solidité des enseignements que tu as entendus.
Lorsque Jésus, dans la puissance de l’Esprit, revint en Galilée, sa renommée se répandit dans toute la région.
Il enseignait dans les synagogues, et tout le monde faisait son éloge.
Il vint à Nazareth, où il avait été élevé. Selon son habitude, il entra dans la synagogue le jour du sabbat, et il se leva pour faire la lecture.
On lui remit le livre du prophète Isaïe. Il ouvrit le livre et trouva le passage où il est écrit :
« L’Esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction. Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux captifs leur libération, et aux aveugles qu’ils retrouveront la vue, remettre en liberté les opprimés,
annoncer une année favorable accordée par le Seigneur. »
Jésus referma le livre, le rendit au servant et s’assit. Tous, dans la synagogue, avaient les yeux fixés sur lui.
Alors il se mit à leur dire : « Aujourd’hui s’accomplit ce passage de l’Écriture que vous venez d’entendre. »
Commentaire du jour.
Origène (v. 185-253), Prêtre et théologien.
Homélies sur l'Évangile de Luc, n°32, 2 ; SC 87 (trad. SC p. 387)
« Cette parole de l'Écriture..., c'est aujourd'hui qu'elle s'accomplit »
Quand vous lisez : « Il enseignait dans leurs synagogues et tous célébraient ses louanges », prenez garde de n'estimer heureux que les auditeurs du Christ et de vous juger, vous, privés de son enseignement.
Si l'Écriture est la Vérité, Dieu n'a pas seulement parlé jadis dans les assemblées juives mais il parle aujourd'hui encore dans notre assemblée.
Et non seulement ici, dans la nôtre, mais dans d'autres réunions et dans le monde entier Jésus enseigne et cherche des porte-parole pour transmettre son enseignement. Priez pour qu'il me trouve à la fois disposé et apte à le chanter.
De même que le Dieu tout-puissant, cherchant des prophètes au temps où la prophétie faisait défaut aux hommes, trouve par exemple Isaïe, Jérémie, Ézéchiel, Daniel, ainsi Jésus cherche des porte-parole pour transmettre sa parole, pour « enseigner les peuples dans leurs synagogues et être glorifié par tous ».
Aujourd'hui Jésus est davantage « glorifié par tous » qu'au temps où il n'était connu que dans une seule province.
Autre commentaire du jour.
http://www.carmel.asso.fr/3eme-Dimanche-T-O-C.html
Carmel.
« Cette parole de l’Écriture que vous venez d’entendre, c’est aujourd’hui qu’elle s’accomplit ! »
St Luc a mis un soin particulier dans l’ouverture de son Évangile. Par une longue phrase, noble et presque solennelle, il annonce un récit, et précise son but.
Et il commence par se situer dans une tradition : « Beaucoup, dit-il, ont entrepris de composer un récit des événements qui se sont accomplis parmi nous. »
Il ambitionne un récit plus large, appuyé sur une enquête encore plus exigeante : « J’ai décidé, moi aussi, après m’être informé exactement de tout depuis le début, d’en écrire pour toi l’exposé suivi ».
De fait Luc, dans son œuvre articulée en deux parties, accordera une place de choix au début de la vie de Jésus, son Évangile, puis aux débuts de l’expansion de l’Église dans les Actes d’apôtres.
Déjà à l’époque de Luc, les contemporains de Jésus commençaient à disparaître, et les prédicateurs Chrétiens se heurtaient, dans l’opinion publique, à des rumeurs ou à des insinuations contradictoires au sujet de Jésus et de son œuvre.
Les convictions que Luc s’efforce de transmettre dépassent le simple souci historique, et son propos est finalement catéchétique, comme il le déclare clairement à Théophile : « J’ai décidé d’écrire pour toi un exposé suivi, pour que tu te rendes compte de la sûreté des enseignements que tu as reçus. »
Disciple passionné d’un Jésus qu’il n’a pas connu, Luc veut aider les croyants dans leur acte de Foi. Pour lui, le message que l’Église transmet s’enracine directement dans l’œuvre et la pensée de Jésus ; le socle de la Foi, c’est la Vie parmi nous de l’Envoyé de Dieu.
Luc, à sa manière, offre à chacun de refaire pour son compte le parcours initiatique qui l’a conduit de l’écoute à la Foi, puis de l’adhésion à Jésus au service de la Parole.
Ainsi, dans l’œuvre de Luc, la Foi tend la main à l’intelligence, non pour effacer le mystère du Fils de Dieu fait homme, mais pour inciter tout croyant à investir dans la découverte du Christ le meilleur de lui-même, de son cœur et de sa liberté.
C’est cette attitude qu’il aurait fallu ce jour-là aux gens de Nazareth pour accepter pareille révélation, l’identification de Jésus au Messie attendu, et pour repartir chez eux en se disant : « le fils du charpentier est habité par L’Esprit de Dieu ; le fils de Joseph a inauguré aujourd’hui la libération d’Israël ! »
Car il s’est réalisé pour eux un évènement extraordinaire. Jésus en personne s’est saisi du livre de la Parole de Dieu et l’a proclamé au milieu de la synagogue.
Ce moment est grave et émouvant. Cette voix qui monte et cette Parole qui se fait entendre, pour la première fois, coïncident parfaitement.
La Parole de Dieu et le timbre qui la porte, l’intonation qui la souligne sont une même et unique chose, ils appartiennent au même mystère de la Parole de Dieu faite chair.
Où résonnera-t-elle mieux cette Parole, sinon dans la bouche de Jésus ?
Et Jésus, que pourrait-il proclamer à travers elle, sinon Lui-même ? Ainsi, la Célébration de la Parole atteint vraiment son maximum de densité et d’efficacité. La Parole libère toutes ces énergies, elle est elle-même l’événement.
En fermant le livre, Jésus peut dire en vérité : « Cette Parole de l’Écriture que vous venez d’entendre, c’est aujourd’hui qu’elle s’accomplit ! »
Et Saint Luc ajoute : « Tous, dans la synagogue, avaient les yeux fixés sur lui ». Non seulement, en effet, la Parole fait entendre à notre intelligence, mais elle fait aussi voir à notre cœur.
Elle découvre, elle révèle, elle éclaire. Bien plus qu’un message à transmettre, elle est à tel point actualité de l’événement, présence de Dieu et de Jésus, qu’elle nous les rend proches, qu’elle nous fait participants et témoins de leur lumière.
Dans l’exorde de son Évangile que nous avons entendu, Saint Luc parle de ceux qui ont été les témoins oculaires de la Parole, avant d’en devenir les serviteurs et les apôtres.
Qui sont ces témoins oculaires ?
Tout d’abord ceux qui, dans la Parole de la Bible, ont su identifier Jésus parce que, en sens inverse, dans la vie et la mort de Jésus ils avaient pu reconnaître cette Parole qu’ils connaissaient à force de la lire.
Ensuite ceux qui, parmi les fidèles de la synagogue de Nazareth qui fixaient Jésus de leur regard, l’ont saisi et reconnu comme étant cette Parole de Dieu accomplie au milieu d’eux.
Finalement, jusqu’aujourd’hui, ceux qui, parmi nous, en persévérant dans la Parole de la Bible, en accrochant leur cœur et leurs pensées à elle, en la ruminant inlassablement, patiemment, amoureusement, finissent par y reconnaître les traits du visage de Jésus et par être éblouis de la lumière de son regard.
Ce travail de la Foi Le Christ nous le demande, lorsqu’il redit, au cœur de notre liturgie, « L’Esprit du Seigneur est sur moi », et lorsqu’il affirme : « Aujourd’hui cette écriture est accomplie en vos oreilles ! »
Si aujourd’hui encore la Parole de Jésus doit trouver son accomplissement, cela signifie qu’il faut nous identifier, à notre tour, non pas, comme Jésus, au Prophète porteur de L’Esprit, mais aux auditeurs, pour devenir ses témoins et trouver ainsi notre place dans le Corps Mystique du Christ.
Rassemblés aujourd’hui avec Jésus, comme jadis dans la synagogue de Nazareth, cette liturgie de la Parole et celle du Pain et du Vin qui suivra bientôt, peuvent être pour nous la source même de toute Vie.
En partageant l’Évangile, en distribuant entre nous ce Pain et ce Vin, c’est la même Parole que nous ruminerons et que nous savourerons, c’est Jésus qu’il nous sera donné de reconnaître au milieu de nous.
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_27
Abbé Bernat GIMENO i Capín (Barcelona, Espagne).
«Afin que tu reconnaisses la certitude des enseignements que tu as reçus»
Aujourd'hui, nous commençons à entendre la voix de Jésus à travers l'Évangéliste qui nous accompagnera tout au long du Temps Ordinaire du cycle "C": Saint Luc. «Afin que tu reconnaisses la certitude des enseignements que tu as reçus» (Lc 1,4) écrit Lucas à son ami Théophile.
Si le but de son récit est celui-ci, nous devons prendre conscience de l'importance de méditer l'Évangile du Seigneur —Parole vivante, et par conséquent, toujours nouvelle— tous les jours.
Étant la Parole de Dieu, Jésus est représenté, aujourd'hui, comme un Maître, puisqu'«Il enseignait dans les synagogues» (Lc 4,15).
Jésus débute comme n'importe quel prêcheur: en lisant un texte des Écritures, qui s'accomplit à ce moment précis… la parole du prophète Isaïe est en train de s'accomplir, par ailleurs, toute la Parole, tout le contenu des Écritures, tout ce que les prophètes avaient annoncé se concrétise et s'accomplit avec Jésus.
Il n'est pas indifférent de croire ou non en Jésus, car c'est L'"Esprit du Seigneur" même qui l'a consacré et envoyé.
Le message que Dieu veut transmettre à l'humanité à travers sa Parole est une bonne nouvelle pour les handicapés, c'est une annonce de liberté pour les prisonniers et opprimés, c'est une promesse de Salut.
Un message qui remplit d'espérance l'humanité toute entière. Nous, les enfants de Dieu dans Le Christ par le Baptême, nous aussi nous avons reçu cette onction et nous participons à sa mission: porter ce message d'espérance à l'humanité entière.
En méditant l'Évangile qui donne de la fermeté à notre Foi, nous nous rendons compte que Jésus prêchait d'une manière différente à celle des autres maîtres: il prêchait comme celui qui possède l'autorité (cf. Lc 4,32).
C'est ainsi car il prêchait à travers ses œuvres, par son exemple, en rendant témoignage, et même en donnant sa propre vie.
Nous, nous devons faire de même, nous ne pouvons pas nous contenter des paroles: nous devons concrétiser notre Amour de Dieu et de nos frères par des actes.
Les Œuvres de Miséricorde —sept spirituelles et sept corporelles— que nous propose l'Église peuvent nous aider, comme une mère qui guide notre chemin, à atteindre ce but.
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
https://jesusaujourdhui.mariedenazareth.com/2022-01-23/aujourdhui-saccomplit-ce-passage-de-lecriture
HYMNE : AU COMMENCEMENT
Au commencement
Etait le Verbe !
Il était en Dieu !
Il était Dieu !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Il était la Vie,
Notre lumière.
La lumière luit
Dans notre nuit !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Qui croit en son nom
A Dieu pour Père !
Qui l'aura reçu
Ne mourra plus !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Le Verbe fait chair,
Parmi les hommes
A manifesté
La vérité !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Nous tenons de Lui
Grâce sur grâce !
Il a révélé
Le Dieu caché !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Et par Jésus Christ,
Le Fils unique,
Un jour, de nos yeux,
Nous verrons Dieu !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
HYMNE : N’ALLONS PLUS NOUS DÉROBANT
N’allons plus nous dérobant
À l’Esprit qui régénère :
Le Seigneur est ressuscité !
Un sang neuf coule aux artères
Du corps entier.
La nuit du temps
Se change en lumière :
L’homme était mort, il est vivant.
N’allons plus à contre-voie
De Celui qui nous entraîne :
Le Seigneur est ressuscité !
Dans sa chair monte, soudaine,
L’éternité.
Il rend leur poids
Aux jours, aux semaines,
Les achemine vers la joie.
N’allons plus sans feu ni lieu
Quand Jésus nous accompagne :
Le Seigneur est ressuscité !
Le voici pain sur la table
Des baptisés.
Présent de Dieu
Offert en partage :
Christ aujourd’hui ouvre nos yeux.
Nous irons portant plus haut
Notre foi dans la victoire :
Le Seigneur est ressuscité !
L’univers chante la gloire
Des rachetés.
Le feu et l’eau
Emportent l’histoire,
Dieu nous appelle avec l’Agneau
HYMNE : RESTE AVEC NOUS, SEIGNEUR JÉSUS
Reste avec nous, Seigneur Jésus,
Toi, le convive d’Emmaüs ;
Au long des veilles de la nuit,
Ressuscité, tu nous conduis.
Prenant le pain, tu l’as rompu,
Alors nos yeux t’ont reconnu,
Flambée furtive où notre cœur
A pressenti le vrai bonheur.
Le temps est court, nos jours s’en vont,
Mais tu prépares ta maison ;
Tu donnes un sens à nos désirs,
À nos labeurs un avenir.
Toi, le premier des pèlerins,
L’étoile du dernier matin,
Réveille en nous, par ton amour,
L’immense espoir de ton retour.
Oraison du matin (Office des Laudes).
Dieu éternel et tout-puissant, dirige notre vie selon ton Amour, afin qu'au Nom de Ton Fils bien-aimé, nous portions des fruits en abondance.
Parole de Dieu : (Ez 37, 12b-14)… (Office des Laudes).
Ainsi parle Le Seigneur Dieu : je vais ouvrir vos tombeaux et je vous en ferai sortir, ô mon peuple, et je vous ramènerai sur la terre d’Israël.
Vous saurez que je suis Le Seigneur, quand j’ouvrirai vos tombeaux et vous en ferai sortir, ô mon peuple !
Je mettrai en vous mon esprit, et vous vivrez ; je vous installerai sur votre terre, et vous saurez que je suis Le Seigneur : je l’ai dit et je le ferai. Parole du Seigneur.
Parole de Dieu : (1 P 1, 3-5)… (Office des Vêpres).
Béni soit Dieu, Le Père de Jésus-Christ Notre Seigneur : dans sa grande Miséricorde, il nous a fait renaître grâce à la Résurrection de Jésus-Christ pour une vivante Espérance, pour l’héritage qui ne connaîtra ni destruction, ni souillure, ni vieillissement.
Cet héritage vous est réservé dans les Cieux, à vous que la Puissance de Dieu garde par la Foi, en vue du Salut qui est prêt à se manifester à la fin des temps.
Date de dernière mise à jour : 23/01/2022
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