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Eucharistie du Dimanche 14 Juillet 2019 : 15ème Dimanche du Temps Ordinaire (Année C).
Eucharistie du Dimanche 14 Juillet 2019 : 15ème Dimanche du Temps Ordinaire (Année C).
L’Église fait mémoire (facultative) de la Fête de Saint Camille de Lellis, Prêtre et Fondateur d'un Ordre d'infirmiers « les Camilliens » (1550-1614).
(Mais la Célébration du 15ème Dimanche du Temps Ordinaire a la préséance sur la mémoire de la Fête de Saint Camille de Lellis).
Fête de Saint Nicodème, L'Hagiorite de la sainte Montagne (+ 1809).
Fête de la Bienheureuse Angelina de Corbara, Tiers-Ordre régulier de Saint François (+ 1435).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, 2ème lecture, Évangile) :
Livre du Deutéronome 30,10-14… Psaume 19(18),8.9.10.11… Lettre de saint Paul Apôtre aux Colossiens 1,15-20… Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 10,25-37.
Commentaire personnel sur la Parabole du Bon Samaritain.
Commentaire de Saint Ambroise (v. 340-397), Évêque de Milan et Docteur de l'Église.
Autre commentaire de Frère Jean-Christian Lévêque (Carmel).
Autre commentaire de l’Abbé Llucià POU i Sabater (Vic, Barcelona, Espagne).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Dimanche 14 Juillet 2019 : Fête de Saint Camille de Lellis, Prêtre et Fondateur d'un Ordre d'infirmiers « les Camilliens » (1550-1614).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Camille de Lellis.
Dimanche 14 Juillet 2019 : Fête de Saint Nicodème, L'Hagiorite de la sainte Montagne (+ 1809).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Nicodème, L'Hagiorite de la sainte Montagne.
Dimanche 14 Juillet 2019 : Fête de la Bienheureuse Angelina de Corbara, Tiers-Ordre régulier de Saint François (+ 1435).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureuse Angelina de Corbara.
LITURGIE DE LA PAROLE.
Livre du Deutéronome 30,10-14.
Moïse disait au peuple d’Israël : « Écoute la voix du Seigneur ton Dieu, en observant ses ordres et ses commandements inscrits dans ce livre de la Loi ; reviens au Seigneur ton Dieu de tout ton cœur et de toute ton âme.
Car cette loi que je te prescris aujourd'hui n'est pas au-dessus de tes forces ni hors de ton atteinte.
Elle n'est pas dans les cieux, pour que tu dises : « Qui montera aux cieux nous la chercher et nous la faire entendre, afin que nous la mettions en pratique ? »
Elle n'est pas au-delà des mers, pour que tu dises : « Qui se rendra au-delà des mers nous la chercher et nous la faire entendre, afin que nous la mettions en pratique ? »
Elle est tout près de toi, cette Parole, elle est dans ta bouche et dans ton cœur afin que tu la mettes en pratique.
Psaume 19(18),8.9.10.11.
La loi du Seigneur est parfaite,
qui redonne vie ;
la charte du Seigneur est sûre,
qui rend sages les simples.
Les préceptes du Seigneur sont droits,
ils réjouissent le cœur ;
le commandement du Seigneur est limpide,
il clarifie le regard.
La crainte qu'il inspire est pure,
elle est là pour toujours ;
les décisions du Seigneur sont justes
et vraiment équitables :
plus désirables que l'or,
qu'une masse d'or fin,
plus savoureuses que le miel
qui coule des rayons.
Lettre de saint Paul Apôtre aux Colossiens 1,15-20.
Le Christ est l’image du Dieu invisible, le premier-né par rapport à toute créature,
car c'est en lui que tout a été créé dans les cieux et sur la terre, les êtres visibles et les puissances invisibles : tout est créé par lui et pour lui.
Il est avant tous les êtres, et tout subsiste en lui.
Il est aussi la tête du corps, c'est-à-dire de l'Église. Il est le commencement, le premier-né d'entre les morts, puisqu'il devait avoir en tout la primauté.
Car Dieu a voulu que dans le Christ toute chose ait son accomplissement total.
Il a voulu tout réconcilier par lui et pour lui, sur la terre et dans les cieux, en faisant la paix par le sang de sa croix.
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 10,25-37.
Pour mettre Jésus à l'épreuve, un docteur de la Loi lui posa cette question : « Maître, que dois-je faire pour avoir part à la vie éternelle ? »
Jésus lui demanda : « Dans la Loi, qu'y a-t-il d'écrit ? Que lis-tu ? »
L'autre répondit : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de tout ton esprit, et ton prochain comme toi-même. »
Jésus lui dit : « Tu as bien répondu. Fais ainsi et tu auras la vie. »
Mais lui, voulant montrer qu'il était un homme juste, dit à Jésus : « Et qui donc est mon prochain ? »
Jésus reprit : « Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho, et il tomba sur des bandits ; ceux-ci, après l'avoir dépouillé, roué de coups, s'en allèrent en le laissant à moitié mort.
Par hasard, un prêtre descendait par ce chemin ; il le vit et passa de l'autre côté.
De même un lévite arriva à cet endroit ; il le vit et passa de l'autre côté.
Mais un Samaritain, qui était en voyage, arriva près de lui ; il le vit et fut saisi de pitié.
Il s'approcha, pansa ses plaies en y versant de l'huile et du vin ; puis il le chargea sur sa propre monture, le conduisit dans une auberge et prit soin de lui.
Le lendemain, il sortit deux pièces d'argent, et les donna à l'aubergiste, en lui disant : 'Prends soin de lui ; tout ce que tu auras dépensé en plus, je te le rendrai quand je repasserai. '
Lequel des trois, à ton avis, a été le prochain de l'homme qui était tombé entre les mains des bandits ? »
Le docteur de la Loi répond : « Celui qui a fait preuve de bonté envers lui. » Jésus lui dit : « Va, et toi aussi fais de même. »
Commentaire personnel sur la Parabole du Bon Samaritain.
http://reflexionchretienne.e-monsite.com/pages/articles-divers/commentaires-textes-bibliques/evangile-du-bon-samaritain-luc-10-29-37.html
Évangile du Bon Samaritain (LUC 10 29-37).
(Ouvrir le lien ci-dessus).
Commentaire du jour.
Saint Ambroise (v. 340-397), Évêque de Milan et Docteur de l'Église.
Commentaire sur l'Évangile de Luc, 7,73 ; SC 52 (trad. cf SC, p. 33).
Le Bon Samaritain
« Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho »... Jéricho est le symbole de ce monde où, après avoir été chassé du Paradis, c'est-à-dire de la Jérusalem Céleste, Adam est descendu...
C'est le changement non pas de lieu mais de conduite qui a fait son exil. Quel changement !
Cet Adam qui jouissait d'un bonheur sans inquiétude, dès qu'il s'est abaissé aux fautes de ce monde, a rencontré des larrons...
Qui sont ces larrons, sinon des anges de la nuit et des ténèbres, qui se déguisent parfois en anges de lumière (2Co 11,14), mais qui ne peuvent pas y demeurer ?
Ils commencent par nous dépouiller des vêtements de grâce spirituelle que nous avons reçus : c'est ainsi qu'ils font d'habitude pour nous blesser...
Prends donc garde à ne pas te laisser dépouiller, comme Adam, privé de la protection du commandement de Dieu et dépourvu du vêtement de la Foi.
Voilà pourquoi il a reçu la blessure mortelle à laquelle tout le genre humain aurait succombé, si le Samaritain n'était descendu guérir ses blessures affreuses.
Ce n'est pas n'importe qui, ce Samaritain : celui que le Prêtre et le Lévite avaient dédaigné, lui ne l'a pas dédaigné...
Ce Samaritain descendait : « Qui est descendu du Ciel, sinon celui qui est monté au Ciel, le Fils de l'homme, qui est au Ciel ? » (Jn 3,13)
Voyant à demi mort cet homme que personne avant lui n'avait pu guérir..., il s'est approché de lui ; c'est-à-dire qu'en acceptant de souffrir avec nous, il s'est fait notre prochain et qu'en exerçant la Miséricorde envers nous, il s'est fait notre voisin.
Autre commentaire du jour.
https://www.carmel.asso.fr/15eme-dimanche-T-O-C.html
Frère Jean-Christian Lévêque (Carmel).
Le Bon Samaritain
Nous n’allons pas reprendre aujourd’hui tous les détails de cette parabole de Jésus, si fraîche, si sobre, sur laquelle nous méditons depuis des années. Allons droit à l’essentiel, et essayons d’entrer dans la pédagogie de Jésus.
Ce qui frappe tout d’abord, c’est que Jésus répond à une question en questionnant à son tour.
Le scribe lui demande : « Que dois-je faire ? » Jésus répond : « Que lis-tu ? »
Le scribe ne questionnait pas tant pour savoir la vérité que pour mettre Jésus à l’épreuve en l’entraînant sur le terrain des querelles théologiques.
Jésus ne relève pas l’agressivité de cette question-piège, et il ramène l’homme face à la vérité qu’il ne cherchait pas vraiment.
Il lui dit, en quelque sorte : la réponse, tu la connais, et c’est toi qui vas me la donner.
Et de fait le scribe rapproche infailliblement deux versets du Deutéronome et du Lévitique.
Ainsi en va-t-il souvent des questions que nous posons à Dieu : « Que dois-je faire ? Quel est le sens de ma vie ? Comment cela se fera-t-il ? Comment ce que je vis débouchera-t-il sur la Vie éternelle ? »
Jésus pourrait nous dire : la réponse, tu la connais déjà ; Mon Père depuis longtemps te l’a livrée.
Effectivement, au niveau de la mémoire et du raisonnement, à partir de la Parole de Dieu nous sommes capables d’articuler une réponse très sensée et que nous savons définitive, nous sommes à même de « bien répondre », sans que cela change notre Vie.
Or Jésus nous attend au niveau de la Vie et de l’action : « Fais cela et tu vivras » ; « engage dans ta relation au Père toutes les ressources de ton affectivité et de ton intelligence, aime-le avec la passion de le connaître, et comprends-le avec ton cœur. Use tes forces à le chercher.
Redis sans cesse : ’Abba, Père !’ C’est cela qui fait vivre ! Et puis refais chaque jour pour chacun de tes frères le rêve de bonheur que tu fais pour toi.
Désire intensément pour lui la liberté que tu veux pour toi, la beauté et la paix que tu cherches pour toi. Fais cela, fais-le de grand cœur, et tu auras la vie. »
Autre trait frappant de la pédagogie de Jésus : il aime renverser les perspectives.
Le scribe lui demande : « Qui est mon prochain ? » Jésus répond : « Celui dont tu rends proche ».
Ton prochain, ce n’est pas une catégorie d’hommes bien déterminée que tu connaîtrais à l’avance ; mais c’est tout homme, car tu peux te rapprocher de tout homme et rendre tout homme tout proche de toi.
Ainsi Jésus étend à toute l’humanité le champ de notre Amour. Souvent le prochain sera fortuit, et nous n’aurons pas de raison spéciale de l’aimer ou de nous rendre proches de lui, pas d’autre motif qu’une rencontre ménagée par Le Seigneur.
Le Samaritain aurait eu mille raisons de laisser agoniser ce Judéen au bord de la route ; mais, simplement, « il l’a vu et il en a eu pitié ».
C’est toujours ainsi que commence la Charité : il faut savoir regarder et rester vulnérable au malheur, aux besoins et aux appels.
Mais on ne sait jamais où la Charité finira : après le moment de la pitié vient le moment de la Charité active ; après les soins d’urgence viendra le transport du blessé, puis s’ajouteront les frais d’auberge ou d’hôpital.
Car c’est souvent un blessé, un frère blessé, une sœur blessée, que Jésus met sur notre route.
Or un blessé ne peut pas faire grand-chose pour se soigner et pour guérir : il a besoin de nous.
Une chose est certaine : si on ramasse le blessé, il faudra repasser le voir ; si on s’arrête quand un homme souffre, il faut s’attendre à payer la note à la place des bandits.
Si nous nous arrêtons tout au long de la route chaque fois qu’un frère ou une sœur ont besoin de nous, nous arriverons sans doute en retard pour beaucoup de choses, nous aurons perdu le temps de bien des joies et l’argent de bien des négoces, mais nous aurons vécu pour l’unique nécessaire, car en nous faisant tout proches du plus perdu, du plus seul, du plus désespéré de nos frères, nous nous serons approchés tout près du Cœur de Dieu.
Fr. Jean-Christian Lévêque, o.c.d.
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_135
Abbé Llucià POU i Sabater (Vic, Barcelona, Espagne).
«Un Samaritain (…) le vit et fut saisi de pitié. Il s'approcha, pansa ses plaies en y versant de l'huile et du vin; puis il le chargea sur sa propre monture»
Aujourd'hui, nos nous demandons: «Et qui donc est mon prochain?» (Lc 10,29). On raconte de certains juifs, curieux de voir disparaître leur rabbin la vigile du samedi.
Ils soupçonnèrent qu'il gardait un secret, peut-être avec Dieu, et confièrent à l'un deux la tâche de le suivre…
Et ainsi il le fit, plein d'émotion, jusqu'à un recoin misérable de la ville, où il vit le rabbin balayer la maison d'une femme: elle était paralytique, et il la servait et lui préparait un repas spécial pour la vigile.
Lorsque l'espion revint, on lui demanda: «Où a-t-il été? Au ciel, entre les nuages ou les étoiles?». Et ce dernier lui répondit: «Non, il est monté beaucoup plus haut».
Aimer son prochain avec des actes concrets est ce qui le plus haut; c'est là où se manifeste l'Amour. Ne pas passer tout droit!
«C'est le propre Christ qui crie à travers les pauvres pour réveiller la charité de ses disciples», affirme le Concile Vatican II dans un document.
Faire le “bon samaritain” signifie changer ses plans («arriva près de lui»), dédier du temps («prit soin de lui»)…
Ceci nous amène aussi à examiner le personnage de l'aubergiste, comme dit Jean-Paul II: «Qu'aurait-il pu faire sans lui? En effet, l'aubergiste, qui demeure dans l'anonymat, a réalisé la grande partie de la tâche.
Tous nous pouvons nous comporter comme lui, remplissant les tâches qui nous sont propres avec esprit de service.
Tout travail nous offre l'opportunité, plus ou moins directe, d'aider celui qui a besoin (…).
La fidèle réalisation des devoirs professionnels consiste déjà à aimer les personnes et la société».
Tout laisser derrière nous pour recevoir celui qui a plus besoin (le bon samaritain) et bien faire son travail par Amour (l'aubergiste), sont les deux formes d'amour qui nous correspondent:
«‘Lequel (…) à ton avis, a été le prochain?`. ’Celui qui a fait preuve de bonté envers lui`. Jésus lui dit: `Va, et toi aussi fais de même’» (Lc 10,36-37).
Recourrons à la Vierge Marie et Elle —qui est le modèle— nous aidera à découvrir les nécessités des autres, matérielles et spirituelles.
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
https://us3.campaign-archive.com/?e=b033ba685c&u=bbaf519c73482457368060b5b&id=ecb91f6539
HYMNE : AU COMMENCEMENT
Au commencement
Etait le Verbe !
Il était en Dieu !
Il était Dieu !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Il était la Vie,
Notre lumière.
La lumière luit
Dans notre nuit !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Qui croit en son nom
A Dieu pour Père !
Qui l'aura reçu
Ne mourra plus !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Le Verbe fait chair,
Parmi les hommes
A manifesté
La vérité !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Nous tenons de Lui
Grâce sur grâce !
Il a révélé
Le Dieu caché !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Et par Jésus Christ,
Le Fils unique,
Un jour, de nos yeux,
Nous verrons Dieu !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
HYMNE : N’ALLONS PLUS NOUS DÉROBANT
N’allons plus nous dérobant
À l’Esprit qui régénère :
Le Seigneur est ressuscité !
Un sang neuf coule aux artères
Du corps entier.
La nuit du temps
Se change en lumière :
L’homme était mort, il est vivant.
N’allons plus à contre-voie
De Celui qui nous entraîne :
Le Seigneur est ressuscité !
Dans sa chair monte, soudaine,
L’éternité.
Il rend leur poids
Aux jours, aux semaines,
Les achemine vers la joie.
N’allons plus sans feu ni lieu
Quand Jésus nous accompagne :
Le Seigneur est ressuscité !
Le voici pain sur la table
Des baptisés.
Présent de Dieu
Offert en partage :
Christ aujourd’hui ouvre nos yeux.
Nous irons portant plus haut
Notre foi dans la victoire :
Le Seigneur est ressuscité !
L’univers chante la gloire
Des rachetés.
Le feu et l’eau
Emportent l’histoire,
Dieu nous appelle avec l’Agneau
HYMNE : RESTE AVEC NOUS, SEIGNEUR JÉSUS
Reste avec nous, Seigneur Jésus,
Toi, le convive d’Emmaüs ;
Au long des veilles de la nuit,
Ressuscité, tu nous conduis.
Prenant le pain, tu l’as rompu,
Alors nos yeux t’ont reconnu,
Flambée furtive où notre cœur
A pressenti le vrai bonheur.
Le temps est court, nos jours s’en vont,
Mais tu prépares ta maison ;
Tu donnes un sens à nos désirs,
À nos labeurs un avenir.
Toi, le premier des pèlerins,
L’étoile du dernier matin,
Réveille en nous, par ton amour,
L’immense espoir de ton retour.
Oraison du matin (Office des Laudes)... Propre à Saint Camille de Lellis.
Tu as donné Seigneur, à Saint Camille la Grâce d’une étonnante Charité envers les malades ; répands encore en nous Ton Esprit d’Amour, et quand nous t’aurons servi dans nos frères, nous pourrons, à l’heure de quitter ce monde, nous en aller vers Toi en toute Paix.
Oraison du matin (Office des Laudes).
Dieu qui montres aux égarés la Lumière de ta Vérité pour qu'ils puissent reprendre le bon chemin ; donne à tous ceux qui se déclarent Chrétiens de rejeter ce qui est indigne de ce nom, et de rechercher ce qui lui fait honneur.
Parole de Dieu : (Ez 37, 12b-14)… (Office des Laudes).
Ainsi parle Le Seigneur Dieu : je vais ouvrir vos tombeaux et je vous en ferai sortir, ô mon peuple, et je vous ramènerai sur la terre d’Israël.
Vous saurez que je suis Le Seigneur, quand j’ouvrirai vos tombeaux et vous en ferai sortir, ô mon peuple !
Je mettrai en vous Mon Esprit, et vous vivrez ; je vous installerai sur votre Terre, et vous saurez que je suis Le Seigneur : je l’ai dit et je le ferai.
Parole du Seigneur.
Parole de Dieu : (1 P 1, 3-5)… (Office des Vêpres).
Béni soit Dieu, Le Père de Jésus-Christ Notre Seigneur : dans sa grande Miséricorde, il nous a fait renaître grâce à la Résurrection de Jésus-Christ pour une vivante Espérance, pour l’Héritage qui ne connaîtra ni destruction, ni souillure, ni vieillissement.
Cet Héritage vous est réservé dans les Cieux, à vous que la puissance de Dieu garde par la Foi, en vue du Salut qui est prêt à se manifester à la fin des temps.
Date de dernière mise à jour : 14/07/2019
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