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- Eucharistie du Vendredi 24 Octobre 2014 : Vendredi de la 29ème semaine du Temps Ordinaire.
Eucharistie du Vendredi 24 Octobre 2014 : Vendredi de la 29ème semaine du Temps Ordinaire.
Eucharistie du Vendredi 24 Octobre 2014 : Vendredi de la 29ème semaine du Temps Ordinaire.
L’Église fait mémoire (facultative) de la Fête de Saint Antoine-Marie Claret, Évêque, Fondateur des Missionnaires Fils du Cœur Immaculé de Marie (1807-1870).
Fête de Saint Louis Guanella, Fondateur de la Congrégation des Serviteurs de la Charité et celle des Filles de la Providence (✝ 1915.).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Lettre de saint Paul Apôtre aux Éphésiens 4,1-6… Psaume 24(23),1-2.3-4ab.5-6… Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 12,54-59.
Commentaire du Pape François.
Autre commentaire de Jean-Louis D’Aragon, s.j., La Villa Loyola, dirigée par les Jésuites de Sudbury.
Autre commentaire du Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Frederic RÀFOLS i Vidal (Barcelona, Espagne).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Vendredi 24 Octobre 2014 : Fête de Saint Antoine-Marie Claret, Évêque, Fondateur des Missionnaires Fils du Cœur Immaculé de Marie (1807-1870).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Antoine-Marie Claret.
Vendredi 24 Octobre 2014 : Fête de Saint Louis Guanella, Fondateur de la Congrégation des Serviteurs de la Charité et celle des Filles de la Providence (✝ 1915.).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Louis Guanella.
LITURGIE DE LA PAROLE.
Lettre de saint Paul Apôtre aux Éphésiens 4,1-6.
Frères, moi qui suis en prison à cause du Seigneur, je vous encourage à suivre fidèlement l'appel que vous avez reçu de Dieu :
ayez beaucoup d'humilité, de douceur et de patience, supportez-vous les uns les autres avec amour ;
ayez à cœur de garder l'unité dans l'Esprit par le lien de la paix.
Comme votre vocation vous a tous appelés à une seule espérance, de même il n'y a qu'un seul Corps et un seul Esprit.
Il n'y a qu'un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême,
un seul Dieu et Père de tous, qui règne au-dessus de tous, par tous, et en tous.
Psaume 24(23),1-2.3-4ab.5-6.
Au Seigneur, le monde et sa richesse,
la terre et tous ses habitants !
C'est lui qui l'a fondée sur les mers
et la garde inébranlable sur les flots.
Qui peut gravir la montagne du Seigneur
et se tenir dans le lieu saint ?
L'homme au cœur pur, aux mains innocentes,
qui ne livre pas son âme aux idoles.
Il obtient, du Seigneur, la bénédiction,
et de Dieu son Sauveur, la justice.
Voici le peuple de ceux qui le cherchent,
qui recherchent la face de Dieu !
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 12,54-59.
Jésus disait à la foule : " Quand vous voyez un nuage monter au couchant, vous dites aussitôt qu'il va pleuvoir, et c'est ce qui arrive.
Et quand vous voyez souffler le vent du sud, vous dites qu'il fera très chaud, et cela arrive.
Esprits faux ! L'aspect de la terre et du ciel, vous savez le juger ; mais le temps où nous sommes, pourquoi ne savez-vous pas le juger ?
Et pourquoi aussi ne jugez-vous pas par vous-mêmes ce qui est juste ?
Ainsi, quand tu vas avec ton adversaire devant le magistrat, pendant que tu es en chemin efforce-toi de te libérer envers lui, pour éviter qu'il ne te traîne devant le juge, que le juge ne te livre au percepteur des amendes, et que celui-ci ne te jette en prison.
Je te le dis : tu n'en sortiras pas avant d'avoir payé jusqu'au dernier centime. »
Commentaire du jour.
Pape François.
Exhortation apostolique « Evangelii Gaudium / La Joie de l’Évangile » § 108-109 (trad. © copyright Libreria Editrice Vaticana).
Lire les signes du temps où nous sommes
Chaque fois que nous cherchons à lire les signes des temps dans la réalité actuelle, il est opportun d'écouter les jeunes et les personnes âgées.
Les deux sont l'espérance des peuples.
Les personnes âgées apportent la mémoire et la sagesse de l'expérience, qui invite à ne pas répéter de façon stupide les mêmes erreurs que dans le passé.
Les jeunes nous appellent à réveiller et à faire grandir l'espérance, parce qu'ils portent en eux les nouvelles tendances de l'humanité et nous ouvrent à l'avenir, de sorte que nous ne restions pas ancrés dans la nostalgie des structures et des habitudes qui ne sont plus porteuses de vie dans le monde actuel.
Les défis existent pour être relevés. Soyons réalistes, mais sans perdre la joie, l'audace et le dévouement plein d'espérance !
Autre commentaire du jour.
http://villaloyola.com/fr/node/29
Jean-Louis D’Aragon, s.j., La Villa Loyola, dirigée par les Jésuites de Sudbury.
Esprits faux ! L'aspect de la Terre et du Ciel, vous savez le juger ; mais le temps où nous sommes, pourquoi ne savez-vous pas le juger ?
Chaque matin et chaque soir, les médias, journaux, radio et télévision, nous présentent les prévisions de la température.
Ces annonces sont importantes pour tous, car ils conditionnent l’environnement de notre vie physique et ils favorisent ou non notre bonne humeur.
Nous attachons de l’importance à ces conditions de notre environnement physique, qui est extérieur, mais notre environnement intérieur nous préoccupe-t-il autant ?
Prêtons-nous une attention aussi intense aux signes des temps, qui influencent notre situation personnelle ?
Jésus exhorte notre Église à discerner les signes généraux qui influencent notre époque. De même, il nous presse, chacun et chacune d’entre nous, de nous convertir à sa volonté manifestée dans les signes particuliers qu’Il nous donne.
"Esprits faux"
Jésus s’adresse, non plus seulement à ses disciples, mais à la foule et, à travers elle, à toute l'humanité.
Pourquoi Jésus est-il aussi dur à l’égard de son auditoire, les traitant "d’hypocrites" ? Comme tout hypocrite, les gens se divisent, car ils se concentrent sur leurs préoccupations immédiates et superficielles, pour délaisser les aspirations de leur cœur, leur désir profond de vie éternelle.
Les auditeurs de Jésus sont attentifs pour discerner les signes insignifiants autour d’eux, les signes transitoires et superficiels.
Mais que font-ils pour découvrir les signes profonds, les causes qui ont une longue portée et qui conditionnent leur vie ou leur mort, leur bonheur ou leur malheur ?
Avec la présence du Christ, l’Envoyé suprême de Dieu, qui donne sens et espérance à l’humanité, l’étape ultime de l’histoire a commencé.
Lorsqu’il libère les humains des esprits mauvais, lorsqu’il guérit les malades, c’est Dieu qui veut donner une vie nouvelle aux enfants qu’il a créés par Amour.
Comment peut-on comprendre les signes de la température et ne pas reconnaître l’appel de l’Auteur de ces signes?
Jésus s’étonne que chacun ne découvre pas par lui-même la juste manière d’agir et n’ait pas le courage de prendre une décision conforme au défi et à la gravité de l’époque que Le Christ inaugure.
Les signes des temps
Une série d’incidents qui s’orientent dans le même sens forment ce que le Concile Vatican II nomme "les signes des temps."
Le Seigneur dirige l'évolution de notre monde et il nous exprime sa volonté par ces multiples signes, qui sollicitent notre attention et notre engagement.
Bien plus que les prévisions de la température, "les signes des temps" exercent sur nous tous une influence durable et profonde.
Nous sommes tous solidaires des orientations et des engagements de notre Église. Celle-ci a reconnu en notre nom, au Concile, son devoir de prêter attention à ces signes, de les interpréter, de se convertir et d’agir selon la volonté de Dieu qui s’y révèle.
À notre époque, "les signes des temps" sont évidents et nombreux. Ils s’imposent à notre réflexion, car ils sont évidents et vont nous influencer pendant longtemps. Signalons seulement les principaux :
1) Les moyens de communication se sont multipliés : radio, téléphone, télécopieur, internet, déplacements aériens rapides,… Notre planète est devenue un grand village.
Ce qui se produit en n’importe quel coin du globe devient proche. Notre solidarité planétaire, avec tous les peuples, sollicite notre responsabilité quand survient, par exemple, un cataclysme.
2) Les multiples rencontres entre gens de différentes religions et cultures permettent de mieux nous comprendre les uns les autres et de devenir plus tolérants et même respectueux des gens différents de nous.
3) La liberté religieuse assure à chacun son identité, être soi-même, pour favoriser l’œcuménisme et l’unité entre les croyants.
4) Le souci de la création, de notre "environnement", comme nous l’a prescrit le Créateur (Gen 1,26-28), s’impose de plus en plus à la conscience universelle.
Urgence de se convertir
Avec la venue du Messie, la dernière époque de l’histoire dirigée par Dieu a commencé. La présence de cet Envoyé suprême place les contemporains du Christ devant la décision centrale de leur existence :
l’accueillir et se repentir, ou demeurer sourd et aveugle, ignorant sa présence.
Nous sommes confrontés aujourd'hui à la même urgence, même si nous vivons vingt siècles après Jésus.
Depuis sa venue, son sacrifice sur la Croix et sa Résurrection, la dernière période de l’histoire a commencé.
Lorsqu’il nous appelle par des signes ou des inspirations personnelles, notre réponse devrait être notre ouverture à sa volonté.
Jésus recourt à une courte parabole pour nous enseigner l’urgence d’une décision. Celui dont la cause est perdue d’avance doit chercher par tous les moyens à se réconcilier avec son adversaire qui le traîne en procès devant le juge. Pour éviter la condamnation, une entente à l’amiable s’impose.
Nous sommes tous des coupables, nous sommes tous des pécheurs qui avons besoin de nous réconcilier avec le Juge suprême.
La conversion, l’accord avec la volonté de ce Juge, qui veut notre Salut, est l’unique solution.
Le temps file, il devient court pour prendre cette décision, sinon la fatalité de la condamnation attend celui qui demeure sourd à l’appel de son Seigneur.
Jean-Louis D’Aragon, S.J.
Autre commentaire du jour.
http://www.homelies.fr/homelie,,3995.html
Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Esprits faux ! L'aspect de la Terre et du Ciel, vous savez le juger
La sagesse des paysans de Galilée (et sans doute de tous les paysans de la planète !) est légendaire.
Les moindres signes de la nature sont pour eux porteurs de messages. La direction du vent, la luminosité du Ciel : rien n’est muet, tout parle à qui veut bien se donner la peine d’écouter la voix de la nature.
C’est précisément cette excellence qui fâche Jésus : y aurait-il moins de signes de l’avènement du Royaume que du prochain changement météorologique ?
Le livre de la Révélation serait-il donc plus obscur que celui de la Création ? Non, bien sûr !
La venue du Messie était clairement annoncée par les prophètes et Jésus accomplit les signes qui permettent de le reconnaître.
Comment se fait-il que les hommes d’hier comme ceux d’aujourd’hui refusent d’entendre ou de voir ?
Pourquoi ne « savent-ils pas juger le temps où nous sommes » ?
Serait-ce parce qu’inspecter la terre de notre cœur, évaluer notre docilité au souffle de L’Esprit, présente des risques ?
Le risque de prendre conscience qu’il est urgent de nous convertir ; le risque de découvrir qu’il nous faut prendre en main notre vie, vaincre nos inerties et nous mettre en route sur les traces de Jésus …
« Esprits faux, s’exclame Jésus ; vous étouffez la voix de votre conscience afin de pouvoir vivre à votre guise ; vous élucubrez des pseudo-sagesses pour justifier vos comportements immoraux ; vous vous croyez riches, et vous “ne savez pas que vous êtes malheureux, pitoyables, aveugles et nus” (Ap 3, 17) ».
Pour tenter de nous arracher à notre aveuglement et réveiller notre bon sens spirituel, Jésus nous propose une parabole très simple, qui devrait nous permettre de « juger par nous-mêmes ce qui est juste ».
Notre-Seigneur raconte l’histoire d’un homme menacé d’un procès pour fraude financière - une situation que connaissent bien ceux qui sont plus préoccupés du royaume terrestre que de celui du Ciel.
Inutile de miser sur la clémence du tribunal : l’issue des débats sera sans surprise. Pour éviter le pire, il ne reste à l’inculpé que la durée du chemin qui le sépare du lieu du procès.
Aussi devrait-il logiquement tout mettre en œuvre pour trouver une solution à l’amiable avant d’être pris dans l’engrenage judiciaire.
Sa seule issue est de se réconcilier au plus vite avec son adversaire avant qu’il ne soit trop tard.
« Cet homme, c’est toi, nous dit Jésus. Crois-tu que tu puisses transgresser impunément la loi Divine sans avoir des comptes à rendre ?
Certes, tu as l’intention, demain, d’amender ta vie ; mais “demain” t’appartient-il ? C’est aujourd’hui le temps de la conversion et de la Miséricorde.
Demain il sera peut-être trop tard : tu ne connais pas la distance qui te sépare du juste Juge.
Reconnais donc le temps où Dieu te visite, et hâte-toi d’accueillir la grâce de la réconciliation qu’il t’offre, pour éviter de paraître devant Lui chargé d’une dette insolvable ! »
« Seigneur, permets-moi de venir “acheter chez toi des vêtements blancs pour me couvrir et cacher la honte de ma nudité ; un remède pour me frotter les yeux afin de voir clair.
Voici que tu te tiens à ma porte et que tu frappes” (cf. Ap 3, 18) : accorde-moi de ne pas laisser passer le temps de ta grâce, mais de “me convertir, afin que j’entende ta voix, que je t’ouvre la porte et que tu puisses entrer chez moi pour prendre avec moi ton repas” (cf. Ap 3, 20) ».
Père Joseph-Marie
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_266
Abbé Frederic RÀFOLS i Vidal (Barcelona, Espagne).
Le temps où nous sommes, pourquoi ne savez-vous pas le juger? Et pourquoi aussi ne jugez-vous pas par vous-mêmes ce qui est juste?
Aujourd'hui, Jésus veut que nous élevions notre regard vers le Ciel. Après trois jours de pluie persistante, ce matin le Ciel était lumineux et dégagé faisant de ce jour un des plus beaux de cet automne.
Nous comprenons mieux le sujet du changement de climat, puisque de nos jours le météorologiste fait quasiment partie de notre famille.
Par contre nous avons toujours du mal à comprendre l'époque où nous vivons: «L'aspect de la Terre et du Ciel, vous savez le juger; mais le temps où nous sommes, pourquoi ne savez-vous pas le juger?» (Lc 12,56).
Parmi ceux qui écoutaient Jésus, nombreux d'entre eux ont laissé passer une opportunité unique dans l'histoire de l'humanité. Ils n'ont pas reconnu en Jésus Le Fils de Dieu. Ils n'ont pas reconnu l'heure du Salut.
Le Concile Vatican II, dans la constitution Gaudium et Spes (n? 4), actualise l'Évangile de ce jour: «Pour mener à bien cette tâche, l'Église a le devoir, à tout moment, de scruter les signes des temps et de les interpréter à la lumière de l'Évangile, (...).
Il importe donc de connaître et de comprendre ce monde dans lequel nous vivons, ses attentes, ses aspirations, son caractère souvent dramatique».
Quand nous contemplons l'histoire, nous n'avons pas de mal à repérer les occasions manquées de l'Église où elle n'a pas su reconnaître le moment vécu.
Mais Seigneur: combien d'occasions avons-nous manquées car nous n'avons pas su reconnaître les signes des temps ou, ce qui revient au même, parce que nous n'avons pas su vivre et illuminer les problématiques de nos jours avec la lumière de l'Évangile?:
Jésus nous rappelle à nouveau: «Et pourquoi aussi ne jugez-vous pas par vous-mêmes ce qui est juste?» (Lc 12,57).
Nous ne vivons pas dans un monde de méchanceté. Même si elle est partout, Dieu n'a pas abandonné son monde.
Comme nous le rappelait Saint Jean de la Croix, nous habitons une Terre que Dieu Lui même a parcourue et a remplie de beauté.
La Bienheureuse Thérèse de Calcutta a su capter les signes de son temps et son temps, c'est-à-dire notre époque, a su comprendre Thérèse de Calcutta.
Demandons-lui de nous encourager. Ne cessons pas de tourner notre regard vers le Ciel sans perdre de vue la Terre.
Hymne : Dieu caché
Dieu caché,
Tu n'as plus d'autre Parole
Que ce fruit nouveau-né
Dans la nuit qui t'engendre à la terre ;
Tu dis seulement
Le nom d'un enfant :
Le lieu où tu enfouis ta semence.
R/Explique-toi par ce lieu-dit :
Que l'Esprit parle à notre esprit
Dans le silence !
Dieu livré,
Tu n'as plus d'autre Parole
Que ce corps partagé
Dans le pain qui te porte à nos lèvres ;
Tu dis seulement :
La coupe du sang
Versé pour la nouvelle confiance. R/
Dieu blessé,
Tu n'as plus d'autre Parole
Que cet homme humilié
Sur le bois qui t'expose au calvaire !
Tu dis seulement :
L'appel déchirant
D'un Dieu qui apprendrait la souffrance. R/
Dieu vaincu,
Tu n'as plus d'autre Parole
Que ces corps décharnés
Où la soif a tari la prière ;
Tu dis seulement :
Je suis l'innocent,
A qui tous les bourreaux font violence. R/
Dieu sans voix,
Tu n'as plus d'autre Parole
Que ce signe levé,
Edifié sur ta pierre angulaire !
Tu dis seulement :
Mon peuple est vivant,
Debout, il signifie ma présence. R/
Dieu secret,
Tu n'as plus d'autre Parole
Que ce livre scellé
D'où l'Agneau fait jaillir ta lumière.
Tu dis seulement
Ces mots fulgurants :
Je viens! J'étonnerai vos patiences !
R/Explique-toi par ce lieu-dit :
Que l'Esprit parle à notre esprit
Dans le silence !
Oraison du matin (Office des Laudes).
Dieu qui a donné à Saint Antoine-Marie Claret une Charité et un courage admirables pour enseigner aux hommes la Pureté de l’Evangile, accorde-nous, à sa Prière, de rechercher ce qui est juste et bon, afin de gagner nos frères à Jésus-Christ.
Lui qui vit et règne avec Toi et Le Saint-Esprit pour les siècles des siècles.
Parole de Dieu : (Ep 4, 29-32)… (Office des Laudes).
Aucune parole mauvaise ne doit sortir de votre bouche ; mais, s’il y en a besoin, dites une parole bonne et constructive, bienveillante pour ceux qui vous écoutent.
En vue du jour de votre délivrance, vous avez reçu en vous la marque du Saint-Esprit de Dieu : ne le contristez pas.
Faites disparaître de votre vie tout ce qui est amertume, emportement, colère, éclats de voix ou insultes, ainsi que toute espèce de méchanceté.
Soyez entre vous pleins de générosité et de tendresse. Pardonnez-vous les uns aux autres, comme Dieu vous a pardonné dans Le Christ.
Parole de Dieu : (Rm 15, 1-3)… (Office des Vêpres).
C’est un devoir pour nous, les forts, de porter l’infirmité des faibles et de ne pas rechercher ce qui nous plaît.
Que chacun de nous cherche à plaire à son prochain, en vue du bien, pour édifier.
Le Christ, en effet, n’a pas recherché ce qui lui plaisait mais, comme il est écrit : « Les insultes de tes insulteurs sont tombées sur moi. »
Date de dernière mise à jour : 02/07/2021
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