- Accueil
- Archives Eucharisties
- ANNÉE 2016
- JUIN 2016
- Eucharistie du Dimanche 12 Juin 2016 : Onzième Dimanche du Temps Ordinaire.
Eucharistie du Dimanche 12 Juin 2016 : Onzième Dimanche du Temps Ordinaire.
Eucharistie du Dimanche 12 Juin 2016 : Onzième Dimanche du Temps Ordinaire.
Fête de Saint Gaspare Bertoni, Fondateur de la Congrégation des Saints Stigmates de Notre Seigneur Jésus-Christ (1777-1853).
Fête de la Bienheureuse Marie-Candide de l'Eucharistie, Carmélite «Mystique de l’Eucharistie» (1884-1949).
Fête de la Bienheureuse Antonia Maria Verna, vierge et Fondatrice des « Sœurs de la Charité de l’Immaculée Conception d’Ivrée » (1733-1838).
Fête du Bienheureux Laurent-Marie Salvi, « Le Missionnaire de l'Enfant Jésus » (1782-1856).
Fête du Bienheureux Guy Vignotelli, (Guy de Cortone), Frère Mineur (? 1245).
Textes du jour (1ère lecture, Psaume, 2ème lecture, Évangile) :
Deuxième livre de Samuel 12,7-10.13... Psaume 32(31),1-2.5abcd.5ef.7.10bc-11... Lettre de saint Paul Apôtre aux Galates 2,16.19-21... Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 7,36-50.8,1-3.
Commentaire de Saint [Padre] Pio de Pietrelcina (1887-1968), Capucin.
Autre commentaire de Frère Jean-Christian Lévêque o.c.d. (Carmel).
Autre commentaire de l’Abbé Eusebio MARTÍNEZ (Brownsville, Texas, États-Unis).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.
Dimanche 12 Juin 2016 : Fête de Saint Gaspare Bertoni, Fondateur de la Congrégation des Saints Stigmates de Notre Seigneur Jésus-Christ (1777-1853).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Gaspare Bertoni.
Dimanche 12 Juin 2016 : Fête de la Bienheureuse Marie-Candide de l'Eucharistie, Carmélite «Mystique de l’Eucharistie» (1884-1949).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureuse Marie-Candide de l'Eucharistie.
Dimanche 12 Juin 2016 : Fête de la Bienheureuse Antonia Maria Verna, vierge et Fondatrice des « Sœurs de la Charité de l’Immaculée Conception d’Ivrée » (1733-1838).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureuse Antonia Maria Verna.
Dimanche 12 Juin 2016 : Fête du Bienheureux Laurent-Marie Salvi, « Le Missionnaire de l'Enfant Jésus » (1782-1856).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureux Laurent-Marie Salvi.
Dimanche 12 Juin 2016 : Fête du Bienheureux Guy Vignotelli, (Guy de Cortone), Frère Mineur (? 1245).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureux Guy Vignotelli.
LITURGIE DE LA PAROLE.
Deuxième livre de Samuel 12,7-10.13.
En ces jours-là, après le péché de David, le prophète Nathan lui dit : « Ainsi parle le Seigneur Dieu d’Israël : Je t’ai consacré comme roi d’Israël, je t’ai délivré de la main de Saül,
puis je t’ai donné la maison de ton maître, j’ai mis dans tes bras les femmes de ton maître ; je t’ai donné la maison d’Israël et de Juda et, si ce n’est pas assez, j’ajouterai encore autant.
Pourquoi donc as-tu méprisé le Seigneur en faisant ce qui est mal à ses yeux ? Tu as frappé par l’épée Ourias le Hittite ; sa femme, tu l’as prise pour femme ; lui, tu l’as fait périr par l’épée des fils d’Ammone.
Désormais, l’épée ne s’écartera plus jamais de ta maison, parce que tu m’as méprisé et que tu as pris la femme d’Ourias le Hittite pour qu’elle devienne ta femme.
David dit à Nathan : « J’ai péché contre le Seigneur ! » Nathan lui répondit : « Le Seigneur a passé sur ton péché, tu ne mourras pas. »
Psaume 32(31),1-2.5abcd.5ef.7.10bc-11.
Heureux l'homme dont la faute est enlevée,
et le péché remis !
Heureux l'homme dont le Seigneur ne retient pas l'offense,
dont l'esprit est sans fraude !
Je t'ai fait connaître ma faute,
je n'ai pas caché mes torts.
J’ai dit : « Je rendrai grâce au Seigneur
en confessant mes péchés. »
Et toi, tu as enlevé
l'offense de ma faute.
Tu es un refuge pour moi, mon abri dans la détresse ;
de chants de délivrance, tu m'as entouré.
L'amour du Seigneur entourera
ceux qui comptent sur lui.
Que le Seigneur soit votre joie, hommes justes !
Hommes droits, chantez votre allégresse !
Lettre de saint Paul Apôtre aux Galates 2,16.19-21.
Frères, nous avons reconnu que ce n’est pas en pratiquant la loi de Moïse que l’homme devient juste devant Dieu, mais seulement par la foi en Jésus Christ ; c’est pourquoi nous avons cru, nous aussi, au Christ Jésus pour devenir des justes par la foi au Christ, et non par la pratique de la Loi, puisque, par la pratique de la Loi, personne ne deviendra juste.
Par la Loi, je suis mort à la Loi afin de vivre pour Dieu ; avec le Christ, je suis crucifié.
Je vis, mais ce n’est plus moi, c’est le Christ qui vit en moi. Ce que je vis aujourd’hui dans la chair, je le vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimé et s’est livré lui-même pour moi.
Il n’est pas question pour moi de rejeter la grâce de Dieu. En effet, si c’était par la Loi qu’on devient juste, alors le Christ serait mort pour rien.
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 7,36-50.8,1-3.
En ce temps-là, un pharisien avait invité Jésus à manger avec lui. Jésus entra chez lui et prit place à table.
Survint une femme de la ville, une pécheresse. Ayant appris que Jésus était attablé dans la maison du pharisien, elle avait apporté un flacon d’albâtre contenant un parfum.
Tout en pleurs, elle se tenait derrière lui, près de ses pieds, et elle se mit à mouiller de ses larmes les pieds de Jésus. Elle les essuyait avec ses cheveux, les couvrait de baisers et répandait sur eux le parfum.
En voyant cela, le pharisien qui avait invité Jésus se dit en lui-même : « Si cet homme était prophète, il saurait qui est cette femme qui le touche, et ce qu’elle est : une pécheresse. »
Jésus, prenant la parole, lui dit : « Simon, j’ai quelque chose à te dire. – Parle, Maître. »
Jésus reprit : « Un créancier avait deux débiteurs ; le premier lui devait cinq cents pièces d’argent, l’autre cinquante.
Comme ni l’un ni l’autre ne pouvait les lui rembourser, il en fit grâce à tous deux. Lequel des deux l’aimera davantage ? »
Simon répondit : « Je suppose que c’est celui à qui on a fait grâce de la plus grande dette. – Tu as raison », lui dit Jésus.
Il se tourna vers la femme et dit à Simon : « Tu vois cette femme ? Je suis entré dans ta maison, et tu ne m’as pas versé de l’eau sur les pieds ; elle, elle les a mouillés de ses larmes et essuyés avec ses cheveux.
Tu ne m’as pas embrassé ; elle, depuis qu’elle est entrée, n’a pas cessé d’embrasser mes pieds.
Tu n’as pas fait d’onction sur ma tête ; elle, elle a répandu du parfum sur mes pieds.
Voilà pourquoi je te le dis : ses péchés, ses nombreux péchés, sont pardonnés, puisqu’elle a montré beaucoup d’amour. Mais celui à qui on pardonne peu montre peu d’amour. »
Il dit alors à la femme : « Tes péchés sont pardonnés. »
Les convives se mirent à dire en eux-mêmes : « Qui est cet homme, qui va jusqu’à pardonner les péchés ? »
Jésus dit alors à la femme : « Ta foi t’a sauvée. Va en paix ! »
Ensuite, il arriva que Jésus, passant à travers villes et villages, proclamait et annonçait la Bonne Nouvelle du règne de Dieu. Les Douze l’accompagnaient,
ainsi que des femmes qui avaient été guéries de maladies et d’esprits mauvais : Marie, appelée Madeleine, de laquelle étaient sortis sept démons,
Jeanne, femme de Kouza, intendant d’Hérode, Suzanne, et beaucoup d’autres, qui les servaient en prenant sur leurs ressources.
Commentaire du jour.
Saint [Padre] Pio de Pietrelcina (1887-1968), Capucin.
CE, 18.16 ; AD, 54 (trad. Une Pensée, Médiaspaul 1991, p. 63)
« Qui est cet homme, qui va jusqu'à pardonner les péchés ? »
Que l'Espérance en la Miséricorde de Dieu nous soutienne dans le tumulte des passions et des contrariétés.
Courons avec confiance vers le Sacrement de Pénitence, où Le Seigneur nous attend à tout moment avec une Tendresse infinie.
Et une fois nos péchés pardonnés, oublions-les, car Le Seigneur l'a déjà fait avant nous. En admettant même que tu aies commis tous les péchés du monde, le Seigneur te le répète : « Tes nombreux péchés te sont remis parce que tu as beaucoup aimé ».
Seigneur Jésus, tu es toute douceur : comment pourrais-je donc vivre sans Toi ? Viens, Seigneur, prendre toi seul possession de mon cœur.
Autre commentaire du jour.
http://www.carmel.asso.fr/11eme-Dimanche-T-O-C.html
Frère Jean-Christian Lévêque o.c.d. (Carmel).
Jésus et la pécheresse
Curieuse invitation que celle du Pharisien : il a convié Jésus à son repas, mais il a évité soigneusement de trop se compromettre ; et Jésus a bien senti la nuance : pas d’eau sur les pieds, pas de parfum de joyeux avènement ; l’accueil est correct, sans plus.
La femme, elle, va se montrer incorrecte, surtout si l’on se réfère aux usages du temps. Or Jésus va louer son audace.
Il en fallait beaucoup pour braver le mépris du Pharisien, mais ce jour-là la Galiléenne était prête à tous les risques.
En entrant, elle ne voit plus que Jésus, celui qui guérit, celui qui pardonne ; elle va droit à lui, et son amour de convertie lui donne la force d’agir comme si elle était seule et de livrer au Christ, en une seule fois, non seulement ses cheveux et son parfum, c’est-à-dire tout ce qu’elle avait pour se faire belle et plaire au monde, mais ses larmes, c’est-à-dire sa détresse, sa lassitude de l’esclavage, son immense solitude dans le plaisir, son espérance d’être enfin comprise et accueillie pour le meilleur d’elle-même.
Elle qui a perdu l’honneur selon le monde et qui n’existe plus pour personne comme une personne, a pressenti qu’elle pouvait encore donner quelque chose à Jésus.
Elle le donne maladroitement, avec fougue et réserve à la fois ; mais elle n’a que faire des nuances, qu’elle a désapprises depuis longtemps.
Venir pleurer sur les pieds de Jésus, les couvrir de parfum et de baisers, personne n’en aurait l’idée ; mais elle, la pécheresse, l’ancienne pécheresse, par ce langage du corps, va réussir à dire au Christ en même temps son Amour et son respect.
La réponse de Jésus à Simon apparemment est limpide : « Ses péchés, ses nombreux péchés, ont été pardonnés parce qu’elle a montré beaucoup d’Amour ».
Mais qu’est-ce qui est le premier dans le temps : le Pardon, ou l’Amour ? Le Pardon de Jésus ou l’Amour de cette femme ?
Ici on pourrait comprendre de deux manières la pensée de Jésus :
- Ou bien Jésus veut dire : « Puisqu’elle a montré tant d’Amour, je lui pardonne ses péchés » ; et dans ce cas le Pardon vient après, pour sceller la rencontre.
- Ou bien Jésus renverse la perspective : « Si elle parvient à montrer tant d’Amour, c’est qu’elle a fait d’abord l’expérience de mon Pardon » ; et dans ce cas le Pardon est au point de départ d’une nouvelle qualité de l’Amour.
C’est dans ce dernier sens que va la petite parabole proposée par Jésus à Simon : une plus grande dette a été remise ; un plus grand Amour est né.
Dans le même sens aussi l’autre parole de Jésus : « Celui à qui on pardonne peu, montre peu d’Amour ».
En réalité les deux approches coexistent dans cette page d’Évangile ; et ce qui ressort avec certitude, c’est le lien direct entre l’Amour et le Pardon.
Toute démarche d’Amour pauvre et humble de notre part appelle une parole libératrice de Jésus : « Tes péchés te sont remis ! » ; et toute expérience du Pardon de Jésus rend notre Amour pour Lui plus intense, plus direct et plus audacieux : « confiant jusqu’à l’audace » (Thérèse de l’Enfant Jésus).
Et c’est bien ce que nous expérimentons dans toutes nos démarches de conversion, et spécialement dans le Sacrement où nous fêtons le Pardon du Christ : jamais nous ne sommes plus vrais dans notre Amour que lorsque nous nous approchons du Seigneur en lui disant, à vingt-cinq ans, à cinquante ou à soixante-dix : « Jésus, j’ai besoin d’être sauvé ! »
Fr. Jean-Christian Lévêque, o.c.d.
Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_99
Abbé Eusebio MARTÍNEZ (Brownsville, Texas, États-Unis).
«Tu ne m'as pas versé d'eau sur les pieds (…), tu ne m'as pas embrassé (…), tu ne m'as pas versé de parfum sur la tête»
Aujourd'hui, l'Évangile nous signale que celui qui a rencontré Jésus une fois n'a pas pu rester indifférent à cette rencontre. Pourquoi le rabbi qui l'avait invité à partager sa table le traite d'une façon aussi impolie et négligeant sans lui donner les signes usuels de respect et honneur?
Luc nous trace ici un aigu contraste entre l'arrogant et vertueux Pharisien, qui suit toutes les normes mais n'a pas la sensibilité de rendre les plus simples notions d'amabilité envers son hôte, et la femme dont sa réputation de pécheresse est bien connue mais qui a reçu Jésus avec un grand Amour (cf. Lc 7,45-46).
Il n'y a aucun doute qu'elle a compris l'importance de son Amour alors que le Pharisien, lui, manque tout a fait de cette sensibilité.
Les Pharisiens évitaient la compagnie des " pécheurs publiques" et, en ce faisant, ils négligeaient la possibilité de leur prêter l'aide dont ils avaient besoin pour trouver leur guérison et leur santé spirituelle.
Comme des êtres humains que nous sommes, il est très difficile d'aimer sincèrement son prochain et de savoir pardonner leurs fautes, car nous sommes plutôt tentés de faire plutôt attention aux apparences et acquérir ainsi une réputation de vertueux en même temps que nous continuons à gâter notre tendance à être critiques et impitoyables.
Souvent, dans l'Évangile, on nous parle de l'attitude du Pharisien et du publicain. Maintenant, si nous voulons décrire ce que les Pharisiens feraient s'ils habitaient notre société actuelle, nous pouvons être certains que, par exemple, ils assisteraient à la Messe en suivant toutes les rubriques établies mais, de retour à la maison, ils ne manqueraient pas d'être critiques et négatifs dans leur jugement d'autrui.
Il est naturellement louable d'assister à la Messe et d'observer les normes de conduite Chrétiennes, mais cette méticuleuse observance ne vaut rien du tout si elle n'est pas accompagnée d'un sincère esprit d'amour et clémence.
D'après Benoît XVI, «Le nouveau culte Chrétien englobe tous les aspects de l'existence, en la transfigurant (...).
Puisqu'elle implique la réalité humaine du croyant dans le concret du quotidien, l'Eucharistie rend possible, jour après jour, la transfiguration progressive de l'homme, appelé par grâce à être à l'image du Fils de Dieu».
Hymne : N’allons plus nous dérobant
N’allons plus nous dérobant
À l’Esprit qui régénère :
Le Seigneur est ressuscité !
Un sang neuf coule aux artères
Du corps entier.
La nuit du temps
Se change en lumière :
L’homme était mort, il est vivant.
N’allons plus à contre-voie
De Celui qui nous entraîne :
Le Seigneur est ressuscité !
Dans sa chair monte, soudaine,
L’éternité.
Il rend leur poids
Aux jours, aux semaines,
Les achemine vers la joie.
N’allons plus sans feu ni lieu
Quand Jésus nous accompagne :
Le Seigneur est ressuscité !
Le voici pain sur la table
Des baptisés.
Présent de Dieu
Offert en partage :
Christ aujourd’hui ouvre nos yeux.
Nous irons portant plus haut
Notre foi dans la victoire :
Le Seigneur est ressuscité !
L’univers chante la gloire
Des rachetés.
Le feu et l’eau
Emportent l’histoire,
Dieu nous appelle avec l’Agneau
Oraison du matin (Office des Laudes).
Dieu tout-puissant, force de ceux qui espèrent en Toi, sois favorable à nos appels : puisque l'homme est fragile et que sans Toi il ne peut rien, donne-nous toujours le secours de ta Grâce ; ainsi nous pourrons, en observant tes Commandements, vouloir et agir de manière à répondre à ton Amour.
Parole de Dieu : (Ez 37, 12b-14)... (Office des Laudes).
Ainsi parle Le Seigneur Dieu : je vais ouvrir vos tombeaux et je vous en ferai sortir, ô mon peuple, et je vous ramènerai sur la terre d’Israël.
Vous saurez que je suis Le Seigneur, quand j’ouvrirai vos tombeaux et vous en ferai sortir, ô mon peuple !
Je mettrai en vous mon esprit, et vous vivrez ; je vous installerai sur votre terre, et vous saurez que je suis Le Seigneur : je l’ai dit et je le ferai. Parole du Seigneur.
Parole de Dieu : (1 P 1, 3-5)... (Office des Vêpres).
Béni soit Dieu, Le Père de Jésus Christ Notre Seigneur : dans sa grande Miséricorde, il nous a fait renaître grâce à la Résurrection de Jésus Christ pour une vivante Espérance, pour l’héritage qui ne connaîtra ni destruction, ni souillure, ni vieillissement.
Cet héritage vous est réservé dans les Cieux, à vous que la puissance de Dieu garde par la Foi, en vue du Salut qui est prêt à se manifester à la fin des temps.
Ajouter un commentaire