Eucharistie du Mercredi 05 Août 2015 : Mercredi de la 18ème semaine du Temps Ordinaire.

Eucharistie du Mercredi 05 Août 2015 : Mercredi de la 18ème semaine du Temps Ordinaire.

L’Église fait mémoire (facultative) de la Fête de la Dédicace de la Basilique Sainte Marie-Majeure.

Fête de Saint Abel de Lobbes, Bénédictin, Archevêque de Reims (✝ 770).
Fête de Saint Memmie, 1er Évêque de Chalons en Champagne (3ème s.).


Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Livre des Nombres 13,1-2.25-33.14,1.26-29.34-35… Psaume 106(105),6-7ab.13-14.21-22.23… Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 15,21-28.
Commentaire de Saint Hilaire (v. 315-367), Évêque de Poitiers et Docteur de l'Église.
Autre commentaire du Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Jordi CASTELLET i Sala (Sant Hipòlit de Voltregà, Barcelona, Espagne).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

13 jpg

Mercredi 05 Août 2015 : Fête de la Dédicace de la Basilique Sainte Marie-Majeure.
Pour en découvrir davantage sur cette Fête, aller dans le menu déroulant à « Les Fêtes Catholiques » ou sur le lien suivant :
Fête de la Dédicace de la Basilique Sainte Marie-Majeure.

Reims 51 saint remi baie 204 2

Mercredi 05 Août 2015 : Fête de Saint Abel de Lobbes, Bénédictin, Archevêque de Reims (✝ 770).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Abel de Lobbes.

Memmie

Mercredi 05 Août 2015 : Fête de Saint Memmie, 1er Évêque de Chalons en Champagne (3ème s.).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Memmie, 1er Évêque de Chalons en Champagne.

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Livre des Nombres 13,1-2.25-33.14,1.26-29.34-35.
En ces jours-là, dans le désert de Parane, le Seigneur parla à Moïse. Il dit :
« Envoie des hommes pour explorer le pays de Canaan que je donne aux fils d’Israël. Vous enverrez un homme par tribu patriarcale, chacun d’eux sera un responsable. »
Au bout de quarante jours, ces envoyés revinrent, après avoir exploré le pays.
Ils allèrent trouver Moïse, Aaron et toute la communauté des fils d’Israël, à Cadès, dans le désert de Parane. Ils firent leur rapport devant eux et devant toute la communauté, et ils leur montrèrent les fruits du pays.
Ils firent ce récit à Moïse : « Nous sommes allés dans le pays où tu nous as envoyés. Vraiment, il ruisselle de lait et de miel, et voici ses fruits.
Cependant le peuple qui l’habite est puissant, ses villes sont fortifiées et très grandes. Nous y avons même vu des descendants d’Anaq.
Les Amalécites habitent le pays du Néguev ; les Hittites, les Jébuséens et les Amorites habitent la montagne ; les Cananéens habitent le bord de la mer et les rives du Jourdain. »
Caleb imposa silence au peuple qui faisait face à Moïse et il dit : « Allons-y ! Montons prendre possession de ce pays. Oui, nous nous en rendrons maîtres. »
Mais les autres hommes de l’expédition répliquèrent : « Nous ne pouvons pas marcher contre ce peuple, car il est plus fort que nous. »
Et, s’adressant aux fils d’Israël, ils se mirent à dénigrer le pays qu’ils avaient exploré : « Le pays que nous avons parcouru pour l’explorer est un pays qui dévore ceux qui veulent s’y installer. Tous les hommes que nous y avons vus sont de très haute taille.
Nous y avons même vu des géants, des fils d’Anaq, des descendants de géants. À côté d’eux, nous avions l’air de sauterelles, et c’est bien ainsi qu’ils nous voyaient. »
Alors toute la communauté éleva la voix, se mit à crier ; et le peuple pleura cette nuit-là.
Le Seigneur parla à Moïse et à son frère Aaron. Il dit :
« Combien de temps aurai-je affaire à cette communauté mauvaise qui récrimine contre moi ? Les récriminations des fils d’Israël contre moi, je les ai entendues.
Tu leur diras : “Aussi vrai que je suis vivant – oracle du Seigneur –, je vous traiterai selon vos paroles mêmes qui sont arrivées jusqu’à mes oreilles.
Vous tous qu’on a recensés, les hommes de vingt ans et plus, vous qui avez récriminé contre moi, vos cadavres resteront dans ce désert.
Vous avez exploré le pays pendant quarante jours, chaque jour vaudra une année : vous porterez donc le poids de vos fautes pendant quarante ans, et vous saurez ce qu’il en coûte d’encourir ma réprobation.”
Moi, le Seigneur, j’ai parlé. Oui, c’est ainsi que je traiterai cette communauté mauvaise liguée contre moi. Dans ce désert, tous finiront leur vie : là, ils mourront. »

 

Psaume 106(105),6-7ab.13-14.21-22.23.
Avec nos pères, nous avons péché,
nous avons failli et renié.
En Égypte, nos pères ont méconnu tes miracles,
oublié l'abondance de tes grâces.

Ils s'empressent d'oublier ce qu'il a fait,
sans attendre de connaître ses desseins.
Ils se livrent à leur convoitise dans le désert ;
là, ils mettent Dieu à l'épreuve.

Ils oublient le Dieu qui les sauve,
qui a fait des prodiges en Égypte,
des miracles au pays de Cham,
des actions terrifiantes sur la mer Rouge.

Dieu a décidé de les détruire.
C'est alors que Moïse, son élu,
surgit sur la brèche, devant lui,
pour empêcher que sa fureur les extermine.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 15,21-28.
En ce temps-là, Jésus se retira dans la région de Tyr et de Sidon.
Voici qu’une Cananéenne, venue de ces territoires, disait en criant : « Prends pitié de moi, Seigneur, fils de David ! Ma fille est tourmentée par un démon. »
Mais il ne lui répondit pas un mot. Les disciples s’approchèrent pour lui demander : « Renvoie-la, car elle nous poursuit de ses cris ! »
Jésus répondit : « Je n’ai été envoyé qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël. »
Mais elle vint se prosterner devant lui en disant : « Seigneur, viens à mon secours ! »
Il répondit : « Il n’est pas bien de prendre le pain des enfants et de le jeter aux petits chiens. »
Elle reprit : « Oui, Seigneur ; mais justement, les petits chiens mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres. »
Jésus répondit : « Femme, grande est ta foi, que tout se passe pour toi comme tu le veux ! » Et, à l’heure même, sa fille fut guérie.

 

Commentaire du jour.
Saint Hilaire (v. 315-367), Évêque de Poitiers et Docteur de l'Église.
Commentaire de l'Évangile de Matthieu, 15 ; SC 258 (trad. SC p. 39 rev.)

« Ma fille est tourmentée par un démon »

Cette Cananéenne païenne n'a plus besoin elle-même de guérison, puisqu'elle confesse Le Christ comme Seigneur et Fils de David, mais elle demande du secours pour sa fille, c'est-à-dire pour la foule païenne prisonnière de la domination d'esprits impurs.
Le Seigneur se tait, gardant par son silence le privilège du Salut à Israël... Portant en lui le mystère de la volonté du Père, il répond qu'il a été envoyé aux brebis perdues d'Israël, pour que ce soit d'une clarté évidente que la fille de la Cananéenne est le symbole de l'Église...
Il ne s'agit pas que le Salut ne soit pas donné aussi aux païens, mais Le Seigneur était venu « pour les siens et chez lui » (Jn 1,11), et il attendait les prémices de la Foi de ce peuple dont il était sorti, les autres devant être sauvés ensuite par la prédication des apôtres...

Et pour que nous comprenions que le silence du Seigneur provient de la considération du temps et non d'un obstacle mis par sa volonté, il ajoute : « Femme, ta Foi est grande ! »
Il voulait dire que cette femme, déjà certaine de son Salut, avait Foi – ce qui est mieux encore - dans le rassemblement des païens, à l'heure qui approche où, par leur Foi, ils seront libérés comme la jeune fille de toute forme de domination des esprits impurs.
Et la confirmation de cela arrive : en effet, après la préfiguration du peuple des païens dans la fille de la Cananéenne, des hommes prisonniers de maladies d'espèces diverses sont présentés au Seigneur par des foules sur la montagne (Mt 15,30).
Ce sont des hommes incroyants, c'est-à-dire malades, qui sont amenés par des croyants à l'Adoration et au prosternement et à qui le Salut est rendu en vue de saisir, étudier, louer et suivre Dieu.

 

Autre commentaire du jour.
http://www.homelies.fr/homelie,,4284.html
Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.

Voici qu’une Cananéenne, venue de ces territoires, disait en criant : « Prends pitié de moi, Seigneur »

Après la controverse musclée avec les pharisiens sur « la tradition des anciens » et sur la notion de « pur et impur » qui a « scandalisé » ses interlocuteurs (15, 12), Jésus se retire prudemment en un lieu où il est sûr que ses détracteurs ne le suivront pas, à savoir dans la région de Tyr et de Sidon, terre « impure » par excellence. Tout porte dès lors à penser que le passage que nous venons d’entendre prolonge l’enseignement précédent qui dénonçait les conceptions légalistes de la pureté.
Une mère éplorée, qui a entendu parler du Rabbi de Nazareth et des miracles qu’il accomplissait, poursuit Jésus de ses supplications en faveur de sa fille.
L’interpellation de cette femme cananéenne témoigne d’une étonnante connaissance de la tradition juive ; peut-être même le titre « Seigneur, fils de David » attribué à Jésus est-il une ébauche de Foi, comme semble le confirmer la demande, puisqu’elle attend du « Seigneur » qu’il prenne autorité sur le démon qui tourmente sa fille.

Le silence de Jésus veut obliger les disciples à résoudre eux-mêmes ce dilemme : cette femme païenne, habitant en terre étrangère, mais témoignant par sa Foi naissante qu’elle est visitée par Dieu, est-elle impure en raison de son appartenance raciale, ou au contraire, faut-il juger de sa pureté, c’est-à-dire de la qualité de sa relation à Dieu à partir de « ce qui est sorti de sa bouche et qui provient de son cœur » (15, 8) ?
Les disciples ne semblent pas avoir perçu le problème : ils demandent à Jésus de « donner satisfaction » à la femme non pas comme confirmation de sa confession de Foi, mais pour couper court à une situation embarrassante.
Pensez donc : un Rabbi juif poursuivi par les cris d’une païenne, cela pourrait causer scandale ! Ainsi donc les disciples demeurent tout aussi enfermés dans leur a priori et leur formalisme religieux que les pharisiens.

Dans un premier temps, la réponse de Jésus explicite ce que les disciples n’avaient pas osé formuler : un Rabbi d’Israël ne s’occupe pas des étrangers ; c’est à son peuple que Dieu envoie ses messagers.
Cette parole dure de Jésus ne décourage cependant pas la femme, mais ranime tout au contraire son zèle : « elle vint se prosterner devant lui » dans un geste d’humble adoration.

Lui ayant ainsi barré la route elle le supplie : « Seigneur, viens à mon secours ! » Cette fois le dialogue est ouvert ; les yeux dans les yeux Jésus l’invite avec douceur, à expliciter devant les disciples la compréhension du mystère de grâce que L’Esprit a révélé à son cœur.
La femme sait bien que le pain est destiné aux enfants ; mais elle a deviné que les enfants d’Israël font preuve de bien peu d’appétit pour le pain de la Parole que Jésus leur offre : le Rabbi ne viendrait pas en terre païenne s’il ne fuyait pas ses coreligionnaires.
Aussi ajoute-t-elle pleine d’espérance : « les petits chiens mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres » - le terme « petits chiens » ne désigne pas les chiens errants, objet de mépris, mais les animaux domestiques qui jouissaient de la faveur de leur maître.

Nous retrouverons ce thème tout au long des premières campagnes d’évangélisation : le rejet de la Bonne Nouvelle par les Juifs, fera la joie des païens vers lesquels se tourneront les Missionnaires, et qui accueilleront le message du Salut.
Ainsi à Antioche de Pisidie, devant l’hostilité des Juifs, « Paul et Barnabé leur déclarèrent avec assurance : “ C’est à vous d’abord qu’il fallait adresser la Parole de Dieu. Puisque vous la rejetez et que vous-mêmes ne vous jugez pas dignes de la Vie éternelle, eh bien ! Nous nous tournons vers les païens” » (Ac 13, 46-47).

La réponse de Jésus confirme l’action de L’Esprit dans le cœur de cette femme païenne : « Ta Foi est grande ».
Aussi Notre-Seigneur ne doit-il même pas intervenir : « Que tout se fasse pour toi comme tu le veux ».
Par sa Foi, cette mère dispose, pour le service de la délivrance de sa fille, de la toute-puissance de Dieu qui repose sur le Verbe incarné.

Ainsi donc ce n’est pas l’appartenance à la nation sainte qui garantit l’état de « pureté », mais la Foi en Jésus venu rassembler les enfants de Dieu dispersés (Jn 11, 52).
Car « les païens sont associés au même héritage, au même corps, au partage de la même promesse, dans Le Christ Jésus, par l’annonce de l’Évangile » (Ep 3, 6).
Par sa Foi, la femme cananéenne est devenue fille d’Abraham et « héritière de Dieu, héritière avec Le Christ » (Rm 8, 17), disposant en son nom propre de sa victoire sur le démon.

« Ce qui sort de la bouche, voilà ce qui rend l’homme impur ». Nous qui avons été purifiés « par le bain du Baptême et la Parole de Vie » (Ep 5, 26), ne risquons pas de retomber dans l’impureté par des jugements hâtifs sur nos frères en raison de leur origine ou de leur appartenance culturelle.
Pour eux aussi Le Christ a versé son Sang, et il les appelle comme nous à partager son héritage en devenant les enfants adoptifs du Père en qui nous sommes tous frères.

« Seigneur sauve-nous de nos étroitesses d’esprit ; ouvre nos yeux sur nos enfermements ; dénonce nos complicités avec les attitudes d’exclusion mises en place autour de nous ; donne-nous de nous souvenir que nous aussi nous étions des “païens” ; et accorde-nous la force de témoigner ouvertement de l’universalité de ton message, car c’est à tous les hommes que tu es venu “annoncer une année de bienfaits” (Lc 4, 19) de la part de Dieu Ton Père et Notre Père (cf. Jn 20, 17). »
Père Joseph-Marie

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_165
Abbé Jordi CASTELLET i Sala (Sant Hipòlit de Voltregà, Barcelona, Espagne).

«Femme, ta Foi est grande»

Aujourd'hui, nous entendons souvent dire «il n'y a plus de Foi», et ce sont les personnes qui demandent à nos communautés de Baptiser leurs enfants, de leur enseigner le catéchisme ou de célébrer un mariage qui le disent.
Cette façon de parler est une façon de voir le monde de manière négative, comme si les temps passés étaient meilleurs et que nous vivons la fin d'une époque où il n'y a rien de nouveau à dire ni à faire.
Il s'agit, bien évidemment, des jeunes qui, pour la plupart d'entre eux, sont attristés de se rendre-compte que le monde a beaucoup changé depuis l'époque de leurs parents qui vivaient, peut-être, une Foi plus populaire et ils ont du mal à s'adapter.
Or cette expérience les laisse insatisfaits et sans capacité de réaction alors qu'ils sont peut-être à l'aube d'une nouvelle étape dont il faut savoir profiter.

Ce passage de l'Évangile attire l'attention sur une mère de famille de la ville de Canna qui demande la grâce pour sa fille, reconnaissant en Jésus le fils de David: «Aie pitié de moi, Seigneur, fils de David! Ma fille est tourmentée par un démon» (Mt 15,22).
Le Maître est surpris par sa Foi: «Femme, ta Foi est grande», et dans des cas comme ça, Il ne peut qu'agir pour donner satisfaction à ceux qui Lui demandent quelque chose «que tout se fasse pour toi comme tu le veux!» (Mt 15,28) même si cela ne semble pas rentrer dans Ses plans. Nonobstant, la grâce de Dieu se manifeste dans la réalité humaine.

La Foi ne constitue pas le patrimoine de quelques-uns, elle n'est pas non plus la propriété privée de ceux qui se croient bons ou de ceux qui l'ont été, qui ont une étiquette sociale ou religieuse.
L'action de Dieu précède l'action de l'Église, et Le Saint Esprit agit déjà dans le cœur des personnes qui bien que nous ne l'ayons pas soupçonné nous apporteront un message de Dieu, une demande en faveur des plus nécessiteux.
Saint Léon disait: «Bien-aimés, la vertu et la Sagesse de la Foi Chrétienne consistent dans l'Amour de Dieu et du prochain; celui qui aime à servir Dieu et à secourir son prochain possède toutes les vertus».

 

Hymne : Ouvre mes yeux, Seigneur

Ouvre mes yeux, Seigneur,
Aux merveilles de ton amour.
Je suis l’aveugle sur le chemin ;
Guéris-moi, je veux te voir.

Ouvre mes mains, Seigneur,
Qui se ferment pour tout garder.
Le pauvre a faim devant ma maison ;
Apprends-moi à partager.

Fais que je marche, Seigneur,
Aussi dur que soit le chemin.
Je veux te suivre jusqu’à la croix ;
Viens me prendre par la main.

Fais que j’entende, Seigneur,
Tous mes frères qui crient vers moi.
À leur souffrance et à leurs appels,
Que mon cœur ne soit pas sourd !

Garde ma foi, Seigneur :
Tant de voix proclament ta mort !
Quand vient le soir, et le poids du jour,
Ô Seigneur, reste avec moi.

 

Oraison du matin (Office des Laudes).
Tu as voulu, Seigneur, que la puissance de l’Évangile travaille le monde à la manière d’un ferment ; veille sur tous ceux qui ont à répondre à leur vocation chrétienne au milieu des occupations de ce monde : qu’ils cherchent toujours L’Esprit du Christ, pour qu’en accomplissant leurs tâches d’hommes, ils travaillent à l’avènement de ton Règne.

 

Parole de Dieu : (Rm 8, 35.37)… (Office des Laudes).
Qui pourra nous séparer de l’Amour du Christ ? La détresse ? L’angoisse ? La persécution ? La faim ? Le dénuement ? Le danger ? Le supplice ?
En tout cela nous sommes les grands vainqueurs grâce à celui qui nous a aimés.

 

Parole de Dieu : (1 P 5, 5b-7)… (Office des Vêpres).
Revêtez-vous tous d’humilité dans vos rapports les uns avec les autres. En effet Dieu s’oppose aux orgueilleux, aux humbles il accorde sa grâce.
Tenez-vous donc humblement sous la main puissante de Dieu pour qu’il vous élève quand le Jugement viendra.
Déchargez-vous sur lui de tous vos soucis puisqu’il s’occupe de vous.

Date de dernière mise à jour : 05/07/2021

Ajouter un commentaire