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- Eucharistie du Mercredi 12 Octobre 2016 : Mercredi de la 28ème semaine du Temps Ordinaire.
Eucharistie du Mercredi 12 Octobre 2016 : Mercredi de la 28ème semaine du Temps Ordinaire.
Eucharistie du Mercredi 12 Octobre 2016 : Mercredi de la 28ème semaine du Temps Ordinaire.
Fête de Saint Séraphin de Montegranaro, o.f.m., Capucin (1540-1604).
Fête de Saint Wilfrid, Évêque d'York (634-709).
Fête de la Bienheureuse Jeanne Leber, Recluse de Ville-Marie (1662-1714).
Fête du Bienheureux Louis Brisson, Prêtre du diocèse de Troyes, Fondateur des Oblates et des Oblats de Saint-François de Sales (1817-1908).
Fête de l’anniversaire de la mort de Maria Valtorta (1897-1961).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Lettre de saint Paul Apôtre aux Galates 5,18-25… Psaume 1,1-2.3-4a.4bc-6… Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 11,42-46.
Commentaire : Les Sentences des Pères du désert (4e-5e siècles).
Autre commentaire d’Isaac le Syrien (7e siècle), Moine près de Mossoul.
Autre commentaire de ma femme, Myriam de Gemma, sur l’Évangile de ce jour.
Autre commentaire de Frère Dominique, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Joaquim FONT i Gassol (Igualada, Barcelona, Espagne).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Mercredi 12 Octobre 2016 : Fête de Saint Séraphin de Montegranaro, o.f.m., Capucin (1540-1604).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Séraphin de Montegranaro.
Mercredi 12 Octobre 2016 : Fête de Saint Wilfrid, Évêque d'York (634-709).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Wilfrid, Évêque d'York.
Mercredi 12 Octobre 2016 : Fête de la Bienheureuse Jeanne Leber, Recluse de Ville-Marie (1662-1714).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureuse Jeanne Leber.
Mercredi 12 Octobre 2016 : Fête du Bienheureux Louis Brisson, Prêtre du diocèse de Troyes, Fondateur des Oblates et des Oblats de Saint-François de Sales (1817-1908).
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Bienheureux Louis Brisson.
Mercredi 12 Octobre 2016 : Fête de l’anniversaire de la mort de Maria Valtorta (1897-1961).
Vierge et Mystique. Elle n’est pas encore Béatifiée, mais elle a eu une vie de « victime » offerte pour l’Amour de Dieu.
Elle est l’auteur de l’Évangile tel qu’il m’a été révélé, écrit de 1943 à 1950.
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Maria Valtorta.
LITURGIE DE LA PAROLE.
Lettre de saint Paul Apôtre aux Galates 5,18-25.
Frères, en vous laissant conduire par l'Esprit, vous n'êtes plus sujets de la Loi.
On sait bien à quelles actions mène la chair : débauche, impureté, obscénité,
idolâtrie, sorcellerie, haines, querelles, jalousie, colère, envie, divisions, sectarisme,
rivalités, beuveries, gloutonnerie et autres choses du même genre. Je vous préviens, comme je l'ai déjà fait : ceux qui agissent de cette manière ne recevront pas en héritage le royaume de Dieu.
Mais voici ce que produit l'Esprit : amour, joie, paix, patience, bonté, bienveillance, foi,
humilité et maîtrise de soi. Face à tout cela, il n'y a plus de loi qui tienne.
Ceux qui sont au Christ Jésus ont crucifié en eux la chair, avec ses passions et ses tendances égoïstes.
Puisque l'Esprit nous fait vivre, laissons-nous conduire par l'Esprit.
Psaume 1,1-2.3-4a.4bc-6.
Heureux est l'homme
qui n'entre pas au conseil des méchants,
qui ne suit pas le chemin des pécheurs,
ne siège pas avec ceux qui ricanent,
mais se plaît dans la loi du Seigneur
et murmure sa loi jour et nuit !
Il est comme un arbre
planté près d'un ruisseau,
qui donne du fruit en son temps,
et jamais son feuillage ne meurt ;
tout ce qu'il entreprend réussira,
tel n'est pas le sort des méchants.
Mais ils sont comme la paille
balayée par le vent :
au jugement, les méchants ne se lèveront pas,
ni les pécheurs au rassemblement des justes.
Le Seigneur connaît le chemin des justes,
mais le chemin des méchants se perdra.
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 11,42-46.
Jésus disait : "Malheureux êtes-vous, pharisiens, parce que vous payez la dîme sur toutes les plantes du jardin, comme la menthe et la rue, et vous laissez de côté la justice et l'amour de Dieu. Voilà ce qu'il fallait pratiquer, sans abandonner le reste.
Malheureux êtes-vous, pharisiens, parce que vous aimez les premiers rangs dans les synagogues, et les salutations sur les places publiques.
Malheureux êtes-vous, parce que vous êtes comme ces tombeaux qu'on ne voit pas et sur lesquels on marche sans le savoir. »
Alors un docteur de la Loi prit la parole : « Maître, en parlant ainsi, c'est nous aussi que tu insultes. »
Jésus reprit : « Vous aussi, les docteurs de la Loi, malheureux êtes-vous, parce que vous chargez les gens de fardeaux impossibles à porter, et vous-mêmes, vous ne touchez même pas ces fardeaux d'un seul doigt.
Commentaire du jour.
Les Sentences des Pères du désert (4e-5e siècles).
Collection systématique, ch. 9 ; SC 387 (trad. SC, p. 427s).
« Malheureux êtes-vous, parce que vous chargez les gens de fardeaux impossibles à porter »
Un frère qui avait péché fut chassé de l'église par le Prêtre ; abba Bessarion se leva et sortit avec lui en disant : « Moi aussi, je suis un pécheur »...
Un frère fauta une fois à Scété. On tint un conseil, auquel on convoqua abba Moïse. Mais celui-ci refusa de venir.
Alors le Prêtre lui envoya dire : « Viens, car tout le monde t'attend. » Il se leva, et vint avec une corbeille percée qu'il remplit de sable qu'il mit sur son dos et qu'il porta ainsi.
Les autres, sortis à sa rencontre, lui dirent : « Qu'est-ce que cela, père ? »
Le vieillard dit : « Mes fautes sont en train de s'écouler derrière moi et je ne les vois pas ; et moi, je suis venu aujourd'hui pour juger les fautes d'autrui ? » Entendant cela, ils ne dirent rien au frère, mais lui pardonnèrent.
Abba Joseph interrogea abba Poemen en disant : « Dis-moi comment devenir Moine. » Le vieillard dit : « Si tu veux trouver du repos ici-bas et dans le monde à venir, dis en toute occasion :
Moi, qui suis-je ? Et ne juge personne. »
Un frère interrogea le même abba Poemen en disant : « Si je vois une faute de mon frère, est-il bien de la cacher ? »
Le vieillard dit : « À l'heure où nous cachons les fautes de notre frère, Dieu lui aussi cache les nôtres, et à l'heure où nous manifestons les fautes de notre frère, Dieu lui aussi manifeste les nôtres. »
Commentaire du jour.
Isaac le Syrien (7e siècle), Moine près de Mossoul.
Discours ascétiques, 1ère série, n°60
« Malheureux êtes-vous, docteurs de la Loi, parce que vous chargez les autres de fardeaux impossibles »
La sobriété vigilante aide l'homme plus que les œuvres extérieures... Comment est-ce que quelqu'un pourrait vraiment dominer les désirs corporels –- le relâchement, la colère, la gourmandise –- et ne pas acquérir la douceur ?
S'il s'exerce avec discernement, le détachement de tout, le refus du confort corporel et de l'opinion des autres suivent ; si, pour l'Amour de Dieu, quelqu'un accueille avec diligence et joie le mal qu'on lui fait, il est pur en son cœur (Mt 5,8). Et s'il ne méprise personne, il est vraiment libre...
Ne nourris pas de haine pour le pécheur, car nous sommes tous coupables. Si, pour l'Amour de Dieu, tu le blâmes, pleure sur lui.
Pourquoi le haïrais-tu ? Ce sont ses péchés qu'il convient de haïr, tout en priant pour lui, si tu veux ressembler au Christ : loin de s'indigner contre les pécheurs, il priait pour eux (Lc 23,34)...
Toi qui n'es qu'un homme, pourquoi mépriser le pécheur ? Est-ce parce qu'il lui manque ta vertu ? Mais où donc est ta vertu si tu manques de charité ?
Autre commentaire de ma femme, Myriam de Gemma, sur l’Évangile de ce jour.
http://passionistedepolynesie.e-monsite.com/pages/enseignement-myriam-de-gemma/reflexions-bibliques/luc/luc-11-42-46.html
Méditation du 15 Octobre 2014
Voila un texte clair qui nous renvoie à la vérité de notre cœur, de notre conscience !
Jésus n’y va pas par quatre chemins, il se fait même incisif et pour lui, on ne peut jouer à paraitre ce que l’on n’est pas.
Dans notre monde, il faut paraitre. Tu es bien vu, estimé si tu es bien habillé, si tu as une belle maison, une belle voiture, etc. Tout est basé sur l’apparence extérieure.
On ne regarde pas à l’intérieur de l’être humain. On ne cherche pas à savoir si pour payer la belle voiture, on n’a pas privé les enfants de manger. On ne regarde pas non plus au comment de l’acquisition de l’argent pour payer les biens ou au comment de l’acquisition des biens eux-mêmes…
Dans l’Église, malheureusement on peut aussi faire le même constat. Il y a ceux qui se mettent en avant, qui paraissent respectables, se pavanent dans leurs belles tenues, dans leur prestance naturelle, voir dans leurs grands discours….
Et on les met facilement sur un piédestal, jusqu’au jour où se révèle des choses pas très belles ! On est alors déçus et parfois même on a envie de tout quitter …
« Si c’est ça l’Église !....Alors ??? »
Mais Jésus nous dit que la racine de ce mal est dans la vérité du cœur. Regarder à la vie des autres est une chose, mais avant cela il faut d’abord regarder sa propre vie.
Le pharisien c’est chacun de nous, car l’orgueil fait partie de tout être humain. Le tout est de savoir si ce que nous paraissons être, est la vérité ou si c’est du « tape à l’œil » !
Une belle peinture sur un intérieur assez sale.
Si Jésus se fait aussi incisif ce n’est pas qu’il veuille l’exclusion ou la mort des pharisiens et des scribes, c’est qu’il veut au contraire leur ouvrir la porte du Salut en les amenant à la pleine reconnaissance de leur péché, et à un vrai chemin de conversion dans la vérité et l’humilité, où la grâce de Dieu pourra enfin fleurir !
Nous pouvons avoir peur de paraitre tel que nous sommes devant les autres mais ce qui doit compter ce n’est pas tant le regard des autres que le regard de Dieu sur nous.
Et il est sûr que nos fausses apparences, nos états de mensonge ne sont pas pour lui plaire !
Alors continuer dans l’hypocrisie d’une bonne apparence humaine … ou faire la vérité en nous pour correspondre à l’Amour de Dieu ?..... Le choix nous appartient !….
Myriam de Gemma
Autre commentaire du jour.
http://www.homelies.fr/homelie,,3986.html
Frère Dominique, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Vous laissez de côté la Justice et l'Amour de Dieu. Voilà ce qu'il fallait pratiquer, sans abandonner le reste.
Observer la Loi est l’écouter. La Bible ordonne dans ce sens. On n’écoute pas la Parole de Dieu pour éventuellement la mettre en pratique, mais c’est en l’incarnant qu’on l’écoute et qu’on la comprend.
Les interlocuteurs de Jésus savaient cela, mais cette science ne paraît pas leur être d’un grand secours ; « malheureux » sont-ils ceux qui perdent la conscience de leur éloignement de Dieu et de ses volontés.
Peu à peu la mise en pratique est devenue pour eux une suite de prescriptions vides, un formalisme réduisant l’homme à n’être que l’exécutant d’une loi impersonnelle et froide. L’homme n’est plus dans la dynamique de l’amour puisqu’il n’est plus en dialogue. Il ne perçoit plus la vie comme le temps de la découverte de l’amour de Dieu à l’œuvre dans nos vies mais comme une longue épreuve où l’on s’efforce d’atteindre la perfection par ses propres forces.
On essaie alors de vivre la Loi dans ses moindres détails, quelques fois parce qu’il n’y a que les détails qui sont à portée ; souvent en attendant une récompense liée à la soumission manifestée.
Or la Loi est comme la lettre qui la contient : faite de lignes et de courbes, de pleins et de déliés.
Dans la Loi, tout contribue au Salut mais tout n’a pas la même importance. Il ne faut pas perdre de vue que la Loi est au service de la Vie pour comprendre les relations entre les Commandements.
Ainsi Jésus reconnaît le caractère secondaire de certaines affirmations de la Loi et il dénonce ceux qui cherchent à se faire valoir de l’observation de rites.
La comparaison qu’il choisit est rude. Ils sont semblables à des tombeaux cachés, sur lesquels on marche sans le savoir.
L’image frappe un auditoire juif. Parce qu’ils contiennent un cadavre, les tombeaux sont impurs et rendent impurs.
S’ils ne sont pas signalés, on risque de marcher dessus et donc de se rendre soi-même impur.
Jésus veut dire ainsi que les pharisiens ont une apparence irréprochable qui empêche de se prémunir contre eux, de détourner ses pas, et d’être touché par la contagion de leur légalisme desséchant.
Alors un docteur de la Loi, quelqu'un qui a voué sa vie à l’étude la Parole et dont les interprétations règlent la vie quotidienne, se sent, à juste titre, interpellé par Jésus. Jésus le confirme.
Le légiste fait bien partie de ceux qui enferment l’homme dans un carcan étriqué, un écheveau toujours plus détaillé dans lequel les hommes étouffent leur capacité à aimer.
La question que cet Évangile nous pose est celle de l’ordre que nous mettons dans notre vie. Quelles sont nos priorités ?
Connaître les commandements nous semble-t-il suffisant ?
Aujourd’hui, on est peut-être moins tenté par le zèle légaliste ; la prétention de se construire un « christianisme modéré », à géométrie variable, est plus fréquente.
Mais l’aveuglement n’est-il pas le même ?
N’y a-t-il pas là un petit pharisien intérieur qui attire l’attention sur les mille détails qui donnent bonne conscience et « laissent de côté la Justice et l'Amour de Dieu » ?
« Malheureux êtes-vous », nous dit Le Seigneur.
Gardons en mémoire ces deux exemples, celui donné par ceux qui voulaient pratiquer tous les Commandements et perdaient l’essentiel de la Loi, et celui de ceux qui oubliaient de pratiquer les Commandements bien qu’ils prétendaient les enseigner aux autres, et convertissons-nous.
Seigneur Jésus, permet que nous redécouvrions l’ordre des choses, celui qui nous rapproche de toi : mettre tes Commandements en pratique est la seule façon de les écouter et de les comprendre. Garde-nous unis dans ton Amour.
Frère Dominique
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_255
+ Abbé Joaquim FONT i Gassol (Igualada, Barcelona, Espagne).
«Voilà ce qu'il fallait pratiquer, sans abandonner le reste»
Aujourd'hui, nous voyons comment le Divin Maître nous donne quelques leçons: entre autres, il nous parle de la dîme ainsi que de la cohérence que doivent avoir tous les éducateurs (parents, enseignants et tout apôtre Chrétien).
Dans l'Évangile selon Saint Luc de la Messe de ce jour, l'enseignement est transmis de manière plus "synthétique", mais dans les passages parallèles de Matthieu il est beaucoup plus vaste et concret.
Toute la pensée du Seigneur conclut que nos principales préoccupations doivent être la Justice, la Charité, la Miséricorde et la Fidélité (cf. Lc 11,42).
La dîme de l'Ancien testament ainsi que notre actuelle contribution à l'Église, selon les lois et coutumes, vont dans la même direction.
Mais donner une valeur de loi obligatoire à des petites choses –comme le faisaient les maîtres de la loi– est exagéré et fatigant: «malheureux êtes-vous, parce que vous chargez les gens de fardeaux impossibles à porter, et vous-mêmes, vous ne touchez même pas ces fardeaux d'un seul doigt» (Lc 11,46).
Il est vrai que les personnes qui veulent devenir meilleures font preuve de marque de générosité remarquable.
Récemment, nous avons eu des exemples de personnes qui donnent à l'Église et aux pauvres les 10% de leur récolte, d'autres réservent les premiers fruits, le meilleur fruit de leur potager, ou bien ils offrent un montant égal à celui qu'ils ont consacré à leurs vacances, d'autres donnent le fruit de leur travail, et tout cela aux même fins.
On discerne dans tout cela l'esprit de l'Évangile mis en pratique. L'amour est ingénieux, à travers des petites choses, il obtient de la Joie et du mérite devant Dieu.
Le Bon Pasteur marche devant son troupeau. Les bons pères sont des modèles: ils donnent le bon exemple à suivre par les autres.
Les bons éducateurs s'efforcent de vivre en vertu des principes qu'ils enseignent. C'est cela la cohérence, pas seulement en partie mais totalement: Vie de Tabernacle, dévotion à la Sainte Vierge, petits services rendus dans notre foyer, répandre la bonne humeur chrétienne…
«Les grandes âmes prennent beaucoup en compte les petites choses» (Saint Josémarie).
Hymne : Ouvre mes yeux, Seigneur
Ouvre mes yeux, Seigneur,
Aux merveilles de ton amour.
Je suis l’aveugle sur le chemin ;
Guéris-moi, je veux te voir.
Ouvre mes mains, Seigneur,
Qui se ferment pour tout garder.
Le pauvre a faim devant ma maison ;
Apprends-moi à partager.
Fais que je marche, Seigneur,
Aussi dur que soit le chemin.
Je veux te suivre jusqu’à la croix ;
Viens me prendre par la main.
Fais que j’entende, Seigneur,
Tous mes frères qui crient vers moi.
À leur souffrance et à leurs appels,
Que mon cœur ne soit pas sourd !
Garde ma foi, Seigneur :
Tant de voix proclament ta mort !
Quand vient le soir, et le poids du jour,
Ô Seigneur, reste avec moi.
Oraison du matin (Office des Laudes).
Souviens-toi, Seigneur, de ton Alliance scellée dans le Sang de Ton Fils, rappelle à ton peuple le Pardon que tu lui offres, et rends-lui la Joie d'être sauvé.
Parole de Dieu : (Dt 4, 39-40a)... (Office des Laudes).
Sache donc aujourd’hui, et médite cela dans ton cœur : Le Seigneur est Dieu, là-haut dans le Ciel comme ici-bas sur la Terre, et il n’y en a pas d’autre.
Tu garderas tous les jours les Commandements et les ordres du Seigneur que je te donne aujourd’hui.
Parole de Dieu : (1 Jn 2, 3-6)... (Office des Vêpres).
Voici comment nous pouvons savoir que nous connaissons Jésus Christ : c’est en gardant ses Commandements.
Celui qui dit : « Je le connais », et qui ne garde pas ses Commandements, est un menteur : la Vérité n’est pas en lui.
Mais en celui qui garde fidèlement sa Parole, l’Amour de Dieu atteint vraiment la perfection : voilà comment nous reconnaissons que nous sommes en Lui.
Celui qui déclare demeurer en Lui doit marcher lui-même dans la voie où Lui, Jésus, a marché.
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